Une rencontre dans le blanc de la neige ...( pv Feu sauvage)

Je marchais dans l'herbe gelé,mes pattes sombres formant des traces de pas visible dans le manteau blanc qui recouvrais la pleine.Le printemps était arriver,pourtant ici il régnais un froid glacial.J'avais faim et il ne semblais courir aucun signe de vie,pas le moindre petit boue de chair à ramener au camp.Cela était désespérant, comment pouvais-je ramener quelque chose s'il n'i avais rien.Recherchant en vains une proie à me mettre sous la dent,je marchais toujours plus loin dans cette pleine.

Soudain une odeur attiras mon attentions,c'était celle d'un félin de mon clan.Je ne m'attendais pas à trouver quelqu'un ici,en et fais cette endroit paraissait plutôt désert.Pourtant l'odeur flottais bien d'en l'air froid,ou plutôt gelé.Mes muscles engourdit par le froid,je décidais de faire halte près d'un rocher.J'entendais des bruit de pas,des bruissement de feuilles et des craquements de branches se firent entendre.Le félin ou plutôt le chat était tout près,je venais de reconnaitre l'odeur d'un mâle.

Je me relevais et décidais d'approcher moi aussi,un silence se fit entendre,puis des bruits de pas plus rapide.Peut êtres avais t'il reconnus mon odeur.Puis j'aperçus à quelque mettre une ombre,je lançais alors d'un ton clair :
"Bonjours,je m'appelle Fleur de Jais et je suis du clan de la rivière.Toi qui est tu?"
Je me rapprochais de plus en plus de l'ombre qui prenais celle d'un chat.Puis m'arrêtant à quelque mettre je m'assis,attendent la réponse de l'inconnu.

(voilas j'attend ta réponse !! )

Ce matin-là, Feu Sauvage était partit pour se promener un peu partout, sauf en territoire ennemi. Sans s'en rendre compte, il avait marché vers la plaine enneigée, là où le gibier n'apparaît que rarement, là où l'herbe n'est pas visible, là où il fait froid.
Une foiq arrivé là-bas, il ne savait pas trop quoi faire, il avait déjà visité cet endroit, il le connaissait aussi bien que son territoire. Il trottina, laissant derrière lui des preuves de son passage. Cet endroit était désert, il n'y avait aucun endroit où ce cacher en vue, c'est pourquoi, il alla s'installer sur un rocher, et commença à regarder calement le ciel. Le soleil se refléta sur son poil de feu, faisant comme des flammes qui brûlaient dans la neige froide. Bizarrement, la couche de blanc ne fondaient pas sous ce soleil de plomb. Mais il s'en fichait, il ferma les yeux, se laissant porter par le vent. Une fine brise vint ébourriffer son court pelage, il frissona, l'odeur de sa mère lui était comme apparu. Ce petit souffle qui lui avait soulevé son poil, était comme si sa mère venait de se frotter à lui.
Il inspira profondement, mais son odeur avait déjà disparu. Mais, parmis le doux parfum de la Nature, lui vint une autre. Oui, et il la reconnaissait bien, c'était celle de son Clan. Il chercha du regard une fourrure, ou des traces de patte dévoilant le passage d'un matou dans le coin. Oui, c'était une femelle, elle aussi avait l'air d'avoir sentit la présence de Feu Sauvage. Et de loin, il la vit, il plissa les yeux comme pour mieux voir, et descendit de son perchoir. Fleur de Jais ? se dit-il en son for interieur, il la connaissait de vue, mais ne savait pas vrament qu'elle était son caractère. Il s'avança un pas lent vers elle, cele-ci venait de le repérer. Je me rapprochais d'elle, le soleil était dans mon dos, mais elle ne devait pas arriver à me reconnaitre vu que ce soleil brillait derrière moi. Si elle me regardait, elle se brulerait les yeux. Alors, je m'avança un peu plus loin, elle regarda le sol, elle venait d'apercevoir mon ombre.

"Bonjours,je m'appelle Fleur de Jais et je suis du clan de la rivière.Toi qui est tu?"

Feu Sauvage ronronna, visiblement, elle n'avait pas reconnu l'odeur de son Clan. Il s'avança jusqu'à être en face d'elle, maintenant qu'il avait changé de place, le soleil était de l'autre côté, elle pouvait le voir:

" Cervelle de souris, tu ne reconnais pas un félin du même Clan que toi ? "

Il lui donna une petit tape amical sur la tête et lui fit un grand sourire. Son habitude:

" Si tu ne te souviens pas de mon nom, c'est Feu Sauvage. C'est vrai que comme nous sommes nombreux, on peut parfois oublier le nom des autres ! "

Il lui sourit de nouveau, c'était amusant pour lui de savoir que quelqu'un n'avait pas reconnu l'odeur de son Clan. Ce n'était de la moquerie, juste un sourire amical. Il s'assit, se lécha la patte avant, et se la passa sur son oreille, il lança d'un ton enjoué :

" Alors, comment vas-tu ? On se croise souvent, mais on ne se parle jamais, je ne te connais que de nom... "

Il sourit de nouveau et attendit sa réponse en un petit ronronnement amusé. Oui, ce félin aimait sourire, s'amuser, rire, mais il n'aimait pas se faire des ennemis. Dans les yeux de la féline, il avait put voir qu'il pourrait être ami ! Il était content ! Son pouvoir étant de voir dans les yeux des autres, un ami, ou un ennemi...

La chat me répondit d'un ton amical et enjouer:
" Cervelle de souris, tu ne reconnais pas un félin du même Clan que toi ? "
Me donnant une petite tape sur la tête il continua:
" Si tu ne te souviens pas de mon nom, c'est Feu Sauvage. C'est vrai que comme nous sommes nombreux, on peut parfois oublier le nom des autres ! "
Une grand sourire se dessina sur son visage,un sourire chaud et amical cela me fit plaisir et je souris à mon tour.J'allais lui répondre quand il se remit à parler :
" Alors, comment vas-tu ? On se croise souvent, mais on ne se parle jamais, je ne te connais que de nom... "


Il me souris de nouveaux,je trouvais sa amusant,j'aurais peut être enfin un ami.Je répondit à mon tour d'une voix qui ne cachais pas ma joie:
"Et bien ravis de te rencontrer Feu Sauvage,je ne t'avais pas reconnues sous se soleil aveuglant.Mais détrompe toi je reconnais toujours les félin de mon clan,je voulais simplement m'assurer de cela.
Je continuais un sourire se dessinant sur mon visage :
"Il est vrai qu'on ne se parle pas souvent,ou j'ose dire jamais.Tu ma demander si j'allais bien.Et bien vois tu je suis contrarier,je cherchais du gibier pour le clan et je suis tomber sur cette endroit désert ou il n'y a rien.Mais toi comment vas tu?"


J'entreprit alors de faire ma toilette,j'avais marcher pendant près d'une heure et j'en avais oublier la propreté.Puis posant mes grand yeux vert sur Feu Sauvage ,je plongeais mon regard dans le siens.Je faisais souvent cela avec les gens que je rencontrais,j'aimais cela j'avais l'impression de percevoir leurs humeur.Mais je doutais que cela soit réelle,pourtant je savais que Feu Sauvage n'avais pas vraiment l'intention de se battre,moi non plus d'ailleurs.Soudain un vent glacial soulevas ma fourrure sombre me glaçant les os.En rencontrant Feu Sauvage j'en avais presque oublier la froideur qui régnais ici.Je crispais mes muscles essayant de ne pas succomber au souffle gelée qui glaçais mes os.Feu Sauvage me regardais en souriant,j'attendais sa réponse ne montrant aucun signe du froid qui me submergeais.

"Et bien ravis de te rencontrer Feu Sauvage,je ne t'avais pas reconnues sous se soleil aveuglant.Mais détrompe toi je reconnais toujours les félin de mon clan,je voulais simplement m'assurer de cela. "

Feu Sauvage sourit, et inclina la tête en signe de compréhension, il avait lui aussi remarqué le soleil. Il leva la tête pour voir où il était, la plaine s'était assombrit depuis qu'elle avait finit sa phrase, le soleil était cachait derrière de gros nuages noirs. Il allait neiger une fois de plus ici. Mais le rouquin s'y attendait quelque peu et gonfla doucement sa fourrure pour ne pas souffrir d'un vent glacé qui ne devrait tarder:

"Il est vrai qu'on ne se parle pas souvent,ou j'ose dire jamais.Tu ma demander si j'allais bien.Et bien vois tu je suis contrarier,je cherchais du gibier pour le clan et je suis tomber sur cette endroit désert ou il n'y a rien.Mais toi comment vas tu?"

Elle sourit, elle avait l'air heureuse, c'était pour lui, comme si elle n'avait jamais sourit. En attendant la réponse du matou roux, elle commença à se toiletter, il était vrai que pour venir jusqu'ici il fallait beaucoup marcher. Il allait répondre quand un grand coup de vent froid souleva leur fourrure et faillit les faire perdre équilibre. Il vit Fleur de jais qui se crispa, il souris de nouveau:

" On voit bien que tu ne viens pas souvent dans cet endroit. Tout le monde sait qu'il est désert ! Et... Tout le monde sait qu'il y a beaucoup de vent ici... "

Il gonfla son pelage, lui en avait l'habitude de cet endroit, il y venait souvent, alors il ne ressentait pas vraiment grand chose:

" Pour répondre à ta question. Oui, je vais bien, je me suis levé tôt se matin pour me promener, ce sont mes pattes les guides, moi je ne suis que le félin qui parle. Elles m'ont amenés ici, crois-moi c'est pas pour rien ! Elles veulents qu'on fasses connaissance ! "

Sur ces derniers mots il pouffa, ça devait lui paraitre idiot, c'est pour ça qu'il rigola juste après.

Feu Sauvage malgré mes efforts,avais remarquer que j'avais froid.En me regardant il me dit :
" On voit bien que tu ne viens pas souvent dans cet endroit. Tout le monde sait qu'il est désert ! Et... Tout le monde sait qu'il y a beaucoup de vent ici... "
Et comme pour montrer que lui y était habituer il gonfla son pelage roux,cette initiative me fit rire.Sur le même ton il continuas :
" Pour répondre à ta question. Oui, je vais bien, je me suis levé tôt se matin pour me promener, ce sont mes pattes les guides, moi je ne suis que le félin qui parle. Elles m'ont amenés ici, crois-moi c'est pas pour rien ! Elles veulents qu'on fasses connaissance ! "

Après cette affirmation il éclatas de rire,et je me mis à rire avec lui.Une fois notre crise de rire terminer,je posait mes grand yeux vert sur le paysage qui nous entourais.Sous le soleil brulant la neige semblais luire,comme si des milliers de diamants c'était posé sur elle.Je détachais mes yeux de ce spectacle époustouflant pour les poser sur ceux de Feu Sauvage,je m'était pris d'amitié pour lui.Je lui répondit alors sur un ton doux et amical :
"Et bien tes pattes sont bien tomber,et les mienne aussi.Je suis heureuse d'avoirs fait ta connaissance Feu Sauvage,mais nous devrions rentré au camp,les autres vont s'inquiété.Cependant je n'ai rien ramené voudrais tu m'aider à trouver du gibier,nous pourrions rentré ensemble ensuite.Mais libre à toi de rester ici,je serais me débrouiller pour retrouver mon chemin."


je plongeais une fois de plus mes yeux émeraude dans les siens.Ces prunelles m'inspirais l'amitié et la joie qui l'accompagnais me faisait chaud au coeur.Me levant j'attendais la réponse de Feu Sauvage,j'espérais qu'il accepte faire la route seul m'inspirais peu.

Elle finit par rire, puis regarda intensement le paysage. Je fis de même, plongeant mon regard vert pomme dans tous ces flocons qui formait une jolie couche de neige légèrement brillance sous un soleil qui ne la fera jamais fondre. Soudain, Feu Sauvage sentit quelque chose poser son regard sur lui, il crut d'abord que c'était une proie, ou un ennemi, mais non, dans ce doux paysage, il avait oublié que Fleur de Jais était à ses côtés. Elle ouvrit la bouche et lança amicalement:

" Et bien tes pattes sont bien tomber,et les mienne aussi. Je suis heureuse d'avoir fait ta connaissance Feu Sauvage, mais nous devrions rentré au camp, les autres vont s'inquiété. Cependant je n'ai rien ramené voudrais tu m'aider à trouver du gibier, nous pourrions rentré ensemble ensuite. Mais libre à toi de rester ici, je serais me débrouiller pour retrouver mon chemin. "

Il rit , seul, et plongea à son tour ses yeux d'un vert dans ceux de la guerrière. Il lui sourit, la regardant lentement se lever. Il inclina la tête, comme pour lui dire au revoir, mais au dernier moment, il rajouta:

" Les autres ne vont pas s'inquiéter pour moi. Ils me connaissent, et surtout notre meneuse. Ils savent que je ne rentre pas souvent le soir, parfois c'est juste pour voir le couché de soleil. Mais parfois, c'est juste parce que je veux rester à l'écart et admirer le paysage. C'est ce que je faisais tout à l'heure ! Mais bon, j'veux bien te raccompagn... "

Il n'avait pas fini sa phrase, une forte odeur lui chatouilla les narines. Un ennemi était là, pas un ennemi guerrier non, mais un autre, légèrement plus petit, mais tout aussi dangereux. Il n'y en avait pas qu'un. Des petits cris de rage se faisait entendre dans l'air. Juste avant qu'ils débarquent, Feu Sauvage eut le temps d'hurler à son acolyte:

" DES RATS ! "

Et au même moment, un foule de rats sortirent des fourrés, ceux-ci formait comme une vague qui mangeait la neige à chaque pas. Le guerrier roux sauta dans le tas, afin dans étriper le plus possible...

Feu Sauvage fronça le museau, leur odeur âcre lui montait au nez. C'était insupportable. Fleur de Jais lui adressa une dernière parole avant de sauter sur ce raz-de-marrée ennemi:

"Je prend le cotés de droite prend celui de gauche."

Il allait ui répliquer que le côté de la guerrière avait l'air bien plus dangereux que l'autre car Feu trouvait qu'il y avait moins de rats de son côté. Mais, voyant qu'elle ne l'écouterait pas, il se retint et bondit sur les rats.
L'un d'entre eux lui sauta sur le dos, tentant de lui mordre les épaules, elle roula par terre, écrasant ainsi la bestiole, qui partit aussi vite qu'elle était venue. Profitant de "l'handicap" de la féline blanche, d'autres de ses collègues vinrent l'attaquer tentant de lui crever les yeux. Mais les rats n'arrièvèrent qu'à lui infliger une blessure sur son museau. Folle de rage, elle donna des coups de griffes aux hasards égratinants la plus part des bestioles, quelques uns s'enfuirent tant dis que d'autres... Des rats, toujours des rats... Heureusement, ils n'étaient pas nombreux, mais ils pouvaient infliger de graves blessures qui, si l'on ne soigne pas, pourrait s'infecter.
Sans s'en rendre compte, Feu Sauvage s'éloignait de Fleur de Jais et l'avait finalement pedus de vue. Il continuait à se battre, ou plutôt à se débattre. Trois rats avaient réussient à se hisser sur son dos, l'un d'entre eux lui mordit l'oreille, sur ce, il se cabra et se laissa lourdement tomber sur le dos écrasant quelques rats qui s'y trouvaient dessus et faisant sursauter celui qui se tenait accroché à l'oreille. D'un coup de patte féroce, il le fit descendre de sa tête, s'entaillant l'oreille, l'animal retomba si fort qu'au contact du sol, sa nuque se brisa provoquant ainsi un bruit de craquement atroce. Certains de ses collègues battirent en retraites, et peu restèrent, ceux qui voulurent venger la mort de leurs camarades. Cette fois-ci, c'est le guerrier roux qui avait le dessus, il coinça l'un d'entre eux entre ses pattes et, ignorant les diverses morsures qu'il lui infligeait, plongea ses dents dans l'animal et en ressortit les tripes. Il mourut sur le coup, l'un de ses courageux qui restaient s'avança imprudement vers lui, le félin de feu appuya sur le ventre de la bestiole aspergeant son camarades de sang.
Quelques coupures, morsures, et griffures plus tard, le guerrier, essouflée, avait enfin finit d'achever le dernier rat en vie. Constatant qu'elle s'était beaucoup éloignée, elle repartit vers Fleur de Jais, pour voir si elle s'en été sortit:

" Fleur de Jais ? " cria-t-il.

La bataille touchais à sa fin,les dernier assaillants asser intrépide pour vouloir venger leurs compagnons,avais tous été éventrer ou c'était enfuis.J'était à bout de force le soleil tombais ou loin,formant un allo de lumière oranger.Je me relevais avec penne,quand j'entendit une voix m'appeler.C'était Feu Sauvage,durant la bataille nous nous étions un peu éloigné.Il revenais vers moi,son corps couvert de blessure et autres morsures.Je doit dire que je n'en menais pas large moi non plus.Les coussinets et l'oreille droite en sang,mon dos couvert de griffure et mes pattes de morsures.Je lui lançais un "Je vais bien" ce qui n'était pas franchement le cas.Les morsure me lancinais les os,et un horrible mal de crâne persistais à rester.Je me relevais chancelante,essayant de garder mon équilibre ce qui était pour le moment une épreuve de grande force.Essayant tans bien que mal d'articuler une phrase :
"Je me sens pas très bien,il faudrait mieux rentrer.J'ai besoin de voir un guérisseur,et je crois que toi aussi."

Je manquais un fois de plus de tomber, regardants autour de moi j'observais les dernier rayons du soleil.J'aimais observé se merveilleux spectacle,se déroulant devant mes yeux.Je me sentait fatigué,je tombais au sol un gouffre noirs se dessinant devant mes yeux.Je réussissais à articuler :
"A l'aide ..."
Et je plongeais dans un profond sommeil.D'étrange voix le peuplais,un murmure intense caressais mes oreilles.Je reconnaissais la voix de ma mère,les souvenirs du passé resurgissais.Sa voix,sa douceur et puis le carnage,sa mort,son crie :
"SAUVE TOI FLEUR DE JAIS SAUVE TOI !!!"

Feu Sauvage arriva au petit trot. Voir Fleur de Jais sur ses pattes le rassura, sauf qu'elle n'avait pas l'air dans son assiette, et son "Je vais Bien" n'avait pas convaincu le guerrier roux. Sa voix tremblante et essouflée trahissait sa fatigue. Il pressa le pas, voyant que les chose de s'arrangeait pas. Elle semblait souffrir, et pas qu'un peu. Ils savèrent que les blessures infligeaient par les rats peuvent être mortelle, et peuvent provoquer des infections. Afin d'éviter tout cela, et de mourir dans d'atroces douleurs, il fallait rendre visite à un guerrisseur au plus vite ! Mais la guerrière au pelage de jais semblait si mal en point, qu'elle serait incapable de regagner le Clan. Et s'il ne faisait rien, elle mourrait dans les minutes qui suivirent:

"Je me sens pas très bien, il faudrait mieux rentrer. J'ai besoin de voir un guérisseur, et je crois que toi aussi."

Il la dévisagea, elle avait l'air de s'inquiéter pour lui alors qu'il n'avait presque rien. Elle faillit tomber, comme si parler lui recommander un immense effort. Il se dirigea vers elle, ne sachant pas quoi faire. Fleur de Jais regardait intensement le couché du soleil, ceux qu'aimait Feu Sauvage. Il fit un pas en avant dévoilant sa fourrure rousse sous les rayons de soleil. On aurait dit que son pelage prenait feu ! Mais là n'était pas la question. La guerrière qui venait de rencontrer était souffrante, il fallait faire quelque chose sachant que s'il ne s'occupait pas d'elle dans les heures qui suivent, elle mourra agonisante et baignante dans son propre sang. Mais la ramener au Clan serait beaucoup trop dangereux ! Heureusement pour elle, il avait déjà était pris en embuscade par ce genre de rats. En revenant au camp on lui avait administré quelques plantes: des racines de glouterons contre les infections et des graines de pavots. Il y en avait eut aussi une autre contre la fièvre mais il avait oublié son nom [ben quoi, il est pas guerrisseur!] . Il courut vers la forêt, injurant interieurement cet endroit où se trouvait seulement une plaine couverte de neige.
Une fois dans la forêt, il trouva le tout, et en profita pour prendre des toiles d'araignées, l'ingrédients de base pour les guérrisseurs ! Il ramena toutes les plantes auprès de la blessée et tenta de se rappeler comment sa guerrisseuse avait fait. Il donna en premier les racines de glouterons puis les graines de pavots. Feu Sauvage déposa tout devant le museau de Fleur de Jais, il savait qu'elle n'en mangerait pas pour le moment, étant donné qu'elle était inconsciente. Et commença à penser ses blessures. Le sang de la jeune guerrière coulait abondament, mais il réussit à stopper l'hémorragie. Il remplaça le pansement par un autre car ce dernier été imbibé du liquide chaud. Feu Sauvage inclina la tête, il n'aimait pas voir souffrir les gens, même lors de combats. Il ferma les yeux et inspira profondement. Le guerrier au pelage de feu se leva et ouvrit la bouche à son acolyte de jais. Il y mit des racines de glouterons, assez petites afin qu'elle puisse les avaler, et il referma la machoire, la bougeant comme pour la faire mastiquer. Libre à elle d'avaler ou de recracher.

Ce cris effroyable me tira de ma transe,j'ouvrais les yeux.J'était allonger au sol,mes plaies était recouvert de bandages imbiber de sang.Devant mon nez plusieurs plante dons des graines de pavots avais été disposer.J'approchais mon museaux,et réussissais à avaler quelque graine, espérant quel fasse leurs effets au plus vite.Autours de moi Feu Sauvage s'activais pour me sauver,le cris de ma mère résonnant encore et encore dans ma tête.Je détestais ces rats,mais je me détestais encore plus.Je ne pouvais rien faire,la douleurs de mes plaies me clouais au sol.Ma vie ne tenant plus qu'a un fils,je n'aurais pas voulus faire subir sa a Feu Sauvage.Je venais à penne de le rencontrer,et je mettais déjà ma vie entre ses pattes.Je tournais un peu ma tête dans sa directions,il m'avais aperçus.Il approchas maintenant vers moi.

Je luttais contre l'envi de sombrer,je réussissais à articuler :
"Feu Sauvage...je m'en veux tellement...je n'est pas a te faire subir cela..j'aimerais tellement ne pas être .."
Ma voix c'était éteinte sous quelque larmes de souffrance.J'avais abandonné ma mère,je méritais sans doute le même sort. Pourquoi continuais-je à lutter ?Il faillais que je me reprenne,je ne pouvais pas me permettre de mourir et d'abandonné ceux que j'aimais.J'avais vécus des chose plus dure encore dans mon passé,fidèle a mes principe je ne tomberais pas dans l'oublie.Et c'est sur cette dernière pensé que je sompbrais un fois de plus dans un sommeil remplies de larmes et de sang.

Elle ouvrit les yeux, Feu Sauvage ne l'avait pas vu, mais ressentit. Son corps venait d'avoir un grand spasme, montrant qu'elle s'est réveillée en sursaut. Puis, elle avait aussi allongé son cou pour renifler les plantes qu'il lui avait apporté. Mais le guerrier n'en fit rien, il continua sa tache. Pour lui, rendre service lui faisait plaisir, ce n'était ni une corvée, ni une tâche lourde à accomplir. Après, elle ne lui devrait pas de dette. De toute façon, il se fichait pas mal des dettes, il trouvait cela inutile. Une fois qu'il eut fini de la panser, il trottina vers elle avec un grand sourire. Elle était toujours blessée, mais au moins, elle avait l'air de moins souffrir. Il inclina la tête comme pour lui dire bonjour, elle avait l'air un peu plus en forme que tout à l'heure:

"Feu Sauvage... Je m'en veux tellement... Je n'est pas a te faire subir cela.. J'aimerais tellement ne pas être ..."

Il ne pu entendre la fin que sa voix fut emporté par des larmes. Il s'approcha d'elle, la regardant dans les yeux. Une sourire chaleureux aux lèvres qui pourrait même réchauffer cette plaine de neige. Ses yeux brillèrent sous ce soleil couchant, ce qu'elle lui avait dit l'avait profondement touché:

" Tu n'as pas à t'en vouloir. Que crois-tu me faire subir ? Je suis heureux de te rendre un service, ça me montre au moins que je sers à quelque chose. "

Il lui fit un large sourire et lui donna un petit coup de patte amical. Assez petit pour qu'elle ne ressente pas de douleur. Le guerrier roux n'était pas sûr qu'elle est entendu ses paroles vu qu'elle sombra aussitôt dans un profond sommeil. Il sentait bien qu'elle n'en avait pas envie, car elle avait lutter pour lui dire ses mots et qu'elle s'était réveillé en sursaut. Il ferma les yeux, pusi une grande douleur vint lui prendre le vente. C'était tellement atroce pour lui qu'il rouvrit aussitôt ses yeux en grand avant de s'effondrer sur le sol froid. Il commença à trembler de tout ses membre, ce contact de chaud et de froid le fit frémir. Il resta là, comme gelé, les yeux écarquillés fixant un point vide. De grands et longs spasmes parcouraient son corps. Un liquide chaud et visqueux se forma sous son flanc. Les spasmes s'estompaient, et il se frotta au sol comme pour retirer la douleur. Il avait envie d'hurler, mais il avait peur de réveille Fleur de Jais, il ne voulait pas qu'elle le voit dans cet état. Elle risquerai de s'en vouloir. Il se contenta de pousser de faible gémissement. Des filets de sang s'était répendu et couler abondement de son flanc. Il se frotta contre le sol gelé, se roula dans la neige dans de long gémissement comme à l'agonie. Un de ces foutu rats lui avait ouvert de flanc...

Un grand bruit me tirra de mon sommeil,je me relevais d'un bond.A part à m'en les graines de pavots semblais faire leurs effets sur mon organisme.Malgré que mes muscles aillent mieux,mon mal de tête persistais encore.Je me retournais,et un spectacle horrifiant se tenais devant mes yeux.Feu Sauvage en boule dans la neige,agonisais dans son sang une longue blessure se dessinant sur son flan droit.

Horrifier je m'empressais de prendre des graines de pavots et autres plantes dans ma gueule,et je lui apportais en courant.Que m'avais t'il prit de me laisser emporter dans mon sommeil alors qu'un de mes ami agonisait dehors près de moi.Je m'approchais de lui,et lui faisait avaler quelque graines de pavots pour calmer la douleurs.J'entreprit alors d'aller chercher des toiles d'araigner qui restais par endroit,et de confectionner un bandage.

La sang coulais abondément,je reconnues tout de suite une morsure de rat.Encore eux sa ne leurs avais pas suffit,il voulais en plus nous achever.Le bandage une fois terminer,j'administrais les dernières plantes que Feu Sauvage avais récolter pour moi quelque minute au par avant.Après tout si c'était pour me faire du bien,ça ne pourrais que lui en faire lui aussi.

Plonger dans un profond sommeil,ses spasmes c'était atténuer.Sa respiration c'était ralentie,il semlais qu'il dormais.J'avais désinfecter sa plaie,comme je l'avais vus faire pour moi.Je ne savais pas s'il m'entendais mais je lui disais d'un ton doux :
"Ne t'inquiète pas,tu ma sauver m'intenent c'est à mon tours.Tu n'auras pas à avoirs de dètes envers moi,d'aileur les amis n'ont jamais de dètes à se rendre.Je vais veiler sur toi jusqu'a ce que tu te reveille.Dors tu en à besoin."

Je m'allongeais au près de lui,sentent son pelage glacé au contace de mon poils chaud.Je ne fermerais pas les yeux pas questions que je m'endorme,non pas question.La fatigue pourtant lourde à porter ne m'atteindrais pas, pas cette nuit en tout cas.

Feu Sauvage dormais depuis quelque heures déjà.Sa respiration lente et douce,résonnais à mes oreilles comme une étrange berceuse.Le soleil se levais au loin,teintant le ciel de trainées rose pâle et orangée.L'air frais du matin balayais mon museaux,et caressais mes oreilles.Je fermais les yeux écoutant le souffle du vent comme un murmure.Porter par ses douce paroles semblable à une langue que je ne pouvais connaître.J'ouvrais les yeux et fit quelque pas dans la neige froide,mes muscles encore nouée ne me permettais pas de courir.Je respirais une odeur douce et éternel,le parfums de la forêt.

Me retournant,je revenais sur mes pas.Le guerrier roux sommeillais toujours,Je m'assied sur mes pattes,fixant l'horizon.Soudain Feu Sauvage bougeas à cotés de moi,se réveillant en sueur il se retournas vers moi.Le poils hérissé la respiration haletante,il semblais avoirs fais un cauchemar.Se tournants il posa ses yeux sur moi,ils semblais s'apaiser.Je me levais et m'approchais :
"Sa va ?"
J'attendais sa réponse, j'espérais qu'il se sente mieux.


(dsl mini réponse savais pas quoi écrire)

[T'inquiète pas je te comprends ^^]

Feu Sauvage s'était réveillé en sursaut, sa respiration s'était soudainement accélérée et il suait. Il y eut une légère odeur prouvant qu'il avait eut peur.
Il regarda autour de lui, tout était là, même Fleur de Jais. Dans son rêve toute la forêt avait brûlé, même cet endroit où règne seul la neige. Il plongea ses yeux verts dans ceux de la guerrière qui avait l'air de s'inquiéter. Il fut soulagé de n'y décevoir plus d'inquiétude que de mal. Après tout, il l'avait bien entendu hurler... Mais pourquoi ? Voilà une réponse qui ne pourra pas recevoir, ça mère s'était volatilisé et il avait une certaine sensation qu'il ne la reverrai pas avant une éternité. Son doux parfum sera-t-il partit à jamais ? Sa fourrure si chaude pouurra-t-il la revoir un jour ? Pour le moment, il savait que la réponse était non...
Il regarda la guerrière et la vit ouvrir la bouge, pour articuler la phrase suivante:

" Ça va ? "

Il resta un moment à la regarder, et puis, en un petit sourire lui répondit:

" Ça va, juste un cauchemar... "

Il la remercia d'un signe de tête, et se leva tant bien que mal pour se mettre en position assise. Son corps penchait plus d'un côté afin de moins ressentir la douleur, et de ne pas poser trop de poid sur la blessure qui pourrait souffrir à tout bout de champ.

Feu Sauvage se levas,disposant son poids sur un coté de son corps pour ne pas affecter sa blessure.Je voyais bien qu'il souffrais,j'allais lui proposer de l'aider mais je me retins.Un cris de douleur avais faillit s'échapper de ma gorge,la douleur de mes blessures précédente revenais a la charge.Je ne pouvais-rien faire,les graines de pavots avais finit leurs effets et j'avais donné les dernière à Feu Sauvage.Me levant,je lui lançais grimaçante de douleurs :
"Il va falloir rentré,je sais que t'es blessures te font mal mais nous n'avons pas le choix.Et malheureusement je ne peu pas t'aider.Mes blessures me font encore trop souffrir,il fa donc falloir rentré à pied.Nous avons tout de même de la chance,nous ne sommes pas si loin du camp.Mais je doute que nous puissions passer la prochaine nuit las-bas,si nous voulons au moins réussir a rallier un bout de chemin,il faut y aller maintenant."

Je savais que nous métrions du temps à revenir au camp,et que nous dormirons surement une fois de plus dehors ce soir.Au loin les senteur de la forêt me montait au nez,et à l'intérieure le chemin qui menais au camp.Combien nous faudrais t'il de jours pour retourner au camp,je ne le savais pas mais j'avais décider de partir maintenant.

"Il va falloir rentré,je sais que t'es blessures te font mal mais nous n'avons pas le choix.Et malheureusement je ne peux pas t'aider.Mes blessures me font encore trop souffrir,il fa donc falloir rentré à pied.Nous avons tout de même de la chance,nous ne sommes pas si loin du camp.Mais je doute que nous puissions passer la prochaine nuit las-bas,si nous voulons au moins réussir a rallier un bout de chemin,il faut y aller maintenant."

Une fois ma fourrure retombée, je me lécha la patte avant et me la passe derrière l'oreille. Je pris une grande inspiration avant de grimacer. L'effet des graines de pavots se dissipaient, dans pas très longtemps, et s'ils ne retournent pas chercher ces graines, ils se tordront de douleurs. Il avait bien vu Fleur de Jaïs, elle souffrait des multiples blessures que les rats lui avait infligé. Je pris l'air de réflchir et agita mes oreilles:

" Si nous dormons, au petit matin nous nous tordrons de douleur. Même si nous mangeons des graines de pavots... La fièvre nous prendra en pleine nuit... Et la nuit est proche, le soleil se couche. Il nous faut partir dès maintenant. Je marcherais toute la nuit s'il faut ! Pour marcher jusqu'au camp, nous nous appuiyerons l'un contre l'autre, ainsi, il nous sera plus facile d'y arriver ! "

C'était surtout pour ne pas la voir souffrir au réveil. Il avait déjà vu assez de choses troublantes quand il était jeune. Feu Sauvage se leva d'un bond, oubliant tout d'abord sa plaie. Puis, une fois debout, il grimaça et, clopin-clopant, trottina tant bien que mal vers son acolythe. Il lui fit signe de la queue qu'il partait, et son regard signifiait qu'elle n'était pas obligé de le suivre. Il commença à s'enfoncer dans la forêt, elle commençait à être de plus en plus dense. Il marchait lentement, car il savait que Fleur de Jaïs allait le suivre. Il regarda une dernière fois la plaine enneigée. Du sang, des corps de rats, des touffes de poils... Un vrai champ de bataille. L'odeur de la mort se répendait peu à peu, mais les guerriers ne peuvent rien y faire. Seule la Nature sait ce qu'elle a à faire. Pour les félins, leur tâche étaient terminée, c'était la dure loie de la vie... Le guerrier roux fixa une dernière fois l'endroit où ses blessures l'ont fait souffrir. Il était tellement agité qu'il avait poussé toute la neige autour de lui. Il baissa les yeux vers sa plaie. Une fine croûte s'y était installé. Libre à lui de la réouvrir ou non. Il prendrais toute ses précautions pour éviter une autre chose de la sorte. Il marcha vers son territoire, clopin-clopant...

Feu Sauvage se nettoyas avant de répondre :
" Si nous dormons, au petit matin nous nous tordrons de douleur. Même si nous mangeons des graines de pavots... La fièvre nous prendra en pleine nuit... Et la nuit est proche, le soleil se couche. Il nous faut partir dès maintenant. Je marcherais toute la nuit s'il faut ! Pour marcher jusqu'au camp, nous nous appuiyerons l'un contre l'autre, ainsi, il nous sera plus facile d'y arriver ! "
J'approuvais sa décision,il est vrais que sa serais plus facile comme ça.Feu Sauvage partit en direction de la forêt,il fit un signe de queue m'intimant de le suivre.Et il s'en allât clopin-clopant vers la forêt.Je le rattrapais en quelque foules,et vins soutenir son épaule en me collant a lui.La chaleur que dégageais son pelage se mélangeas a la mienne,ce qui fait qu'un allo de chauffage nous entourais.Je sentais son coeur battre,un battement doux presque silencieux mais surtout très clame.Je calquais ma respiration sur ce battement,de ce battement nous ne formions plus qu'un.

Après avoir marché toute la nuit nous arrivions enfin au camp.La lumière douce du soleil levant, éclairais le campement de sa lumière.Les gouttes de rosée du main luisait,les oiseaux commençais tout juste a chanter.Je me dirigeais avec Feu Sauvage vers la tanière de la guérisseuse,il faillais tenir bon.Arriver devant la tanière,j'appelais la guérisseuse :
"Coeur de Sang,s'il te plais nous avons besoin d'aide."

(Maintenant a toi de répondre mais cette fois on change d'endroit ^^ )