La Guerre Des Quatres Clans
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La Guerre Des Quatres Clans

Choisis ton clan, ne te trompe pas de chemin, le clan des étoiles te surveille !
 
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 Fanfic - Délire

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Feu Sauvage
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Feu Sauvage


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MessageSujet: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptyMer 30 Déc - 22:38

Tout commence dans un bel après midi, en plein milieu d’une année scolaire où deux jeunes filles de 14 ans se nommant Manon et Esther, toutes deux brunes, y font leur éducation. La première est plutôt du genre fofolle, elle met du temps à capter certaine chose et ne comprend pas toujours tout, elle a les yeux de couleurs marron. La deuxième est plutôt souriante, mais elle, elle sait garder son calme en toute sérénité, par contre elle est aussi folle que son amie quand elle veut et a des yeux verts. En cours d’SVT, Mme Violldecap écrivait son cours au tableau, son écriture était si illisible que certain ne noté rien à ce qu’elle écrivait, pour une fois, les élèves préfèrent que cette prof dicte son cours. Ce jours-là, il n’y avait aucune expérience, juste des petites choses à revoir, donc le cours était plutôt ennuyeux. C’était toujours l’intello de la classe qui posait des questions, et aussi l’idiot du village qui les répétait sans s’en rendre compte. Nos deux amies avaient mal choisis leurs places, elles étaient tout devant, pilepoil en face de leur prof. Son haleine était aussi écoeurante que l’odeur de fromage fort, à en penser qu’elle se croyait au Nord et que, tout les matins, elle prenait son petit déjeuné : du maroil trempé dans du café. Sa tête triangulaire montrait son agressivité, et en effrayait plus d’un. Bref, Manon et Esther ne pouvaient ni s’endormir comme tous les autres, ni parler entre elles, les deux brunes soupiraient presque tous les cinq minutes. Puis au moment où le sommeil leur vint, quelqu’un frappa violement à la porte, tout le monde sursauta, réveillé par cette force de frapper. C’était le CPE, un mec musclé de la tête aux pieds, mais sans cervelle, il faisait peur à certain mais était sympa avec d’autre. Un type vraiment bizarre… Puis il s’avança, s’excusa auprès de Mme Violldecap, et il se retourna vers nous. Toute la classe s’était levée en un bond, il nous dit simplement :

CPE: « Asseyez-vous. Comme on vous avez prévenu en début d’année, vous allez avoir un nouveau venu dans votre classe. »

Il laissa entrer l’intéressé, un jeune homme aux cheveux noirs mi-long, et aux yeux ambres s’avança dans la pièce. Son pas était lent, il avait pourtant l’air à l’aise, aucune timidité dans son allure. Ses mains étaient cachées dans les poches de son jean, il se tenait droit. Mais son visage était froid, inexpressif, pas le moindre sourire. Quelques filles de la classe eurent des étoiles dans les yeux après l’avoir vu, avant de lancer des regards emplis d’admiration. Parmi elles, se trouvait une fille qui haïssait des personnes sans raisons, ennemie de Manon et d’Esther. Ces dernières lui trouvèrent un surnom qui lui allaient comme un gant : « Bull-dog » à cause de son visage rond et de sa tête. Cette fille était fièrent comme un paon, et se la pétait un peu trop d’ailleurs. D’autres filles lancèrent des petits cris admiratifs [Comme ‘Woua !] mais le sujet principal de ces causes ne bougeait toujours pas, il ressemblait plutôt à une statue que l’on met dans les musées. Puis, un hurlement retentit terrorisant les élèves, la prof d’SVT avait demandé le silence, et tous l’on écouté, enfin c’est plutôt qu’ils n’avaient pas envie de devenir sourd avant l’âge. Le CPE s’était éclipsé avant son cri de corbeaux à l’agonie, de toute façon, il avait autre chose à faire.

Prof d’SVT : « Va t’installer ici, derrière Manon et Esther. Comment tu t’appelles déjà ? »

Elle montra d’un signe de tête les deux amies, assise côte à côte, ne leur montrant aucun regard particulier.

Takanori : « Je m’appelle YAMAMOTO Takanori.

Prof d’SVT : - Bien, va t’asseoir à présent. Et continuons notre cours, ceci nous fait perdre un temps précieux. »

Esther fit glisser un papier vers Manon où il était inscrit : « Tu parles d’un temps précieux, elle se rend même pas compte que son cours est une vrai boite de somnifère ambulante. xD » Son amie lui répondit : « T’as raison xD Je m’endors, mais si j’le fais vraiment… Ben j’ai quelques heures de colles. xD » Et un petit dialogue sur papier commence :

Esther : « Ouais, moi j’me vois mal rentrer et dire à mes parents, ‘Ben j’ai deux heures de colles’ Ils me diront sûrement ‘Et en quel honneur ?’ Avec un regard emplit de colère, j’me vois pas lui répondre ‘ Ben… J’me suis endormie en cours…’ ^^” xD »
Manon : « T’as vu tous ce que tu m’as donné à lire ? Ben je vais me venger, na ! :p T’as vu la nouvelle cible de Bull-dog ? J’ai l’impression qu’elle fera tout pour sortir avec le nouveau, enfin tant qu’elle reste populaire elle ne fera pas trop de dégâts. T’imagine, tu sors avec un mec, mais tu l’aimes pas, c’est inhumain !!! »
Esther : « La vengeance est un plat qui se mange froid. xD Ouais, j’avais aussi remarqué, cette idiote ne pense qu’à elle et sa popularité, si elle trouve qu’un mec fait tomber toutes les pouffiasses, elle fera tout pour l’avoir. Rien que pour augmenter son taux de réputation u_u Je crois qu’elle veut qu’on l’admire parce qu’elle est sortie avec le plus, soi-disant, beau mec du moment. xD Au fait, j’aime bien ton dernier mot (C’est mon dernier mot Jean-Pierre //SBAFF// xD) Inhumain… ça m’éclate ! xD »
Manon : « Bon tu vas arrêter avec tes longs discours ? Une boite de somnifère d’accord, mais pas deux xD Oui je sais, chui méchante x) Ouais t’a raison o.o Toi, t’as trop regardé les enquêtes policières, ou bien un truc de psychiatre, bon d’accord ça saute aux yeux, mais bon. T’es ni un agent fédérale, ni un agent spécial… Même pas chercheuse dans le domaine scientifique. (Référence à Abby de NCIS) Réputation ? Mais au fait, la notre est à combien.. La mienne doit être largement au dessous de zéro xD Et toi ? »
Esther : « Toi aussi tu fais des longs discours, la preuve. Hey ! Tu m’as traité de deuxième boite de somnifère ??? o.o T’es méchante ! J’te boude xD Voilà bouderie fini ^0^ Au fait pourquoi tu dis ça ? Je n’ai pas vu de série policière en ce moment, chui plutôt sur Dr.House 8D Ma réputation ? Quelle réputation ? xD (si tu comprends pas, comme d’hab’ je voulais dire que je n’en ai pas xD) Au fait t’as l’heure ? »
Manon : « Bon d’accord on arrête avec les discours ^^” ça commence à m’énerver. Et t’inquiète, j’avais compris pour ta réputation, et il est… Ben ça va bientôt sonner, vive la fin des cours, vive le week-end !!! »
Esther : « Surtout quand on sort de ce cours, t’as envie d’hurler ”Enfin !!! ” xD Mais là tu peux pas ToT, snif…Pour finir la conversation jusqu’à la sonnerie tant attendu xD Il a l’air sympa le nouveau, non ? »
Manon : « Ouais trop, d’ailleurs dès que chui dehors, je le hurle, mais pas très fort xD Et euh… Dis-moi tu vas bien ? Tu parles du nouveau comme un mec sympa, mais il est aussi froid qu’une tombe, pire que l’hiver ! xD »
Esther : « Chiche ! … Oh, tu sais moi les tombes, je m’en fout un peu totalement xD ça veux rien dire. Et l’hiver est ma saison préféré, on peut toujours briser cette froideur, à nous deux on est le soleil et lui la neige xD Il va souffrir et fondre devant nous. [rire sadique] xD Chui folle. Bien sûr, tout ça est faux, on ne peut obliger quelqu’un à changer, c’est toi qui me la dis d’ailleurs x) En gros… Je me fiches du nouveau xD »
Elle lui passa le mot, Manon le lut, cette dernière allait lui répondre mais la sonnerie l’en empêcha, Esther eut un soupir de soulagement après l’avoir entendu. Elles se dépêchèrent de ranger leurs affaires et de partir de leur dernier cours en la vitesse lumière. Et Manon fit exactement ce qu’elle avait dit, elle gueula le fameux mot ‘Enfin !’ Puis se retourna vers Esther d’un air satisfait, aucune d’elle ne fit attention à tous les regards qui se dirigeait vers les deux jeunes amies. Puis quelque chose attira le regard de Manon, elle s’arrêta, pris son amie par la manche de son manteau, et rit :

Manon : « Regarde-moi ça ! Si ce n’est pas malheureux. »

Esther suivit le regard de la brune et découvrit un tas de pouffe regroupé et en train de marcher derrière le nouveau. Chacun faisait des compliments, mais il les ignorait toujours, le seul moment où il parla c’est quand l’une d’entre elles voulut l’appeler ‘Taka-chan’ Les deux brunes pouffèrent, firent volte-face et partir à pied chez soit. Vers la fin du trajet, où leur chemin se coupe en deux routes différentes, Esther lui dit :

Esther : « Attends ! Tu ne veux pas passer la nuit chez moi ? Je voudrais te faire visiter le bois. »

Celle-ci habitait près d’une petite forêt, elle aimait beaucoup s’y aventurer, les couchés de soleil sont magnifique vu près du lac, on dirait qu’il disparaît dans les profondeurs des eaux dans un dégradé de rouge et de bleu pour laisser place à la nuit. Heureusement, elle y vit à côté, elle peut donc facilement rentrer chez soi. Les soirs de pleine lune, elle sort et passe, quand elle est en vacance, une nuit blanche à la regarder dans sa lunette astronomique, elle dit que la pleine lune l’apaise, et que ça lui permet de méditer des choses qui se sont passé et qui ne lui a pas plu. C’est peut-être pour ça qu’elle arrive à garder son calme, non ? Manon acquiesça :

Manon : « Ben je vais chercher mes affaires alors, tu n’as cas m’attendre à l’arrêt de bus.

Esther : « Non, ce n’est qu’une nuit, je te prêterai un pyjama si tu veux. Faire l’aller et le retour chez toi ne sera qu’une perte de temps, j’aimerai tout te montrer, même le couché du soleil. »

Manon : « Bon ok… »

Donc, comme prévu, elles rentrèrent chez la brune qui a la tête dans les étoiles. Elles y déposèrent leurs affaires de cours et Esther prépara quelque chose dans la cuisine, demandant à Manon de s’installer tranquillement et de faire comme chez elle, elle lui alluma la télé et tomba sur une chaîne quelconque.

Manon : « Qu’est-ce que tu fais ? »

Esther : « Ben… Si tu veux voir le couché du soleil, il faudra manger dehors, enfin pique-niquer quoi. »

Manon : « Tu veux un coup de main ? »

Esther : « Non, c’est bon j’ai bientôt fini. J’avais déjà commencé à préparer avant. J’ai commencé l’année dernière. »

Elle disait ça toute joyeuse, un grand sourire aux lèvres et des fleurs flottantes autour de sa tête. Manon écarquilla les yeux aux bout d’un certain temps, restant bouche bée :

Manon : « Quoi ? »

Esther : « Toujours aussi longue à capter pas vrai ? Mais je rigolais bien sûr, si tu veux faire une indigestion, ben… Va voir dans ma poubelle. »

Elle sourit et fourra le repas dans un sac à dos, son amie se leva :

Manon : « Euh… C’est si loin que ça ? »

Esther : « Nan, c’est la porte à côté. Mais moi qui aime bien me promener, je trouve se sac bien pratique… Tout est prêt, on y va ? »

Manon : « C’est partit, mon kiki ! »

Ensemble, elles s’engagèrent dans le bois au trot, il fallait monter une pente dès le début, Manon en resta pétrifié sur place :

Manon : « Il y a encore beaucoup d’autre surprise dans le genre ? »

Esther : « Oh ça ? C’est rien, enfin j’en ai l’habitude, il n’y a pas d’autre truc à monter, par contre il n’y a pas de chemin précis. C’est un bois quand même, donc le sol ne sera pas tout à fais plat. »

Elle sourit quand elle vit que son amie grimaça lorsqu’elle avait dit que le terrain comportera de petit obstacle. Puis au bout d’un moment, elles entrèrent dans une espèce de prairie. De l’herbe à perte de vue, en face un lac... Le lac dont parlait tout le temps Esther. Les oiseaux chantaient joyeusement et à tue-tête. La brune qui, normalement, sait garder son calme, ne put s’empêcher de se jeter dans l’herbe, douce et fraîche, pour s’y rouler dedans. Le parfum de la mousse et de la terre, humidifié par la fine brise du soir qui arrivait lentement, vint lui chatouiller le nez, elle éternua, ce qui la sortit de ses pensées enfantines. Manon la regardait, la bouche entrouverte, elle ne l’avait jamais vu comme ça, son amie lui fit signe de la rejoindre, mais elle avait l’air de cette transformé en stalagmite. La brune au sol, se leva et vint vers elle en sautillant :

Esther : « Viens c’est super amusant. Fais comme moi, roule toi dedans, c’est doux et ça sent bon. »

Manon : « … »

Elle parut hésiter, d’un coup Esther la trouva… Timide. Alors elle la poussa de toutes ses forces et cette dernière tomba sur le sol, roulant sur cette mini colline, d’abord elle hurla de peur, puis commença à rire aux éclats. Une fois par terre elle huma l’air, comme pour imiter son amie, il est vrai qu’il y avait un doux parfum de fraîcheur, elle trouvait ça… envoûtant. Puis, elle ouvrit ses yeux, le soleil était en train de se coucher, la jeune brune s’assis et le fixa, les reflets rouges ondulés dans l’eau, le soleil orange lui rappelle les oranges que ça grand-mère cultivait, le dégradé de rose et de bleu était magnifique. On commençait à voir les premières étoiles et la lune débuta son apparition. La douce brise du soir souffla sur la jeune étudiante, elle l’inspira à fond. Ce n’était pas comme en ville, ici, on sentait la nature, et on la vivait, là bas, le gasoil de partout, l’odeur âcre des déchets dans l’air. Puis Manon se rendit compte qu’Esther n’était pas descendu, elle se retourna vers le haut de la petite colline, elle était toujours là, mais aux aguets, elle scrutait l’horizon, comme si… Elle cherchait quelque chose. Manon se releva et lui dit :

Manon : « Qu’est-ce que tu fiches encore ? »

Esther : « Il y a un truc bizarre, enfin qui cloche mais je ne vois pas ce que c’est. Tu entends ? »

Manon : « Non, pourquoi ? Et où sont les oiseaux ? »

Esther : « Bonne question, maintenant je peux me prendre pour un agent du NCIS. »

Elle rigolèrent quelques temps, puis la jeune fille en hauteur regarda une dernière fois autour d’elle, avant de faire un pas en avant pour descendre :

Manon : « Ben pourquoi tu viens, s’il y a quelque chose il faut que tu restes là haut. »

Esther : « J’allais quand même pas te laisser seule, non ? Bon c’est pas tout mais le couché de soleil ça ne sera pas pour aujourd’hui, on va rentrer. »

Au même moment, plusieurs corbeaux s’envolèrent dans le ciel, Esther pris peur et se mis en position d’attaque, un réflexe dit-elle… Quant à Manon ? Elle fit un pas en arrière et regarda les oiseaux de jais s’envoler dans leur cri perçant. Quelques secondes plus tard, l’une des deux dis :

Esther : « Il est toujours là, ne jamais croire que cette chose est partit, quand un corbeau s’envole dans un de ces cris ça veux d… »

Un éclair noir jaillis des buissons et se jeta sur Manon, la cognant de plein fouet contre un arbre, l’animal était plus fort qu’un homme. Un creux s’était formé derrière la jeune fille, elle regarda Esther, comme si elle lui supplier de l’aider. Mais l’autre, qui n’avait toujours pas réagis, figé par la peur, chercha vainement quelque chose pour attirer son attention ici. Elle trouva un caillou non loin de là, et le balança sur la chose. Cette dernière lui lança un regard noir du coin de l’œil sans trop quitter Manon des yeux. Le caillou n’avait pas fonctionné, idiote qu’elle est, elle s’approcha de la bête, et tenta de la taper, l’autre ne semblait rien sentir, d’un coup de bassin, il l’envoya baladait dans l’herbe. Esther revint à la charge, elle lui sauta sur le dos, et, pour ne pas lâcher prise, l’enlaça. Elle fut étonnée de voir que la bête s’apaisa à cette affection donnée involontairement, l’animal lâcha Manon qui s’éloigna de lui dès qu’elle toucha le sol, il avait l’air de s’endormir comme si tous ça l’avait épuisé. Puis, ce qui étonna le plus les deux amies, c’est quand il redevint un homme, ou plutôt un jeune homme, d’abord, il était à poil, et ensuite c’était le nouveau de leur classe.
Fin pour le moment
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Cette fic a été inventé il y a deux jours, en pleine nuit, j'avais invité une amie à dormir et je l'ai obligé à inventé une fic xD. C'est pour ça quue son titre c'est The Night, enfin bref, ça donne ça.
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MessageSujet: Re: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptyMer 6 Jan - 23:20


Chapiter 2 :

Autrefois, il y a des lustres, dans un village perdu en plein coeur d'une forêt, un onii faisait sont apparition toutes les pleines lunes. Il détrusait le village: il faisait des trous dans le toits des maisons construites, piétinait les terres agricoles, mangeait leurs animaux, effrayait tout le monde, mettait parfois le feu aux toits en paille, et personne ne pouvait l'arrêter, pas même les plus valeureux guerrier, il mourrait tous au combat ou fuiyait en hurlant comme des fillettes apeurés. Le chef du village en eux un jour marre de tout se raffus, il décida donc qu'à la prochaine pleine lune, il irait parler à la bête, sans arme. Les vilageois se dirent que s'étaient peut-être une bonne idée: la guerre s'arrêterait. Enfin, c'est ce qu'ils pensaient...
Le chef, de la famille Yamamoto, vint près d'une pierre: la pierre centrale de la forêt, là où les personnes disparaissaient à jamais, il attendit. Assis mais aux aguets, sans bouger, emplit de sagesse, il se laissait porter par le vent qui soufflait, en inspirant profondément. Personne n'avait vraiment vu la bête, enfin ce qui l'avait vu était déjà mort depuis bien longtemps. Soudain, des craquements l'attira, un bruit de feuilles écrasées le fit frémire. L'onii était là. Il ne le voyait pas mais sentais sa présence. Il sentais aussi un souffle régulier sur son cou, des mumurres se firent entendre. Le bruit de cette animal était semblable aux cris d'agonie d'un chien. Ses chuchottements ressemblaient au son que font le frottement des feuilles quand la brise d'hiver est là. Ses longues griffes était telles des racines d'arbres, sont corps fin et maigre dévoilait ses côtes, et pourtant il ne faisait que manger. Sa longue queue passa sous le nez du jeune chef, ce dernier ne bougea pas, il savait que s'il faisait le moindre mouvement, s'en aurait été fini pour lui. Et son peuple mourrait tranquillement de famine et de maladie grave, causés par leurs faiblesse et l'odeur de la mort qui regnerait sur le village. Il lui dit simplement:

Chef: - Je me vois l'obligeance de vous parler. Un pacte s'impose entre nous.

Les yeux blanc et les petites pupilles noires de l'onii s'emplirent de curiosité, il pencha la tête sur le côté avant de s'écarter de l'homme et de feuler tel un chat en colère. Il vint s'imposer en face de lui, et lui répondit:

Onii: - Tu es bien courageux homme... Venir à moi est une vraie tentative de suicide. Mais bon, je vois donc que vous n'êtes pas là pour me parler de cela. Me tromperais-je?

Chef: - Vous n'avez pas tort. Puis-je me permettre de vous proposer un marché?
Onii: - C'est tout entendu...

Chef: - Pourriez-vous stoper vos dégâts dans notre forêt? Mon peuple vous craint terriblement, ce qui empêche la rénovation du village.

L'onii lança un regard noir au chef, mais celui-ci ne bougea pas, il était prêt à faire tout pour sauver ses villageois, même à y laisser la vie. Il crut même qu'il allait l'abattre après ses paroles mais il lui serrait lâche d'assassiner quelqu'un sans que cette victime n'est d'arme. Enfin, c'était la loie imposé dans cette forêt. Puis la bête s'apaisa et répondit:

Onii: - Accordé... Mais à une seule condition, et si vous ne la respctiez pas, il pourrait arriver malheur à votre peuple bien-aimé.

Chef: - Je suis toute ouïe en se qui concerne votre proposition.

Onii: - Chaque fois que la Pleine lune apparaîtra six fois, je veux que l'on m'apporte un enfant d'au moins trois ans. Je le choisirai moi-même...

Le chef écarquilla les yeux, comment osait-il lui demander une chose pareil. Tout cela le terrifiait, et l'onii le voyait. Dans un sourire, il attendait la réponse du jeune Yamamoto. Ce dernier mis du temps avant de répondre, ce n'étais pas une decision à prendre à la légère. Néamoins, il acquieça légèrement et à contre-coeur. L'onii rendit alors son sourire encore plus large, et sautilla sur place, content qu'il est accepté.

Onii: - C'est une très bonne iniciative, car de toute façon, si vous n'aviez pas accepté, j'aurai doublé mes ravages au sein de votre village.

Chef: - Et qu'arrivera-t-il si je refuse de vous livrer l'un des enfants?

Onii: - Je me verrais dans l'obligeance de vous punir, vous et votre peuple. En attendant la prochaine lune, engraissez-moi l'enfant de la jeune agricultrice, dans le champs de blé.

Il accepta de nouveau, et encore une fois à contre-coeur. L'onii disparu dans la cime des hauts arbres que présentait cette forêt, et le chef retourna aux village, penaud... Il expliqua à ses villageois le pacte choisi... Des cris d'effrois jaillirent de la bouche de certaines femme qui avaient leurs enfants de moins de trois ans. Des murmurent firent place, ceux qui n'ont jamais apprécié leurs meneur l'insultais dans son dos, disant que c'était de sa faute si l'on en était arrivé ainsi. Chauqe six lunes, l'onii choisissait ses victimes, et en était ravi. Il souriait, dévoilant toutes ses dents acérées, faisaint peur aux petits. Il prenait son temps et tout le monde avait du mal à digérer cette histoire. Des années passèrent, et le jeune Yamamoto devint un chef respectable, il avait choisi une épouse et venait d'avoir un enfant avec elle. Il grandit à vu d'oeil, ses parents étaient fier de lui, disant que plus tard il sera un très bon meneur. Et oui, c'était un garçon. Six lunes plus tard, l'onii fit sa réapparition, quand il vit le jeune et futur chef, il s'en pris à lui. Il le voulait, mais cete fois, il serra apporté differement, il voulait qu'on le serve son plat sur la pierre au centre de la forêt. Mais le père de la prochaine victime refusa d'y prêter mains forte. Il ne savait pas ce qu'il savait subir, mais il le pensait déjà: la mort. Certains villageois ripostèrent, disant qu'eux ils n'avaient pas eu le choix alors pourquoi lui il l'aurait? Mais la question restait sans réponse. L'onii diparu en lui laissant un lune entière pour engraisser l'enfant et le lui amener.
Comme promis, le bête revint, mais ne trouvant pas son dîner, il courut à pleine vitesse dans le village et hurla de rage tel les chanteurs de hard rock. Le manque de chair humaine le mettait très en colère. Le chef Yamamoto s'y attendait, il était là, assis dans le centre du village, et le fixa, son fils se tenait à ses côtés. L'onii hurla une deuxième fois, et cracha au nez de l'enfant:

Onii: - Tu n'es pas venu à moi, alors c'est moi qui viendrais en toi.

Il y eut une sorte de duplication et une boule de lumière entra dans les entrailles de l'enfant.

Onii: - Dorénavant, quand la nuit viendra, il sera à moitié onii, moitié humain. Il cherchera à soulager sa souffrance sur chaque personne qu'il croisera le soir. sa transorformation le fera souffrir, de fortes douleurs. Seul le pouvoir de son Chin'chaku pourra l'apaiser... Mais il faudra déjà le trouver....

Et il dirsparu dans la nature. Laissant l'enfant sous d'atroce douleurs. Il hurler et se tenait la tête, n'ayant pas l'habitude, puis devint oni'jin. Dès lors, chaque descendant de cette famile se transforma tous les soirs en oni'jin. Dès leurs trois ans, ils héritèrent du sort de leurs parents et apprennèrent dès leurs plus jeunes âges à ne pas rentrer trop tard, ou autre...

Horrifié par la malédiction jetée à son fils, le chef Yamamoto vint trouver le monstre dans sa grotte et le fit encerclé par ses plus valeureux guerriers, comme l'on pouvait si attendre le contact même avec cette créature démoniaque les firent tous périr. Néanmoins, un était encor en vie. Moku détenait un dons de naissance qui lui donnait le privilège d'etre l'un des rares mortelles à pouvoir rivaliser contre une créature démoniaque. Après un combat acharné, le démon mourut en ne laissant aucun corps derrière lui.
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MessageSujet: Re: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptySam 20 Fév - 14:35


Chapitre 3 :


[size=12]Une nuit blanche passa pour les deux jeunes filles, la vue de se montre les avait horrifiés. Elles tentaient vainement de dormir, mais avec les yeux grands ouverts et des images qui se défilent dans leur tête, ce ne fus pas chose facile. Elles avaient beau se dirent de ne pas y penser, la scène leur revenait toujours. Manon, crevée par cette dure journée, s’endormie tôt le matin, où le soleil n’était pas encore levé. Quand à Esther, elle, avait le sommeil tellement agité qu’elle se leva pour boire un verre d’eau, le volet de la cuisine n’étant pas fermé, elle pu nettement apercevoir une sorte de gros chat à taille humaine, ses gros yeux brillaient dans la nuit, il ne bougeait pas. La brune lâcha son verre qui tomba en mille morceaux, elle se baissa pour les ramasser et en relevant la tête, la bête avait disparu. La collégienne poussa un long soupir de soulagement, jamais elle n’avait vu ce genre de truc, et jamais elle n’avait ressentit une si grande peur.

Le lendemain, elles furent obligées de retourner au collège, des cernes sous les yeux, elles baillaient toutes les cinq minutes, mais bon, après s’être caillé dehors, elles furent assez réveillées pour pouvoir poursuivre les cours sans prendre la peine de s’endormir. Un troupeau de collégienne s’était regroupé autour d’une personne, cette personne n’était d’autre que Takanori, le nouvel élève, arrivé hier. Au début, Manon et Esther se contentaient de l’ignorer parce qu’elle se fichait complètement de sa popularité, mais maintenant qu’elles avaient vu sa face caché, elles n’osaient plus l’approcher, ni même le regarder en face.
La sonnerie retentit, tous vont en cours, le troupeau de groupie poussait de long soupir, et au centre, Takanori pris une grande bouffée d’air, il se sentait enfin libre. Un mouvement attira son attention, c’était les deux brunes, qui n’étaient pas vraiment pressés d’aller à leur cours d’Espagnol, surtout avec leur prof. Ce dernier s’approcha d’elles avec un grand sourire, et lança :

Takanori : « Salut ! »

Celles à qui il avait adressé la parole s’étaient resserrées tel des pingouins lutant contre le froid, elles ne s’attendaient pas à ce qu’il vienne et qu’il les salut. Mais elles restèrent aussi muettes que des carpes :

Takanori : « Merci pour hier, je suis désolé si je vous ai effrayé, mais… »
Esther : « N’en rajoute pas ! On ne veut rien savoir… »
Takanori : « Par peur ou par ignorance ? »
Manon : « Euh… Un peu plus la première proposition… »

Elles étaient figées et Takanori se contenta de pousser un soupir avant de relancer :

Takanori : « Je pense que nous sommes partis du mauvais pied, devenons amis ? »
Manon : « Pour information, je te rappelle que nous sommes les paumés de ce bahut, enfin, nous, on s’en fiche. »
Takanori : « Bon ben, je peux déjà commencer par traîner avec vous. »
Esther : « Tu dis ça pour nous rajouter à ton groupe de fans ? »
Takanori : « Non non, mais vous m’avez aidé et toi, surtout, tu es important pour moi ! »

Il s’adressait à Esther, qui se cacha derrière son amie quand il la fixa, elle ne comprit pas pourquoi mais elle ne voulut pas en savoir d’avantage, soit disant que ça pourrait lui retomber dessus. Voyant qu’un rien de ce qu’il pouvait dire les effrayait, il leur sourit amicalement et dit d’un ton ferme :

Takanori : « Je sais que savoir ce qui m’arrive ne vous plairez pas, mais, si vous n’êtes pas au courant, ça pourrait entraîner de graves conséquences. »

Il n’était pas menaçant et n’avait jamais dévoilé son secret à une personne, sauf que voilà, il avait trouvé se qu’il devait chercher, et maintenant il allait devoir le protéger tel une pierre précieuse. Il avait déjà révélé son mystère à quelqu’un, mais voilà qu’à cette fameuse personne, un malheur lui ai arrivé, honteux, il ne la plus jamais revu depuis.
La deuxième sonnerie se fit entendre, faisant sursauter les deux jeunes filles, se rendant compte de leur retard, elles coururent jusqu’à la salle, suivit de près par leur nouvelle fréquentation. Elles grimacèrent une fois entrée mais ce qu’il y avait de bien dans ce cours c’est que la classe pouvait faire se qu’elle voulait sans que la prof ne s’en aperçoive. Cette dernière remarqua le récent camarade, elle, qui était espagnole pure, ne savait pas très bien parler français :

Mme. Mugnose : « Je vois qu’il y a un nouvel élève, bien installe-toi là, près d’Idris. »

Il obéit, sortit ses cahiers, son voisin le prévient que s’il avait mal dormi, il pouvait rattraper son sommeil dans ce cours et le rassura qu’elle ne s’en rendrait même pas compte. Idris lui raconta alors tout ce qu’il avait enduré depuis le début de l’année avec cette prof. Mais le brun ne l’écoutait pas, il se contentait de chercher ses nouvelles amies dans la salle, il les trouva, deux rangés à sa gauche. Elles étaient ensemble sur une table collé contre le mur de gauche, à leur regard, on voyait qu’elle s’ennuyait, Manon faisait semblant d’écouter et Esther dessinait sur son cahier. Takanori sourit et sombra dans un ennui jusqu’à la fin du cours. Il faillit s’endormir, mais la prof l’interrogea au moment où il allait fermer les yeux et se laisser emporter dans des rêves.
A la fin de cette
"Léçon" comme le disais Mme. Mugnose, la classe se dirigea vers la salle de technologie, où cette dernière est séparée en deux groupes par ordre alphabétique. Le nouveau se retrouva dans le deuxième groupe, son nom commençait par un "Y", il fut content de se retrouver dans le même groupe qu’Esther, il voulait lui expliquer ses paroles de ce matin mais elle semblait l’ignorer. Il lui glissa alors dans sa trousse un papier disant « À la récré, devant notre prochain cours... Avec Manon. » C’était clairement écrit, noir sur blanc. Comme c’était des travaux pratiques, il put facilement le cacher dans la trousse à la brune. Une fois à sa place, cette dernière découvrit le mot et le lu, premier réflexe regarder Takanori, qui semblait lui aussi la fixer. Elle détourna vite son regard, comme d’un coup fasciné par les ciseaux qu’elle tenait en main. Le cours se termine, comme d’habitude, le groupe B, c’était comme ça qu’on l’appelait, rangea les objets utilisés aujourd’hui pour leurs travaux, et partirent. Manon retrouva son amie dans le hall d’entrée, elles allèrent déposer leurs sacs à leur prochaine salle de cours, une salle de mathématiques. Elles allaient repartirent pour ne pas manquer la récrée et profiter de la cours quand leur nouvel ami aux yeux ambres les en empêcha :

Esther : « Ah ! J’allais oublier, on est censée l’attendre ici. »
Takanori : « Sauf que vous alliez partir… Bref, il faut que je vous parle au sujet de ce qui s’est passé, j’ai demandé à être ici car c’est plus calme et il n’y a donc personne pour nous déranger… »

Il leur raconta le récit de son père, qui tenait de son père, qui lui aussi tenait de son père… etc. Jusqu’au moment où il cita le Chin’Chaku en montrant de la tête Esther. Les deux jeunes amies restèrent bouche bée dès qu’il eut fini. Puis Esther commença :

Esther : « J’ai pas trop compris en quoi j’étais importante pour toi. »
Takanori : « C’est pourtant simple, tu es mon Chin’Chaku ! »
Manon : « A tes souhaits ! »
Takanori : « Bon, comment dire, quand je me transforme, il suffit que tu m’enlace pour que je redeviennes humain. Pigé ? »
Esther : « Oui, mais sa sert à rien, non ? »
Takanori : « Si. Il peut arriver des jours où ma haine est tellement grande que j’éclate avant la tombée de la nuit, et là, ça fait des dégâts. »
Manon : « C’est pour ça que tu veux traîner avec nous ? »
Takanori : « T’as tout compris ! »

Et il ria, seul, Manon réfléchissait à ses paroles et Esther se sentais gênée, devenue rouge de honte elle repris la conversation :

Esther : « Alors ce n’était pas parce qu’on était les seules à ne pas être groupie que tu voulais rester avec nous ? »
Takanori : « Et bien non ! »

Il riait toujours.

Esther : « Désolée de t’avoir cru ainsi ! Je ne pensais pas que ça serait pour ton bien ! »
Takanori : « C’est pas grave, après tout, tu ne pouvais pas savoir. »
Manon : « Bon ben tu vas devoir traîner avec de grosse paumée »

Et ils allèrent rejoindre leurs camardes élèves dehors afin de s’amuser avec le sourire
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MessageSujet: Re: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptyDim 21 Fév - 14:05


Chapiter 4 :

U
ne longue journée venait de se terminer, les trois ados venaient de sortirent du collège :

Takanori : « Quelle journée aujourd’hui ! »
Esther : « Faudra t’y habituer, c’est ça la vie d’un collégien de Pierre Labrute »

Pendant ce temps, Manon, n’écoutant pas du tout leur dialogue, se sentis observé, avec une ironique discrétion, elle regarda autour d’elle et vit un parfait inconnu les fixer. Il portait un étrange chapeau noir qui cachait une grande partie de son visage. Voyant qu’elle était prise pour cible, elle se retourna vers ses amis, pris un air de paumer et lança :

Manon : « De quoi vous parliez ? »
Esther : « Manon… Tu sais, il faut apprendre à écouter dans la vie, plus tard ce sera un atout pour toi ! »
Manon : « Mais c’est pas ma faute, c’est le monsieur là-bas qui me fait peur. »

Takanori et Esther concentrèrent leur regard sur l’individu au chapeau sombre, la brune pencha la tête sur le côté, ce qui était une manie pour elle, le brun fronça les sourcils et d’un geste protecteur serra l’épaule d’Esther qui couina en sursautant. Takanori s’en inquiéta :

Takanori : « Qu’est-ce qu’il se passe ? »
Esther : « Rien, tu m’as fait des chatouilles ! »

Elle prit une moue gamine, Takanori retira sa main en un soupir de soulagement et lança un regard noir envers le jeune homme :

Takanori : « C’est rien, un mec louche, il ne va rien nous faire. »

Ils continuèrent leur chemin, passant devant l’inconnu, qui en profita pour s’avancer et bousculer Takanori, il hurla d’une voie racaille :

Bonhomme à chapeau : « Regarde où tu mets tes pieds ! »
Takanori : « À l’origine c’est toi qui m’a bousculé. »
Bonhomme à chapeau : « Ecoute-moi bien, cherche pas les embrouille. Je veux des excuses, tout de suite ! »
Takanori : « Chercher les ?... Mais c’est toi qui… »

Il n’eut le temps de finir sa phrase que le poing de l’inconnu partit droit vers le visage du brun. Heureusement pour lui, il réussit à l’esquiver, mais tentant vainement de le calmer un autre coup repartit, il esquiva de nouveau. Esther essaya d’intervenir, ne voulant pas qu’il s’énerve mais Takanori avait déjà riposté d’une droite, Manon, à la ramasse contemplait les nuages dans le ciel. Le jeune homme au chapeau se prit un coup de poing dans le ventre, le souffle coupé, il s’agenouilla en se recroquevillant sur lui-même, mais n’eut le temps de reprendre ses esprits que son assaillant reprit le combat en lui donnant un fort coup de pied entre les côtes. L’adversaire au brun roula sur le côté :

Takanori : « P’tit con ! »
Esther : « Takanori ! Stop ! »

Elle était très en colère, elle ne voulait pas qu'il s'énerve mais un fou rire attira toute son attention, l’homme à terre, qui n’avait son chapeau, riait et dit envers Takanori :

Bonhomme au chapeau : « T’as pas changé, tu fais toujours aussi mal ! »

Le concerné fronça d’abord les sourcils mais quand son adversaire releva la tête pour le voir, ses pupilles s’arrondirent :

Takanori : « Keyno ? »
Keyno : « En personne ! »
Takanori : « Qu’est-ce que tu fous là ? »
Keyno : « Je ne veux pas tout gâcher mais le sol m’est inconfortable. »

Il l’aida à se relever en faisant un grand sourire, et Manon, qui se rendit enfin compte du nouveau venu, dit :

Manon : « Et mais ? C’est qui lui ? »
Takanori : « Lui, c’est un très vieil ami. Je vous présente Keyno, 14 ans de bonheur et toujours gamin ! »

Ce dernier était un blond aux yeux d’un bleu profond, grand et mince avec un sourire chaleureux, sur sa joue gauche était gravée une cicatrice, sûrement faite par une griffure. Manon, paumé comme elle est toujours, tendit sa main :

Manon : « Enchanté ! Ravi de faire votre connaissance.»
Keyno : « Moi de même. »

Takanori avait l’air de revivre tel un Phoenix qui renaît de ses cendres. Il n’arrêtait pas de commencer ses phrases par un « Tu te souviens de… Tu te souviens quand… » Il sautillait autour de lui, il avait l’air heureux de voir son ami, tellement que Manon lâcha :

Manon : « Et dis donc, calme-toi un peu ! Ce n’est pas comme si c’était ton seul ami ? »

A ce moment, un grand silence s’installa, on aurait même dit que les oiseaux s’étaient tus. Voyant la gaffe que venait de faire son amie, Esther s’étira en prenant bien soin de donner un coup de poing à la brune au passage :

Esther : « Ah ! Qu’il est bon d’être ici. L’air est si pur. »
Takanori : « Pur ? Auprès des poubelles ? »
Esther : « Euh… Oui ! Enfin… Non… Enfin… Bon puisque c’est ça je me tais ! »

Elle prit une mine boudeuse sous le ton de Keyno :

Keyno : « C’est ça tes amies ? »
Takanori : « Faut croire. »

Il tourna le regard vers les deux jeunes filles, où Manon était d’un coup fasciné par l’herbe et Esther boudait encore dans son coin. Cette dernière trouva une idée qui plairait sûrement à certain, elle lança :

Esther : « C’est le Week-end non ? Alors pourquoi on ne se retrouverait pas chez moi. Enfin, plutôt, on pourrait camper dans la forêt près de ma maison. Vous n’êtes pas d’accord ? »

Keyno regarda son ami d’enfance, inquiet, il ne savait pas qu’elles étaient au courant pour ce qui lui arrivait. Takanori venait d’accepter l’invitation :

Keyno : « Non mais t’es pas fous ? »
Takanori : « De ? »

Le jeune blond baissa le volume de peur que les filles ne l’entendent :

Keyno : « T’as oublié ce qui t’arrivait tout les soirs ? »
Takanori : « Oh ça ? T’inquiète, elles savent. »
Keyno : « Ce n’est pas un peu dangereux d’accepter ? Tu aurais pu gentiment décliner l’offre tu sais ? »
Takanori : « Ne t’inquiète pas je t’ai dit, je sais ce que je fais, et ce n’est pas dangereux. Tu comprendras. »

Keyno n’en dit pas plus, ils marchèrent jusque chez Esther, une fois là-bas, elle demanda l’autorisation de passer la nuit dehors avec des amis, comme d’habitude, ses parents acquiescèrent. Elle leur fit parvenir leur où ils devaient se rejoindre et l’endroit, puis chacun retourna chez lui pour préparer leurs affaires, seul Takanori resta chez Esther, il n’avait pas vraiment besoin d’affaire, mais d’une tenue de rechange au cas où. Voyant que la nuit commençait à tomber, Takanori lui dit de la rejoindre dans la forêt, au même endroit où ils s’étaient rencontrés pour la première fois.
Quand à Manon et Keyno, eux, se rendirent compte qu’ils habitaient presque à côté. Leur trajet, ensemble, était silencieux, seuls les bruits de pas se faisaient entendre. Mais la brune n’en voulait pas de ce silence, elle allait le briser mais son voisin la devança :

Keyno : « Alors comme ça, vous êtes au courant… Pour Takanori. »
Manon : « Oui. »
Keyno : « Alors pourquoi ton amie a demander à passer la nuit tous ensemble alors qu’elle sait tout ? »
Manon : « Pourquoi aurait-il dévoilé son plus grand secret à deux parfaites inconnues ? C’est qu’il y a une bonne raison, réfléchis un peu ! »
Keyno : « Qui êtes-vous pour lui ? »
Manon : « Nous sommes juste devenus amis. Mais bon, tu poses trop de question, à mon tour. Comment as-tu eut cette cicatrice ? »
Keyno : « C-c’est rien ça, c’est… Mon chat, oui c’est ça, c’est mon chat qui m’a fait ça ! »

Manon lui fit un regard qui montrait bien qu’elle ne le croyait pas, elle décida de le taquiner un peu :

Manon : « Et ton chat, il est mort ? »
Keyno : « Non, il est toujours en vie, mais je ne pourrais pas te le montrer car euh… Il ne vient que pour manger et dormir. »
Manon : « Donc, il y a chez toi, beaucoup de poil de chat en été. Vu que ce félin mue. »
Keyno : « En effet. »
Manon : « Alors comment se fait-il qu’Esther, étant allergique au poil de cet animal, n’est pas éternué quand tu l’as approché ? Tu ne dois pas mentir souvent, car tu ne sais pas mentir. »

Elle insista bien sur le négatif de sa fin de phrase et le jeune adolescent poussa un long soupir :

Keyno : « Bon d’accord, j’avoue que je ne t’ai pas dit la vérité. Tu veux la savoir ? Bien puisque tu es au courant pour Takanori c’est qu’il doit te faire confiance. Ben voilà : l’Onii-Jin m’a griffé. »
Manon : « Oh ! Euh… Désolée. »
Keyno : « Oh mais je ne le suis pas moi. »
Manon : « Bref… C’est pour changer de sujet mais je pense que nous avons oublié de faire les présentations, non ? Ben salut Keyno, moi c’est Manon, et mon amie c’est Esther. »

Et c’est sur ses derniers mots qu’ils se séparèrent afin de prendre leurs affaires et de retourner rejoindre leurs amis qui les attendaient. La nuit était tombée dans la forêt, le couché de soleil avait disparu laissant place à un croissant de lune. Esther avait fait un petit feu, elle s’était renseigné, il n’y aurait pas de vent prévu pour se soir, ils pourront donc, se réchauffer avec un bon feu de camp. Ce fut Keyno qui rejoignit la brune en premier, à sa grande surprise Takanori était là, normalement il n’aurait rien dit mais la nuit tombée il doit logiquement se transformer, il resta là planté, il essayait de réfléchir au pourquoi du comment, mais abandonna et préféra aller s’asseoir auprès de son ami. Manon arriva ensuite, rien ne la choquait vraiment puisqu’elle était au courant de tout… Enfin presque.
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MessageSujet: Re: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptyMer 10 Mar - 16:25

Chapiter 5 :[/size]
A
près avoir fait griller six paquets de chamallow, tous furent rassasiés et n’avait qu’une envie, celle de dormir. Malheureusement pour eux, ils se rendirent compte au beau milieu de la nuit qu’ils n’avaient pas pris de tente, ce qui ne dérangeait pas Esther vu qu’elle avait l’habitude de dormir à la belle étoile. Elles leurs lança tout en montant dans un arbre :

Esther : « Bien, puisqu’il n’y a pas de tente vous avez le choix entre dormir à sous la lune au sol ou dans un arbre. »
Takanori : « Mais on pourrait tomber et se faire mal. »
Esther : « Je sais, mais bon on s’y habitue au bout d’un certain temps, bref, moi je me fiches des bobos tant que je peux dormir en paix. »
Manon : « C’est une maso celle là… »
Esther : « J’ai entendu ! Au fait, vous entendrez parfois des bruits bizarres, il y a beaucoup d’animaux qui sortent la nuit, parmi eux il y a certains serpents, des araignées, et sans oublier les moustiques, ah ça pour y en avoir, il y en a. »
Keyno : « J’aime pas les moustiques… Il n’existe pas des crèmes contre leurs piqûres ? »
Esther : « Si, j’en ai amené. Tiens prend ça. »

Elle lança un bombe anti-moustiques pour extérieur, Keyno l’utilisa aussitôt, ensuite elle sortit une lampe qui attire les insectes mais les faient cramer s’ils s’approchent de trop près. Contente, et parce qu'elle en avait aussi l'hbitude, elle s'endormit vite que les autres:

Keyno: " Quelqu'un arrive à dormir? "
Manon: " Nan pas moi. Tous ces bruits étranges me gênes..."
Keyno: " Ben on est deux... "

whoever brings the night - Nightwish

Des bruissements de feuilles attirèrent leur attention, n'ayant aucune lumière sauf la lune ronde, haute dans le ciel noir, ils se regardèrent avant de bouger lentement et de se réfugier dans le plus haut arbre. Ils eurent du mal à monter car ils n'étaient pas vraiment en tenue pour ça, ni en bonne condition. La bête grisâtre était sortie de son refuge, elle feulait bizarrement un peu comme un chat et se déplaçait comme un loup, elle avait un peu la forme humaine. Les deux adolescents crurent d'abord avoir à faire à un loup garou, mais en regardant bien, c'était l'onii-jin. Aveuglé par la peur, ils poussèrent des cris silencieux, même Keyno ne le reconnu pas, ils lui balancèrent des petites branches d'arbres, parfois un peu d'écorce. Mais la bête courant à toute vitesse, sauta sur l'arbre et s'y agrippa à l'aide de ses grandes griffes aussi tranchantes que des dents de requins. Ses long crocs tentaient de mordre Manon et Keyno, qui essayaient de monter plus haut, mais le monstre les rattrapaient aussi vite qu'un éclair. Pourtant, si on le remarquait bien, il n'était pas totalement transformé, des gouttes ruisselaient sur ses joues, et, malgré ses sourcils froncés, on pouvait voir de la souffrance à travers cette rage intense. Cette dernière ne s'arrêtait de grandir, la nuit un l'Onii'Jin se devait de se défouler sur quelque chose, il ne pouvait s'en empêcher, cette métamorphose était, pour Takanori, incontrôlable, même si son âme reconnaissait ses amies, l'autre partie, elle se contentait de vouloir déchiqueter quelqu'un. Cette partie n'est que vraiment actif la nuit, où si une personne l'embêtait trop au court d'une journée, il se transformait avant l'aube.
Keyno tentait de le résonnait, même s'il gardait toujours autant de distance, Manon, elle, commençait à avoir les larmes aux yeux, jamais elle n'avait eu aussi peur de sa vie et savait que ça allait continuer, elle se devrait donc de s'habituer à ça, mais au fond d'elle, se promettait de ne jamais l'inviter un soir. Il arrivait à la cime de l'arbre, et l'Onii-Jin les rattrapait, le tronc ne cessait de bouger, ce semi humain s'en fichait, il voulait attraper les deux amis en guise de proies. Ce gibier, étant tout de même fait de chair humaine, avait beau essayer de le retarder, ils n'y arrivaient pas, puis la brune craqua: elle hurla. Un cri strident retentit, Takanori secoua sa tête avant de cracher sur elle, son hurlement lui brisait les tympans, on voulant y échapper, il descendit de l'arbre aussi vite qu'il était monter, attendant en bas que tout ceci cesse. Esther, n'étant pas habitué à entendre ce bruit là, ce réveilla en sursaut avant de se mettre en position d'attaque, constatant que le cri était un peu plus loin, elle se détendit, avant de se rendre compte qu'il ne s'agissait pas de couinement animal, mais plutôt d'être humain. Elle se précipita aussi vite qu'elle le pouvait à l'endroit où se tenait ses autres amis, et bondis sur la fourrure grise qui se tenait près d'elle. Ce qu'elle ne savait pas, c’est que c’était son ami, les yeux d’un humain n’est pas fait pour qu’ils voient dans le noir, elle ne voyait un rien de cette personne, juste le poil du monstre reflété sous la pâle lueur de la lune ronde. Une fois à demi agrippée sur son dos, elle tenta vainement de lui couvrir ses yeux de flammes, elle ne savait pas vraiment quoi faire, ni ce qu’elle faisait, de toute façon, que pouvait-elle donc faire contre une pareille créature. Ce dernier l’envoya valser dans les airs en un coup de patte, non il ne l’avait pas vraiment touché, il s’était juste levé d’un bond avant de se cabrer. Il hurla, mais ce cri était différent de celui qu’il poussait normalement, celui-ci était un espèce de grand couinement mélangé au grognement qu'un animal pousse quand il est soudainement blessé. Keyno descendit, sans Manon, qui préféra rester perché en haut de son arbre. Le blond, une fois en bas, fit un espèce de cercle avec ses mains, il allait de plus en plus vite, jusqu'à ce que la forme d'un cercle couleur saphir. Ses gestes ne s'arrêtèrent que lorsque que l'anneau ai des petits éclairs qui se forment à l'interieur de lui même. Une fois ceci apparu, Keyno fit signe a Esther de laisser la bête tranquille avant de projetter sa création sur l'être à fourrure grise. Il y eut comme une onde de choque et ce dernier vola contre un rocher tout près de lui, celui-ci se brisa en deux, et la créature fut totalement assomée. Manon descendit de son perchoir pensant que le dangé était passé, elle alla chercher une lampe et se dirigea vers le corps, sa respiration était normale, il pouvait se reveiller à tout moment.

Esther: " Il s'est ouvert le bras, Manon apporche la lanterne que je voies mieux la blessure."
Keyno: " Tu t'y connais au moins?"

Elle ne répondit pas. Toujours à cause de la faible densité de lumière, il n'avait toujours pas remarqué qui était leur agresseur, même en se penchant sur la créature.
Esther pris son désinfectant, un bandage et quelques pansements qu'elle gardait toujours sur elle, avant d'aller désinfecter la plaie. Manon, sûrement trop occuper à faire sa prière croyant qu'elle allait mourir, se rendit compte que Keyno aurait dû avoir une force sur-humaine pour vaincre un ennemi aussi puissant. Elle demanda:

Manon: " Comment as-tu fait pour l'assomer ainsi? "
Keyno: " Oh, ça? Je vois que tu n'es pas au courant de tout, c'est juste un petit pouvoir pour faire reculer le monstre..."
Manon: " Juste? Attends, t'as vu ce que t'as fait? Et tu dis que c'est JUSTE un petit pouvoir?"
Keyno: " C'est justement ce que je me demandais, celui-ci a vraiment était un peu trop facile à battre. "
Esther: " Voilà qui est fait ! La blessure n'était pas profonde, pas besoin d'être secouriste pour bander une plaie."

Elle sourit à ses amis, avant de les voir regarder derrière elle: Esther était toujours penché sur la créature au poil grisâtre, qui avait l'air de bouger légèrement. Avant de donner un coup de patte arrière sur la jeune brune. La bête s'était retourné, attendant à ce que sa futur victime tombe sur son poitrail, les griffes prètent à déchiqueter, les crocs luisants sous la lune ronde. Le Chin'chaku retomba automatiquement, torse contre torse, sur l'Onii-Jin, ses amis allait l'aider avant de se rendre compte qu'après l'attérissage de la jeune fille sur le monstre, une sorte de filament de feu s'enfuit de ces deux corps, ce déttèriorant dans la nature. Celui-ci ruissellait sur l'animal, faisant place à un autre visage, familier aux trois amis. Keyno dit haut et fort:

Keyno: " Takanori !"

Ils n'avaient pas compris, comment se faisait-il qu'il s'était transformé alors qu'il n'y a pas longtemps, pourtant en pleine nuit, il était humain? Quelque chose d'autre avait dû l'énerver, mais quoi?
Esther ne comprenant pas, le regarda, les yeux emplient de question qu'elle n'osait trop poser, mais se rendit vite compte qu'elle était couchée sur lui alors qu'il était.... nu.
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MessageSujet: Re: Fanfic - Délire   Fanfic - Délire EmptyLun 7 Juin - 20:02


Chapiter 6 :

A
présent, une semaine était passée après l'accident, tous furent obligés de retourner en cours et firent comme si de rien était. Comme d'habitude, dès l'arrivée de Takanori, un groupe de groupies s'était formé autour de lui, voyant son visage sombre, on sentait qu'il commençait à en avoir marre. Keyno venait de rejoindre le même collège que les trois amis et, dès lors, il fut traité comme l'Onii-Jin, en quelques temps, des clubs avaient été créé, et, une fois membres, on devient aussitôt les ennemis de Manon et Esther, elles qui pensaient avoir une vie comme les autres, qui pensaient ne servir à rien, sont devenues du jour au lendemain, deux personnes importantes pour les hommes les plus populaires du moment au bahut.
Les vacances de Pâques approchaient, et leur collège avait décidé de faire une "boum" le dernier jour de cours: chaque élèves devaient se déguiser et passer une nuit au bahut. Ils n'étaient pas obliger de se déguiser mais ils le pouvaient. Les quatre amis entraient au bahut quand soudain une jeune fille venue vers eux, elle avait de longs cheveux noirs et de grands yeux bleu azur. Keyno sourit à sa vue et se fut de même pour elle, les deux individus s’enlacèrent, ceux qui surprit Esther. Cette fille à chevelure noire faisait partie de la bande à Bulldog ! Qu’est ce qu’elle faisait avec elle ? Keyno et l’amie de Bulldog se tournèrent vers eux, il prit la parole :

Keyno : « Oh pardon je vous n’ai jamais présenté à Valentina ? »
Manon : « Non. »
Keyno : « Ah… Ben on est ensemble. »


Takanori et Esther restèrent sur le choqué. Ils regardèrent vers Manon, ses points étaient serrés, pourtant elle souriait, mais on sentait une légère touche de faux, et s’exclama :

Manon : « Ah, je suis contente pour toi... Vraiment ! C'est bien... »

Elle avait un sourire crispé, mais personne n'avait l'air de s'en rendre compte. Cette dernière rejoignit Esther et elle comencèrent à discuter, avec l'intruse Valentina, pendant que Takanori pris à part Keyno:

Takanori: " Pourquoi tu fais ça ? Tu viens à peine d'arriver ! Et pourquoi tu sors avec une fille pareil ? "
Keyno: " Ben, j'fais ma vie quoi... Toi, tu préfère les filles marantes, et moi les filles... Sexy, ou faciles... "


A la fin de sa phrase, Keyno sourit avant de passer près de Takanori et de retrouver ses autres amies. Quant à l'Onii-Jin, lui, resta immobile, bouche bée, ne sachant que dire, il n'arrivait pas à croire que son meilleur ami était en fait un dragueur de première. Esther, ne le voyant pas arrivé, crut tout d'abord qu'il s'était disputé avec Keyno, elle alla le rejoindre avant de voir qu'il était tout simplement choqué:

Esther: " Euh... Ça va ? "
Takanori: " Quoi ? Hein ? Ah ! Euh... Oui, oui, j'vais bien. "


La brune le dévisagea, il mentait, ça elle l'avait remarqué, mais il n'y avait pas de colère dans les yeux de Takanori, elle repartit donc rejoindre ses autres amis en faisant signe au brun de venir les rejoindre.
Vu que tout c'était passé un mercredi, il n'y avait pas cours l'après-midi. Les quatre amis se donnèrent rendez-vous près d'un parc pour trouver un costume pour la soirée déguisée. Une fois ensemble, ils partirent en ville et cherchèrent chacun quelque chose qui leur conviendrait. Pour les garçons ce fut plus simple, ils ne voulaient pas vraiment se déguiser et achetèrent un costard cravate chacun. Une fois sortit de la cabine d'essayage, ils demandèrent l'avis aux deux filles, l'une d'entre elles pouffa:

Manon: « C'est marrant ! On dirait des jumeaux! »

Mais un grosse voix se fit entendre par derrière, obligeant les quatre à se tairent. Esther frémit, elle ne supportait pas cette voix, ou plutôt celle à qui elle appartenait. Quelqu’un se précipita vers Keyno avant de lui sauter dans les bras et de l’embrasser. Au début celui-ci fut un peu surpris, mais quand il se rendit compte que c’était sa petite amie, il se détendit. Manon et Takanori froncèrent les sourcils et la dernière grogna légèrement : Bull-dog et ses amies étaient là :

Bull-dog: « Tiens! Takanori! Quel plaisir de te voir ici! Vous achetez des déguisements pour la fête ? »
Manon : « Malheureusement oui. Alors, toi et tes pouffiasses, vous allez déguèrpir aussi vite que vous êtes venus. »
Valentina : « Nan, mais t’arraches pas, hein ? Et puis on fait ce qu’on veux, O.K ? »
Esther : « Ouais, mais ce sera sans nous ! »
Bull-dog : « Reste pas avec ces clampines, Takanori, rejoins-nous ! Nous, au moins, on est populaire. »
Esther : « Rah ! Vous, vous n’avez que ce mot à la bouche ! La réputation ! Il n’y a que ça qui compte pour vous ! »
Manon : « Allez-les rejoindre vous, si vous le voulez ! »


Manon s’adressait aux jeunes garçons qui les accompagnaient et qui étaient toujours vêtus de leur costard-cravate. Ceux-ci la regardèrent avec de grands yeux ronds, le blonc avait l’air d’hésiter, et son ami, lui, c’était pris d’une soudaine envie de rire. Il regarda Manon, Esther et enfin le groupe de Bull-dog :

Takanori : « Ce sont peut-être des clampines, mais pour rien au monde je ne quitterai mes premiers amies. »

Manon se sentit devenir rouge de honte, elle venait de lui hurler dessus alors qu’il avait déjà décliné leur offre depuis longtemps, et puis… Elle connaissait une deuxième raison qui l’empêcherai de les quitter : le Chin’Chaku. Cet être étrange qui était tout simplement humain mais qui avait un pouvoir assez puissant, celui-ci étant de calmer l’Onii’Jin en l’enlaçant. Une petite envie traversa l’esprit de la brune, l’envie d’avoir un pouvoir à elle aussi, mais elle savait qu’elle n’en aurait pas, vu que tout le monde à ce qu’il fallait. Elle haussa les épaules toute seule, sans rien dire, perdue dans ses pensées :

Bull-dog : « Tout ça c’est bien gentil, mais les boutiques ça se fait pas en une heure. Qu’avez-vous prévus comme costume vous ? »

Les quatre amis se regardèrent, Esther et Manon plus intensément que les autres, normalement, elle ne leur adressait jamais la parole. Peut-être étais-ce à cause du vent que venait de lui faire Takanori en lui répondant ainsi ? Les deux filles ne dirent rien, elles laissèrent d’abord les garçons parler :

Keyno : « Oh… Moi et les déguisements ça fait deux, alors un simple costard cravate me suffira. »
Takanori : « Moi c’est à peu près pareil… »


Il leur lança un regard froid, il n’aimait pas les questions, mais au fond de lui il s’en posait une grande : Quand est-ce qu’elles allaient partir ? Il ne les aimait pas trop, elle se mêlait aux groupies du collège qui le collaient tout au long de la journée, et serai capable de tout juste pour se rapprocher d’eux, même de blesser ou de menacer quelqu’un. Bull-dog l’ignora, et fit un signe de tête prouvant qu’elle les avait entendus. Elle ne leur coula même pas un regard vers les deux jeunes brunes qui attendaient impatiemment leurs départs. Et un petit signe de révérence, elle dit :

Bull-dog : « Nous, comme chaque année où il y a une soirée costumée, nous nous déguisons en princesse. C’est marrant parce que tout le monde tombe à nos pieds. Mais, pour chacune de nous, il nous faudrait un cavalier pour l’accompagner. Takanori, voudrais-tu être mon cavalier ? »

Sans un s’il te plait, elle s’avança vers lui et lui pris le bras. Tout le monde tombait sous son charme, mon œil ouais ! pensèrent Manon et Esther rien qu’en se lançant un regard. Ensemble, elles croisèrent les bras, en signe d’impatiente, et l’une d’entre elles commença à taper du pied. Takanori repoussa gentiment Bull-dog, on sentait, malheureusement, en lui une touche de colère, qui ne ferait que grandir si le groupe de poufs ne partait pas immédiatement. Le Chin’Chaku s’interposa entre les deux personnes sans rien dire. Là, ce fut Bull-dog qui se mit en colère :

Bull-dog : « Nan, mais elle t’énerve pas elle, à toujours traîner dans tes pattes ? T’façon c’est qu’une chienne. Partons, on a plus rien à faire ici les amies. »

Valentina se détacha du bras de Keyno avant de l’embrasser et de partir rejoindre ses amies. Manon alla vers Esther, cette dernière fixant le sol. Takanori regarda le groupe partir au loin, et poussa un long soupir de soulagement, un peu plus et il allait éclater. Il allait remercier la brune mais, en la voyant tête baissé, il se demanda si elle ne s’était pas fait mal :

Takanori : « Euh… ça va ? »
Manon : « Mais t’es folle ou quoi ? Tu sais bien qu’elles savent quel est ton point faible ! Et puis, tu aurais dût me laisser faire… »
Esther : « C’est gentil, mais si Takanori avait éclaté, tu y serais passé. »

Elle releva la tête vers Manon, avant de tourner ses yeux vers le brun, elle lui fit signe que tout allait pour le mieux, même si elle avait les yeux rouge par les larmes qui lui remontaient, et un petit spasme lui remonta à la gorge. Manon la retourna, de sorte à être face à face, et comme si elle connaissait ce qui lui remontait le moral, elle lui attrapa les joues et fit comme les grand-mères qui secouent les bouilles de leurs enfants :

Manon : « Oh ! C’est chou ! »

La brune sourit à son tour, cherchant comme à sécher ses larmes, elle renifla un bon coup et se retourna vers tous ses amis :

Esther : « Bien ! Maintenant qu’elles sont enfin parties, on peut continuer à vaguer à nos occupations ! »
Manon : « C'est-à-dire… Continuer à chercher des costumes ! »
Takanori : « On va d’abord enlever les notre et puis on cherchera les vôtres. »

Takanori et Keyno firent volte-face afin de pouvoir atteindre les cabines d’essayages. Avant d’entrer, le blond interpella son ami :

Keyno : « Elles sont quand même un peu bizarre tes amies… »
Takanori : « Oui, mais une fois qu’on les connaît bien, on s’y attache. Et… On s’y habitue aussi ! »

Il pouffa ses derniers mots avant d’entrer dans la cabine et de ce retirer le costume. Keyno en resta sans voix, son ami, lui, si froid, si solitaire, plutôt réservé, venait de rire sur un rien, alors qu’il aurait bien pu… Comment se faisait-il qu’il soit plus expressif, plus naturel ? Cette question lui trottait dans la tête depuis quelques temps, enfin depuis qu’il l’avait retrouvé. Il trouvait que son ami d’enfance avait drôlement changé. Depuis l’accident qui c’était produit, Keyno dût déménager, ces parents ne voulaient plus qu’il approche ce « monstre », c’était ainsi qu’ils l’appelaient. Le blond avait de la peine pour lui, une peine immense, cet être si réservé, toujours dans son coin, froid comme une tombe et muet comme une image. Il n’était pas fier, mais seulement seul, dans ce monde remplit d’être presque semblable desquels il ne pourra jamais approcher sous son vrai jour. Le jeune blond soupira, il avait un peu pitié pour lui, il était vrai qu’il avait tout deux changés.
Le reste de la journée se passa bien, le groupe de poufs avait dût trouver leurs robes, car ils ne les croisèrent pas. Et chacun sans réjouit, chacun ? Non, Keyno un peu moins, car parmi elles se trouvaient Valentina, sa petite amie. Manon trouva vite se qu’elle cherchait : la robe d’Alice dans « Alice aux pays des Merveilles ». Pour l’autre brune, ce fut plus difficile, ce qu’elle recherchait se trouvait plus particulièrement dans certains restaurants, voir certaines maisons de riches. Ils furent plusieurs fois le tour de la ville avant de s’arrêter à un bar pour boire un petit quelque chose. Il devait être quatre heures. Esther s’affala sur sa chaise en disant dans un grand soupir :

Esther : « Je m’incline ! Il est impossible de trouver un costume de servante dans cette ville… »

Le serveur arriva pour prendre la commande, mais en arrivant, il entendit la plainte de la jeune brune. Il sourit, pris leur commande et repartit, toujours le sourire aux lèvres. Il avait fait semblant de mater Esther juste pour voir la taille et la mesure qu’elle faisait. Takanori faillit se mettre en colère, mais tous ses amis le calmèrent. Plus tard, le servant revint avec leur boisson et un gros bout de tissu dans ses mains. Il déposa à chacun leur breuvage et quand vint le tour à la brune, il lui tendit le textile, elle pencha la tête sur le côté, ne comprenant pas ce qu’il faisait :

Le serveur : « J’ai entendu dire que vous cherchiez un costume de servante. Si vous voulez, nous avons ceci qui pourrait vous aller. »

Il déplia le drap qui n’était autre qu’une jolie robe noir et blanche. Des étoiles scintillèrent dans les yeux d’Esther, elle n’osait la toucher, ses amis et elle avait eut beau faire le tour de la ville, rien. Et là, dans un simple bar, en voilà une, ce qu’elle cherchait depuis presque une demi-journée. Elle remercia le serveur autant qu'elle pouvait et en toute les langues qu'elle connaissait. Takanori et Keyno finirent par s'acheter deux chapeaux, enfin ils avaient trouvé un déguisement qui pouvait se porter avec un simple costard: le costume des Blues Brothers !
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