What's the matter ? [ Feu & Fleur de Jais ]

What's the matter ?

[ Pour Feu Sauvage et Fleur de Jais ]
Comme des enfants - Cœur de Pirate.

Cœur de Sang observa, le regard vague, le campement à son activité habituelle. Elle repensa à l'Assemblée, soudainement. Comment le Clan du Vent avait - il pu renaître de ses cendres ? Les chats qui avaient eut le courage de prétendre pouvoir redresser ce Clan déchu étaient dignes de la plus grand admiration. Et pourtant, pourtant Cœur de Sang n'aimait pas admirer les autres. Alors elle préférait se dire qu'elle ne les admirait pas eux, mais juste leur courage. Après tout, c'était vrai, non ?

La guérisseuse regardait alors le Clan avec des yeux plus mélancolique. Elle repensa à ses obligations de guérisseuse. Soigner les malades, certes, mais au - delà de cela, elle ne pouvait pas avoir d'enfants. Pourquoi une règle si futile ? Cœur de Sang n'avait pas la réponse. Mais elle trouvait cette obligation inutile. C'était comme cela depuis des siècles, pourquoi cela changerait - il parce qu'une guérisseuse en mal d'amour le demandait ? Car oui, Cœur de Sang se sentait seule. Très seule. Malgré son apprentie, Nuage Étoilé, elle se sentait seule. Depuis qu'elle avait vu la façon de réagir d'Étoile d'Esprit face à Feu Sauvage, elle s'était sentie trahie.

Pourquoi trahie ? Parce qu'elle avait comprit qu'il comptait plus qu'elle. Alors Cœur de Sang avait tout fait pour ne plus croiser le chemin de sa meneuse ni du guerrier roux. Pour ne pas avoir à subir. Pour avoir une chance. Une chance de ne plus souffrir. Elle regarda une fois de plus le campement en activité depuis l'entrée de sa tanière. Elle avait donné congé à Nuage Étoilé aujourd'hui. Elle était ailleurs, elle ne pouvait donc pas entreprendre de s'occuper de son apprentie aujourd'hui. Ailleurs. Loin de tout. Loin du monde, de tout ce tumulte infernal.

Dans un monde mélancolique, dans ce monde où seule elle savait qu'est - ce qu'il se passait, où on allait, quand on était. C'était ses souvenirs. Ses souvenirs d'enfance. Il y eut un flash, avec des images d'elle petite, une boule de poils rousse sang qui parlait à une guerrière. La guerrière qui l'avait menée jusqu'au Clan de la Rivière. Puis un autre flash. Elle était plus grande. Un grand chat sur le Promontoire. C'était elle, lorsqu'elle fut nommée guerrière, ce qu'elle cru rester jusqu'à la fin de ses jours. Enfin, elle voulait plutôt devenir lieutenante, puis chef. D'ailleurs, elle n'avait jamais pensé, autrefois, qu'elle serait guérisseuse, si proche des autres. Mais elle était plutôt comme cette guérisseuse dont on lui avait parlé il y a si longtemps : Croc Jaune.

Oui, on faisait souvent le rapprochement entre la féline rousse acerbe et la guérisseuse qui avait changé de Clan autrefois, mais qui était pourtant une fantastique guérisseuse. Cœur de Sang supposait qu'on la comparait à cette ancienne guérisseuse car sur le plan mental, elles étaient aussi agréables l'une que l'autre. C'était ironique, évidemment.

Cœur de Sang décida de bouger un peu, d'arrêter de penser, d'agir. Elle se leva gracieusement mais sèchement. Elle avança à petits pas fluides et lents, pour pouvoir observer le campement à une allure agréable. Elle devrait peut - être aller voir les reines, histoire de savoir comment vont leurs petits. Et aussi peut - être un petit tour chez les apprentis, vérifier rapidement s'ils ne lui cachaient pas des blessures qui pourraient se révéler plus graves qu'ils ne le pensaient. Elle se dit finalement qu'elle ferait mieux d'attendre le retour d'une patrouille à l'entrée. Elle verrait passer tout ce petit monde, comme ça, et elle pourra vite prendre en charge les éventuels blessés ...

Finalement, Fleurs de Jaïs suivit Feu Sauvage. Ils marchèrent toute la nuit, s'épaulant à chaque pas. Des gouttes de sang perlaient sur le sentier à chaque fois qu'ils s'éloignaient du champs de bataille. Les rats les avaient attaqué. Une embuscade qui fut raté, mais qui avait causé de gros dégat. Les blessures des félins étaient profondes. Ils s'étaient salement amoché dans la bataille. Heureusement, ils s'en sont sortis vivant. Pour le rouquin, la nuit lui parut infiniment longue. Dans la douleur, les deux chats rentrait à leur camp respectif. Le félin roux avait beau l'habitude de marcher, il ne s'était jamais sentit aussi faible que cela, même en cas de combat entre Clan. Jamais il n'avait été blessé ainsi, les dents de rats sont equisées et peuvent être mortelle. C'est comme un serpent, c'est parfois venimeux.
La tête lui tournait, mais il ne lacherait pas. Tant qu'il sera épaulé par Fleur de Jais, rien ne les arrêterons. Normal, ils venaient de pénétrer sur leur territoire et se sentaient en sécurité. Les patrouilles sont là pour ça, non ? Ils doivent s'assurer qu'aucun ennemi n'est entré dans le territoire de leur Clan. Dans un soupir de douleur, Feu Sauvage eut un léger rictus, ravi de voir qu'ils étaient bientôt arrivés. L'entrée était si proche, mais pourtant, si dure à atteindre. La nuit était passé, l'aube était là. Le rouquin était à bout de force, ils ont marché toute une nuit. Ils ne pouvaient ni courir, ni faire appelle à un guerrisseur autre que celui de leur Clan. Le territoire était très loin des terres libres, malheureusement pour eux, marcher jusuque là-bas prenait bien une journée, mais courir devait prendre un peu moins de la matinée.
Une goutte de sueur perla sur l'une des joues de Feu'. Un léger sourire aux lèvres, des yeux renduent brillant par l'exercice, l'entrée était là. En face d'eux. Il ne leur restait qu'à la passer et ils se sentiraient mieux, enfin, ce serrait le cas pour le chat roux.
Une fois passés, les deux félins se dirigèrent vers l'entre du guérisseur, ou plutôt de la guerrisseuse. Cette dernière regarder le Clan de loin, ne sachant pas trop quoi faire. Feu Sauvage et elle s'était embrouillé. Le rouquin voulait tout faire pour remmettre les pendules à l'heure, mais, apparement, la femelle était contre. Le félin roux ne changeait pas d'avis, détestant se faire des ennemis, il se contentera de lui obéir et de ne rien dire de méchant en son égard. Mais pour l'instant, elle allait avoir du travaille. D'une voix tremblante, il dit :

" C... Coeur de Sang ! "

Il s'approcha de l'entre et, épuisée, aida tant bien que mal Fleur de Jais à venir. En fait, il s'entraidait, c'est d'ailleurs grâce à cela qu'ils sont toujours en vie...

Ploc-ploc-ploc, le bruit incessant des gouttes de sangs tombant au sol. Marchant toujours et encore, vers une destination qui me parait tellement loin. Je résiste à l'envie de tomber au sol, temps que Feu Sauvage résisteras, je résisterais. Le soleil pointe son nez à l'horizon, teintant le ciel d'une couleur rose pale. Je n'est pas le temps de m'attarder sur ce spectacle, ma survie et celle de Feu est en jeu. Si seulement je pouvais faire quelque chose, mais pour le moment je suis impuissante. Je remarque que petit à petit les branches des arbres s'écartent, laissant place au campement. La tanière de la guérisseuse n'est pas loin, plus que quelque mètres. Cette distance me parait impossible à parcourir, mes blessures brulent ma peaux. Un frisson de dégout parcoure mon corps, quand je pense que c'est sales rats on bien fallut m'achever. Si Feu Sauvage n'avait pas été là, je serais sans doute morte frigorifié ou achever par les morsures. Mais pas la penne de se rappeler le passer, ce qui compte à présent c'est d'atteindre la tanière et de ce soigner.

Enfin l'entrée apparaissait, une odeur de graine de pavot mélanger à d'autre ingrédients flotte dans l'air. Feu Sauvage appela d'une vois mal assurer :
-"C...Coeur de sang !""
Une ombre au fond de la tanière se dessinas, avançant vers nous. Enfin, je n'attendait plus qu'elle pour m'écrouler...

désoler je sais c'est petit et nul, je ferait mieu la prochaine fois !! Embarassed

Brother and Sister.

Cœur de Sang avait les yeux dans le vide. Une mélodie inconnue, mais qui lui disait pourtant quelque chose, trottait d'une manière incessante dans sa tête. Une douce mélodie. Elle se laissa alors bercer par cet air tendre, tant emprunt à lui rappeler son enfance, une chanson pleine de mélancolique enfantine ... Elle ferma les yeux. Et pensa très fort. Tous ces bons moments qu'elle avait passé ... We used to say ... C'était un langage inconnu de Cœur de Sang. Et pourtant, ça lui était familier. Elle entendit une voix qui lui chantait les paroles. Elle fermait les yeux avec plus d'intensité encore. Mais le visage de cette chatte restait flou.

Il y eut soudain un déclic violent en Cœur de Sang. Maman ! Elle rouvrait brutalement les yeux. Non, sa mère n'était pas là. Elle en eut presque les larmes aux yeux. Elle avait enfin réussit à trouver un moyen de la retrouver ... Alors en elle, elle fredonna les seules paroles qu'elle avait saisit. We used to say ... Elle fermait de nouveau les yeux, pour s'imprégner à nouveau pleinement de la voix de sa mère, pour pouvoir entendre encore un peu plus longtemps sa douce voix, avoir l'impression qu'elle était proche d'elle comme elle l'avait toujours souhaité ... Mais elle fut interrompue dans ses songes par une voix familière. Elle maudissait à l'avance celui qui avait osé l'arracher à de si merveilleuses pensées.

Feu Sauvage. Rien d'étonnant, tient. Il avait le don pour tout lui arracher, ce matou. Cœur de Sang soupira. Elle n'allait pas s'allonger là - dessus, elle savait déjà ce qu'elle pensait de lui, pas besoin d'en rajouter trois tonnes. Elle observait le chat roux venir à elle, épaulé par une autre chatte. Elle observa la chatte noire de jais, puis inspira son odeur lointaine. Elle était bien de leur Clan - on ne sait jamais ! - et elle se rappelait même de cette chatte. Elle se rappela également du nom de cette guerrière. Elle était assez active dans le Clan et s'appelait Fleur de Jais. Nom bien mérité, ceci dit. La chatte effectivement noire du museau jusqu'au bout de la queue.

Elle vit arriver avec une certaine pitié les deux chats qui titubaient, peinaient à parvenir jusqu'à l'antre. Et quoi ? Elle n'allait tout de même pas les prendre par la main et les amener jusqu'ici ! Ils devaient venir d'eux - même. Elle fit demi - tour, et pénétra dans son antre, farfouillant déjà dans les différentes plantes consciencieusement rangées, en ordre. Elle entendit un souffle, puis deux respirations régulières. Elle se retourna nonchalamment, et observa d'un œil critique les deux blessés. Elle jaugeait déjà ce qu'il lui fallait, la temps que ça allait prendre et par qui commencer. En tant que guérisseuse, il fallait qu'elle réfléchisse vite et bien. D'après elle blessures, elle pensait à une attaque par un animal sauvage.

Feu Sauvage prononça alors d'une voix rauque le nom de la guérisseuse rouge sang. Les deux animaux semblaient à bout de force, prêts à s'écrouler. Elle siffla, un peu énervée contre Feu Sauvage, parce que lui et sa compagne de jeu l'avaient sortie de précieuses pensées. Mais elle mit ses émotions de côté pour s'occuper de ces deux bêtes blessées. Ses patients, quoi. Cœur de Sang s'extirpa de l'ombre de son antre, attrapant quelques plantes à la va - vite. Elle s'approcha des deux matous, les détaillant toujours, vérifiant qu'elle n'avait rien omit d'important. Non, elle ne devait rien avoir oublié ...

« Alors, toujours un moyen de te rendre intéressant, Feu Sauvage ? dit la guérisseuse, presque avec amusement. Alors, qu'est - ce que tu as encore réussis à faire à l'une de tes amies et à toi - même ? »

Elle finit sa tirade sur un ton neutre, et camouflait sa légère animosité. Elle avait presque réussit à paraître sympathique et de bonne humeur aux deux chats. Enfin, de son point de vue. Elle baissa les yeux vers leurs blessures. Cœur de Sang s'assit, patiemment. Puis elle se leva bien vite, attrapa et arracha des morceaux de toiles, et les apposa tranquillement sur la peau de Feu Sauvage. Elle commença avant même d'avoir entendu leur réponse, tentant de stopper le sang qui coulait toujours trop abondamment au goût de la guérisseuse. Et même le blessé devait bien le sentir ...

Kanon Wakeshima - Lolitawork Libretto ～Storytelling by solita～

« Alors, toujours un moyen de te rendre intéressant,

Alors, qu'est - ce que tu as encore réussis à faire à l'une de tes amies et à toi - même ? »

Tais-toi et fais ton travail...

« ... Rats... »

La guérriseuse regardait Feu Sauvage avec du mépris, je m'aperçus vite qu'elle ne l'aimait pas , et lui non plus n'avait pas l'air de la portée dans son coeur. Elle restait là, à attendre que nos deux carcasse fatigué s'avançe vers elle. Au bout d'un moment, elle ouvrit la bouche mes ces mots me glacère d'éffroit. Elle pensait que Feu était responsable, alors qu'il n'y était vraisemblablement pour rien. A bout de force je réussit à articuler ces quelque mots :
"Feu...n'est pas...coupable...épargné nous..la souffrance de...venir jusqu'a...vous"

Je ne savais pas pourquois, je m'éforçais de garder mon être dans la réaliter. Alors que je mourrais d'envie de plonger dans un rêve, d'au moins cents ans. La respiration de Feu Sauvage se faisait halletante, dans un souffle rauque prononça quelques mots que je ne compris pas. Surement pour répondre à la guérriseuse, mais je doute qu'elle l'est entendut. Je sentait son corps frissoner, malré la toison qui le protégeais du froid.Puis doucement il se laissa glisser au sol, avant de sombrer dans un profond sommeil. Levant les yeux vers la guérisseuse, je nus que le temps d'aperçevoirs son regard. Et je plongeais à mon tours dans les profondeur du sommeil.

[ Bon, ça va faire expéditif, mais ce sujet me soûle alors je le clos dans ce post x 3. Libre à vous de poster une ultime fois ~ Ensuite on commence l'autre RP Eru ^__^ ? ]

Cœur de Sang observait les deux blessés de haut. Elle n'avait aucune considération pour eux, non loin de là. Elle ne faisait que sa saleté de boulot. Sitôt qu'ils seraient guéris, elle les enverrait se coucher, et bon débarras. La femelle rousse était fort peu délicate, mais elle l'assumait bien. Elle lança des regards tranquilles aux deux chats. Elle réfléchit alors aux plantes qu'elle devrait utiliser pour soigner les deux chats. Elle sélectionnait intérieurement les plantes médicinales lorsque Feu Sauvage lui murmura un mot. " Rats ". Ah d'accord, ces deux - là s'étaient coltinés une meute de rats, de mieux en mieux. Cœur de Sang s'apprêtait à aller chercher ses plantes lorsqu'elle aperçu Feu Sauvage glisser lentement le long de l'épaule de sa partenaire, qui ne tiendrait plus très longtemps semblait - il. La femelle rousse soupira. Loin de s'emplir de pitié, elle était plutôt exaspérée. Ils avaient le chic pour se faire de ces blessures ! ... La respiration rapide du matou ralentit soudain, et il finit sa tirade dans un long soupir. Elle le vit légèrement frémir, s'il commençait à avoir froid, c'est qu'il avait perdu beaucoup de sang. La guérisseuse sembla seulement se rendre compte de la gravité de la situation, auparavant obsédée par son mépris pour Feu Sauvage, elle avait mit de côté son travail pourtant vital.

Fleur de Jais avait tenté de prendre la défense de Feu Sauvage un peu plus tôt. La femelle rousse mit enfin ses différents de côté et s'approcha à vive allure des deux blessés. Fleur de Jais tenait à peine debout, croulant sous le poids du félin roux, déjà inconscient. La guerrière du Clan de la Rivière lança un ultime regard à Cœur de Sang, avant qu'elle ne sombre elle aussi dans l'inconscience. La guérisseuse rousse la rattrapa avant qu'elle ne s'écroule, et la traîna tant bien que mal vers sa tanière. Elle aboya à deux guerriers de déplacer Feu Sauvage avec la plus grande des précautions jusqu'à sa tanière. Elle leur demanda ensuite d'une manière agressive de déguerpir. A force de cataplasmes et de bandages, elle réussit enfin à colmater les plaies importantes des deux guerriers. Elle devrait encore tenir Feu Sauvage en observation plusieurs jours, mais Fleur de Jais pourrait partir d'ici un ou deux jours. Cœur de Sang attendit qu'ils reviennent à leurs esprits pour leur administrer quelques petits calmants à avaler, avant de leur parler doucement.

« N'allez pas vous imaginer que je vous apprécie, j'ai juste accomplit mon devoir. Dormez à présent, les plaies, le combat et toute l'énergie que devra fournir votre corps pour vous réparer vous épuisera bien assez. »

Sur ce, la guérisseuse s'éloigna vers le fond de sa tanière, laissant les deux blessés seuls. Elle avait beau affirmer qu'elle n'appréciait pas soigner les chats, réussir était toujours une grand source de satisfaction chez elle. Elle n'en aimait pas moins le contact avec les autres, non. Mais ce destin lui paraissait appréciable, finalement.

https://www.youtube.com/watch?v=iSI8TSl17Gc (musique qui ma inspirer ^^)
( je répond une dernière fois...j'avoue que ce sujet devenait lourd alors je clos mes réponse moi aussi ^^)

p-s: Tout ce qui est couleurs, caractère...ne marche toujours pas je suis obliger de poster ainsi désoler pour la calitée Embarassed

Ne plus entendre, ne plus sentir, ne plus comprendre,
c’est comme mourir. Mais le suis-je vraiment ??
C’est encore à savoir, plonger dans les ténèbres je perds tous mes sens.
Plus rien n’existe, dans ce territoire la solitude est reine.
Reine de quoi ? de qui ?, Reine de ce monde dans lequel je suis prisonnière.
Qui sui-je, que fait-je ? Je ne sais plus….mon corps est prisonnier.
Seul ma tête est libre, libre de pensée à sa guise.
Mais jusqu'à quand ?? la vermine humaine progresse,
pourquoi un jour ne pourrais t’elle pas capturer mes pensées.

Cette idée me fait froid dans le dos, je lève les yeux.
Je ne perçois pas grand chose,
mes yeux encore embrumer de ce séjours dans les ténèbres.
Combien de temps es-je dormis ? peut être quelque heures, jours…
Cela me paraît une éternité.
Il fait jour mes yeux sont aveuglés par cette douce lumière que produit le soleil.
Pourtant la tanière de la guérisseuse était sombre dans mes souvenirs.
Ma vue se clarifie peu à peu, j’aperçois une ombre.
Elle s’affaire autour d’un corps qui paraît sans vie.
Je tourne un peu la tête pour mieux voir, quand une douleur atroce fait irruption.
L’ombre semble s’être que je m’étais éveiller.
Doucement elle vient vers moi, elle me fait avaler quelque graines.
Sans doute pour calmer la douleur, lancinante dans mes tempes.
Mais quelque chose me préoccupe, j’ai crus apercevoir à mes cotés…Feu Sauvage ?!
J’espère qu’il vas bien, en tout cas mieux que moi.
Une brume épaisse plane dans ma tête, sans doute les graine de Cœur de sang.
L’ombre ?? C’est bien elle oui, ça ne pouvais être que..elle…

Noir..

Sentir l’air froid dans mon museau, le soleil sur mon pelage.
Je suis enfin debout, malgré les bandages et la douleur qui persiste dans mon crâne.
J’ai appris que la silhouette à mes cotés, était bien Feu Sauvage.
Ses blessures sont plus grave que les miennes, Cœur de sang va le garder encore un peu.
Malgré sa, son état reste stable, il faut dire que nous avons eu beaucoup de chance.
J’espère qu’il se remettra vite, mais le connaissant je n’en doute pas vraiment.
Je marche un peu, mes membres encore engourdie d’avoir trop dormis.
Je mallonge à l’ombre d’un chêne, j’ai besoin de repos pour me remettre.
C’est une belle journée qui se termine,
le soleil réchauffe de ses dernier rayons la terre ou je suis née.
Je ferme mes yeux émeraude et je reste la, seul écoutant le vent joué dans les feuilles.
Je me sens bien.
Solitude…

FIN !!! pour moi en tout cas si Feu veut répondre libre à lui de le faire ^^!

[Ce n'est pas grave (: Ce n'est qu'un beug après tout]

Etais-ce un rêve ou simplement le futur ?
You are not Alone - Michael Jackson

.

C

Ne me croyez-t-elle pas ?

F

Il se trouvait dans un trou de verdure où chantait une rivière accrochant follement aux herbes des haillons d'argents, où le soleil de la montagne fière luisait. C'était un petit val qui moussait de rayons. Un jeune chat gueule ouverte, tête nue, et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, dormait. Il était étendu dans l'herbe, sous la nue, pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pattes arrières dans les glaïeul, il dormait. Souriant comme sourirait un chaton malade, il faisait un somme: Nature, berce-le chaudement, il avait froid. Les parfums ne faisaient plus frissonner ses narines. Il dormait dans le soleil, la queue sur sa poitrine.

C

L

Ouf... Ce n'était qu'un rêve,

Fleur de Jais ?

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