La Guerre Des Quatres Clans
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La Guerre Des Quatres Clans

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AuteurMessage
Feu Sauvage
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Feu Sauvage


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Localisation : Cachée dans les broussailles...

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Nom du Chat: Feu Sauvage
Apprenti / Mentor :: Aucun apprenti en vu...
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MessageSujet: ► .Dernier Hiver. ◄    ► .Dernier Hiver. ◄  EmptyDim 23 Jan - 20:09

« ( NOM ) ; Le Principal... »



Ton
Identitée.



Nom : Dernier Hiver
Surnom : Nya.
Âge : ( 1 lunes = 1 mois ) 56 lunes (presque 5 ans)
Sexe : Mâle
Pouvoir: A développé une capacité rare. Celle-ci étant de comprendre les Bipèdes.
Clan : ( Tonnerre, Ombre, Rivière, Vent ou solitaire) Tonnerre.
Rang : Guerrier.


Les caractéristiques
De ton chat :



« (Caractère ) ; Quatre lignes minimum... »


La vie sauvage était, au début, inaccessible pour lui. Recueillit par une vieille Bipède après la mort de sa mère, il pensait ne plus revoir la liberté. mais si elle n'avait pas été là, il serait aussi mort à l'heure qu'il était. Malheureusement habitué aux Bipèdes, il n'en avait pas peur, elle si l'un s'approchait de lui, il le laissait faire. Il n'était pas capricieux, ni égoïste comme la plupart des chats domestiques qu'il avait rencontré. Non. Loin de là. Il pourrait se priver de nourriture pour la laisser à un semblable. Il est du genre, assez gentil et affectueux. Mais mieux ne vaut pas être à côté de lui lorsqu'il est énervé. Il devient alors un vrai psychopathe. La puissance de ses coups de griffes pourraient rendre un chat aveugle. Ce qui l'énerve ? Le simple fait d'être traité de chat domestique, que quelqu'un l'embête. Heureusement pour vous, il se met difficilement en colère.
Ce qui peuvent en énervé plus d'un chez ce félin, c'est qu'il aime beaucoup dormir. Pour lui, travailler sous un soleil de plomb, c'est trop. Chez la vieille Deux-Pattes, il pouvait faire ce qu'il voulait. Mais, il n'est pas très rapide, et son agilité... Ce n'est pas trop son truc.
Il essaie de se comporter en « gentlecat », sauf avec les personnes qu'il n'aime pas. Il a un mauvais caractère ? Un peu. Il grogne souvent quand on le sermone. Ce qui n'est pas vraiment bien. Il feule facilement. Enfin, vous l'aurez compris, il n'est pas parfait.


« ( Goûts ) ; Aimer / Detester... »


Ce que Aime votre animal :[i] Quatre minimum.
- Il aime bien les caresses de Bipède.
- Il aime sa liberté.
- Il aime la nature et chasser.
- Il aime sa prairie. Son coin habituel.
- Il aime aider ses amis.

Ce que Déteste votre animal : Quatre minimum
- La mort d'un proche.
- Que l'on l'embête. Lui ou ses amis.
- Que l'on lui parle de son passé.
- Que quelqu'un l'insulte en le traintant de " Kitty-pet ", ou chat domestique.

« ( Histoire ) ; Septs lignes minimum... »


Chapitre I.


Je me souviens très bien que, depuis tout petit, je tentais vainement d'attraper de petits être ressemblant beaucoup à des Bipèdes. Mais, à chauq efois, quelque chose m'en empêchait. Cette fois-ci, un nouveau Deux-Pattes, quelconque à mes yeux de félins. De plus, la première chose qu'il vit en arrivant, c'était un corbeau qui vint m'attaquer alors que je traquais l'un de ces Bipèdes miniature. Celui-ci pu s'enfuir. En colère, je feula et, d'un coup de patte, me débarrassa de ce corbeau. Lui aussi cherchait à en attraper un. Mais avant moi. Je m'hérissa en voyant que le garçon m'observait et s'était approché. Je couru me réfugier dans le buisson le plus proche et attendit. Il fixa l'endroit où ce trouvait ma proie. Puis partit. Qui est-il ? pensais-je. Je sortit à découvert. Mon pelage luisait sous ce soleil de plomb. Mon regard était resté sur la silhouette de l'enfant qui s'éloignait. Lui, il n'allait pas très bien. Que fait-il ici celui-là ? me disais-je. Puis quelque chose attira mon attention. Ma proie s'enfuyait. Sans réfléchir, j'hurla, fou de rage, et je me lança à la poursuite de ce petit être. Je me rapprochais dangereusement de lui. Que les Deux-Pattes sont lent... Boum ! Mais d'où sort cette plaque ?! J'y étais presque. Attendez que je l'attrappe ! Elle était pourtant si près, pourtant inaccessible... Tout était la faute à ce maudit Bipède. Je grogna et monta sur le toit du premier étage.
Je vivais près d'une maison, qui devait être la mienne avec la vieille femelle. Au début, je m'y plaisais. La vieille Deux-Pattes m'avait recueuillit alors que je n'étais qu'un chaton. Quant à mes frères et soeurs. Que sont-ils devenus ? Aucune idée. J'espere un jour les retrouver... Peut-être me ressemblent-ils ? Peut-être... Qui était ma mère ? Et mon père ? Je comprenais légèrement la langue bipédienne, compliqué. La dame allait souvent sous un cerisier. Au printemps, celui-ci donnait de merveilleuse fleurs. Je le montrerai bien à la personne que j'aime. Je monterai, et lui cueillerai une de ces multiples fleurs roses. Ce sera le jour où l'arbre les perdra. Dans la douce brise du vent, elle s'envole, des pétales ressemblant à des plumes virvoltent dans le ciel. Harmonieux. Romantique. J'étais sûr que ça pourrait plaire à n'importe qui. Mais je voulais le montrer à ma compagne... La vieille Deux-Pattes me répetaient sans cesse la même chose. Je finis, au fils des années, par comprendre ce qu'elle me disait :

« Ta mère était une femelle très belle. Lorsque je t'ai recueillit, tu n'étais pas plus haut que ça, elle fit un geste avec ses mains, comme si elle avait attrapé une balle. Ta mère, elle, n'a pas pu vivre très longtemps. Pas aussi longtemps que toi. Elle vous a sauvé la vie. La moindre des politesses est de la respecter et la remercier. Tu es assez grand maintenant. Tu dois comprendre cette histoire que je te répete sans cesse... Je te conseille de ne pas t'approcher de trop près des routes. Et de leurs imbéciles de voitures. Quant à ta famile, je sais que tu as des frères et soeurs. Ainsi qu'un père. Je suis certaine qu'ils sont en vie quelque part dans la forêt. Ta mère n'a pas vu la voiture... Et elle l'a percuté. Quand je t'ai vu, tu étais près d'elle à réclamer de la nourriture. Je vous ai amené tous les deux ici. Elle est enterrée là, sous cette arbre. Même morte, sa fourrure brillait de plus belle. Ce cerisier japonais allait très bien avec cette chatte. En ce moment, elle dort sous terre, près de cette arbre. Bercé par ses branches remplient de fleurs... »

Et à chaque fois, elle y déposait une fleur. Après cela, je me rendis compte que je compenais tous les Bipèdes.
Une fois à l'étage, je me posa devant la fenêtre qui menait à un nid. Dit « lit », en language bipédien. Je découvris que la gamin allait s'installer ici. Je m'hérissa en comprenant cela. Mais par la suite, j'entendis que ce n'était que provisoire. Curieux, j'écouta la suite. Il s'appelait Shô, il était le descendant de la fille à la vieille Deux-Pattes. Sa famille n'étant jamais chez elle, il devait venir se reposer à la campagne. Autrement dit, ici. Se reposer ? Comment ça ? répétais-je en mon for interieur. Il ne devait ni courir, ni avoir d'émotions forte. Quelle horreur ! Ne pas sentir le vent entre des moustaches, et dans son poil ! Je ne pourrais pas supporter cela... Je me décida à la laisser tranquille jusqu'à ce qu'il parte. Mais à une condition ! Qu'il ne vienne ni m'embêter, ni faire fuir mes proies. Sinon je me nourris comment, hein ? lui demandais-je sans attendre de réponse. J'allais partir à la chasse quand je crus entendre qu'il avait un problème cardiaque. Son coeur allait mal ? C'est pour cela qu'il fait cette tête ? Et il allait subir une opération... Apparemment, il avait 80% d'y rester. Bon, là, c'était décidé. Dans ces circonstances, et même s'il faisait fuir mes proies, je le laisserai tranquille. Après ça, je descendis du toit et alla dans mon endroit préféré.
Une petite prairie encerclée par des arbres, en plein milieu d'un bois, où, au centre, règne un rocher. Au soleil, celui ci se chauffe, et la nuit, il me sert de chauffage. J'aimais cette endroit. Même de cette hauteur, on pouvait voir ce champ de verdure. Sa couleur était si puissante que je clignais des yeux pour ne pas être trop éblouis en journée. J'admirais chaques arbres, chaque buissons, chaque fleurs... Car oui, il y avait beaucoup de fleurs. Et de toutes les couleurs. Rouges, roses, violettes, bleues, jaunes, oranges... Etc. Ma préférée ? J'avais un penchant pour la rose blanche, ou rouge. Toutes deux très belles, et d'une couleur harmonieuse. D'après ce que m'avait dit la vieille Bipède, la rose blanche porte la signification de l’amour pur, de l’authenticité des sentiments. Elle se distingue des autres roses par ce caractère pur : votre amour est limpide et élégant. Ces roses sont généralement associé à la pureté du premier amour, à une personne innocente qui est un compagnon idéale dans une relation amoureuse. Quant à la rose rouge, elle, représente l'amour absolu. La rose est symbole d’amour, de passion, mais aussi de trahison. Celle-ci est la fleur la plus offerte ; rouge, elle evoque la passion ; rose, elle incarne la joie, orange, elle symbolise votre désir et blanche, elle couronne la pureté de vos sentiments. Seule la rose jaune se teinte de tristesse puisqu’elle dénonce l’infidelité de l’être aimé ! Si j'ai une compagne, il faudra que je lui explique tout. Il faudra que je lui dise que, si je suis avec elle, la rose rouge et la rose blanche associée donne le feu du coeur et une beauté ardente. En solitaire, si j'offre une rose rouge à celle que j'aime, alors elle a une tout autre signification. Sa signification est amour, passion, respect et courage... « Si tu m'aimes... Prends garde à toi ! » Aucune fleur n'a su toucher si profondemment tant de coeurs. N'avez-vous jamais senti un pétale de rose rouge et senti sa douceur veloutée, son sens électrisant et régénérateur créé et évoqué par ce pétale si fragile qu'est celui de la rose ? Si vous avez en mémoire cette fleur, rappelez-vous de l'enchantement de son ayonnement dans vos yeux qu'à simple vue cette fleur exquise et majestueuse ... En vous se réveillent des sentiments romantiques... Des pensées de la passion... La signification de l'amour. Le language des fleurs est dure, et long à apprendre.

Chapitre II.


« ( Physique ) ; Quatre lignes minimum... »


Ce félin est composé d'une couleur. Le marron. Mais je ne vous ai pas dit que cette couleur peut être tout aussi claire, comme foncé ? Non. Les oreilles du chat son d'un foncé écorce, tout comme le bout de ses pattes, sa queue, et quelques tâches sur son corps. Le poil long, il paraît gros à première vue; Mais ce n'est que son épaisse fourrure. Celle-ci rappelle celles que les félins ont lors de l'hiver. D'où son nom. Ses yeux verts peuvent effrayer un chaton. Son visage dure se termine en de petites moustaches blanches et fines. ais attention, ce n'est pas parce qu'il est maigre sous son pelage qu'il n'est pas puissant. Au contraire. Court sur patte, il est assez robuste. Ses coups de griffes peuvent causer de gros dégâts chez ses semblables. Et être mortelle chez ses proies. Un attout lors des guerres, ou des embuscades de blaireaux, de corbeaux, ou autres...

Image de ton chat :
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