(Monstre)Les retrouvailles innatendues...

[Mot d'amour]

Monstre, je pleure, pourquoi? Monstre tu me manques, je pleure pourquoi? Monstre je ne sais pas qui choisir. Toi? Mon clan? Toi, ma réponse sera claire, je te choisi. Sa faisait déjà deux jour que je n'avais pas vu Monstre, déjà depuis deux jours, et déjà ma douleur étais atroce, il me manquait plus que tout, je voulais le revoir, aussi tôt, que je pus. Mes pensée, ce noient dans le petit ruisseau sinueux, mes larmes viennent s'écraser à son eau pure. J'étais assise, je regardais l'eau, on voyait le fond, sans hésiter plus longtemps, je rentre dedans, pour me rafraîchir, mon corps et les idées, par cette chaleur vingt-huit degrés à l'ombre, trente degrés au soleil. Je profitais d'un bain de soleil, mais je l'écourta pour nettoyer mes jolies ailes, qui avait apparrus, sur mon pelage, elle avait remplcées, mon pouvoir venteux, j'avais hâte de les montrer à Monstre.

Je sors de l'eau, remonte un peu le ruisseau, et je boit un peu, cette eau pure et cristalline. En pensant au chat, que j'aime, mon chéri, mon amour, mon coeur. Ma joie de vivre, ma raison de vivre. Mais le choix, est difficile. Je t'ai promis, promis de ne jamais te laisser, te perdre serais une déchirure. Je ne peux, choisir maintenant, mais mon coeur balance vers toi, tel est mon choix. Plus que tout je t'aime, à jamais je t'aimerais.

Noyer dans mes pensées, je n'avais pas remarquer, qu'un félin, c'était approcher. Alors je me retourne je gonfle mon pelage, baisse mes oreilles avec un grondement sourd:

-Qui est là?(puis plus avec plus de tendresse, la tête penchée sur le coter, les oreilles droites, aux aguets. Ma clochette, vibrant d'un son cristallin.) Monstre?

Si c'était lui, cela me remonterais quelques peu mon moral.

(voilà l'image est modif, sont pouvoir aussi, on va faire comme si son pouvoir avait été remplacer.)

[ Monstre ]
[ Désolée j'avais plus la connexion à Internet x 3 ]

Monstre leva sa tête massive vers le haut. Parce qu'il était fort. Puissant. Beau et ténébreux. Inaccessible. Et pourtant, il était déjà pris. La partie douce et tendre de son cœur était déjà éprise par quelqu'un. Par deux chats, en fait. Il y avait toujours cette bataille douloureuse qui se jouait dans son esprit. Il était sans cesse ailleurs, le museau levé haut. Et il ne pensait plus à se transformer. Il ne pensait plus comme avant. Et ça, ça le dérangeait. Elle accaparait ses pensées, Elle lui avait ôté le goût des choses qu'il aimait tant auparavant.

Mais Monstre ne voulait pas être une boule de poils pleine de pensées ressassées sans cesse. Et d'autant plus, elles étaient toujours les mêmes. Il voulait un peu penser à autre chose. Se consacrer à lui. Et rien qu'à lui. Comme avant. Ne penser qu'à lui, ne penser qu'à sa propre satisfaction. Agir pour son compte personnel. Monstre regarda alors l'horizon. Il fallait bouger, arrêter de regretter, de ressasser, de radoter. Agir, pour ne plus subir.

Le félin imposant galopa dans les champs. Ses pattes lui donnaient de fantastiques impulsions. Et l'espace de quelques fractions de secondes, il réalisait son rêve le plus fou : voler. Mais jamais l'animal ne saura voler comme un oiseau. Mais c'était son rêve. Son Rêve Impossible. Mais il se disait sans cesse quelque chose qui lui permettait d'y croire dur comme fer. Et puis, personne ne pouvait dissuader Monstre de faire ou de croire. Car Monstre est un chat au service du Malin. Les Bipèdes qui habitaient à côté de chez lui parlaient de Dieu et de Satan. Pour croire en Satan, il fallait croire en Dieu. Pour Monstre, les divinités n'étaient pas le Clan des Étoiles et tout leur tralala, parce qu'on les avait vus, entendus. Il n'y avait presque plus aucun mystère qui planait autour d'eux.

Il croyait au Clan des Étoiles, il était persuadé qu'ils existaient, mais il ne les respectait pas et ne leur vouait aucun culte. Il s'en contre - foutait, du Clan des Étoiles. Que ces naïfs de chats de Clans y croient, si ça leur chante. Lui, il voulait échapper à leur tyrannie. Alors il les huait, dès qu'il en avait l'occasion. Il savait qu'ils existaient, mais il n'en avait que faire. Lorsqu'il mourra, il n'ira pas les rejoindre. Il repensa alors à Mot d'Amour. Et si elle, elle y croyait et qu'elle le respectait, elle allait partir pour le Clan des Étoiles. Et ils seraient séparés. Monstre s'arrêta de courir. Il se rendit seulement à cet instant de sa fatigue. Il fit encore quelques pas en courant, puis il se mis au pas.

Le félin remarqua alors une silhouette féline familière non loin de lui. Il devina à ses formes divines qui était l'ombre face à lui. Il se mit au petit trot, mais aucune expression ne transparut sur son visage. Le miracle qu'elle avait accomplit la dernière fois, il n'en restait rien. Ses pas étaient vifs, précis, rapides. Il avait tout de même en lui cette hâte de retrouver la chatte. Mot d'Amour.

Soudain, il s'arrêta. Un grondement agressif l'accueillit. Il s'immobilisa, étonné. Monstre était pourtant certain qu'elle était celle qui espérait le plus au monde le revoir. Et il savait bien cela réciproque. Un peu. Pas beaucoup ... Monstre aimait visiblement se voiler la face. Elle reprit d'un ton plus doux et agréable la parole. Elle énonça son nom d'un air interrogatif, sa tête penchée tendrement sur le côté, les oreilles droites, aux aguets. Sa petite clochette bleue tintait encore. Monstre observa l'objet, qu'il avait dorénavant associé à la guerrière. Dès que Monstre entendait un bruit y ressemblant, il ne pouvait s'empêcher de dire " Mot d'Amour ? " d'un air interrogateur. C'était souvent le carillon des maisons de Bipèdes qui l'embrouillaient. Mais jamais elle. Sauf maintenant. Le molosse inclina aussi la tête d'un air tendre. Aucun sourire n'éclaira ses traits. L'indifférence faisait son œuvre.

« Ais - je réellement besoin de le confirmer ? »

Monstre commit alors l'erreur de sourire. Un faible, maigre sourire. Mais un sourire quand même. C'était contraire à ses règles. Mais pourtant, il s'en foutait royalement. Il se remémora alors les paroles qu'il n'avait pas eut le temps de lui dire, la dernière fois. Alors ses yeux moins glacés, et même expressifs, se plantèrent dans les siens. Il inclina de nouveau la tête, de l'autre côté cette fois - ci, et il reprit la parole, doucement.

« L'autre fois ... Je n'ai pas eut le temps de te dire ça ... " Il n'est pas facile de dire au revoir, mais Chérie s'il - te - plaît, ne commence pas à pleurer ... " Parce que je vois tes yeux rougis par les larmes. Et je n'aime pas ça. »

Monstre était presque romantique. Enfin, il l'était, en fait. Son sourire se fit timide et tendre. Monstre avait osé lui dire ça, et avec beaucoup de sincérité, par - dessus tout. Alors elle avait vraiment ce pouvoir sur lui. Celui de mettre en avant cette partie tendre et douce de son cœur de pierre. Elle savait, par sa simple apparition, rendre Monstre romantique et aussi doux qu'un agneau. Ce don n'était pas octroyé à quiconque. Oh que non. Et pourtant ... Monstre ne le regrettait pas. C'était normal. Légitime. Elle avait tous les droits, en fait. Tous les droits sur cette partie de son cœur.

Une voix familière répondit:

« Ais - je réellement besoin de le confirmer ? »

Monstre sourit. Alors ses deux yeux de molosse, moins glacial, presque expressifs, plongèrent dans les miens. Il
inclina sa tête, et il
reprit la parole, doucement, tendrement.

« L'autre fois ... Je
n'ai pas eut le temps de te dire ça ... " Il n'est pas facile de dire
au revoir, mais Chérie s'il - te - plaît, ne commence pas à pleurer ...
" Parce que je vois tes yeux rougis par les larmes. Et je n'aime pas ça.

-Tu sais un adieu à un ami est une chose mais au chat que l'on aime en est une autre, l'ami, on est presser mais pas trop de le revoir, l'amour, on veux le retrouver sur le champs mais on ne peux pas.»

Toi aussi Monstre, tu as pleurer mais pas réellement au fond de ton coeur.Je pensais, je voulais croire sa, et la je brise ce doux silence, je m'assois face à Monstre, et je reprends la parole:

-J'aimerais que tu me dise, que tu me dise ton rêve le plus chère, celui au quel tu tiens le plus. Moi j'aimerais, prédire l'avenir des autres, et toi?

Je me demande ce dont Monstre rêvait de faire, en tous j'essayerais de l'aider à réaliser son rêve, j'en profite pour papillonner des ailes et m'envoler, vers les hauteur d'un arbre, je redescend, avec un fruit pour Monstre , et je lui dit:

-La rivière est trop peuplée, je compte maintenant la quitter à ma prochaine rencontre avec la chef, je lui annoncerais mon départ, le clan, abrite trop de monde, il est temps de errer en solitaire.

Je lui donne le fruit, et je me soulève dnas les airs, mais la je perds le contrôle est vvvvvvvvvplouf, dans le petit ruisseau, une petite égratignure, mais je gonfle quelques peu mon poitrail et elle disparait dans mon poils nuancer.

Monstre écouta ce que dit Mot d'Amour, comme si ces paroles allaient l'aider à obtenir quelque chose qu'il avait toujours voulu. Mais il l'écoutait juste parce que chacun de ses mots était précieux. Elle disait qu'un adieu à un ami était une chose, mais à son amour éternel, c'en était une autre. L'ami, on est pressé de de le revoir, mais pas trop. Tandis que l'amour, on veut le revoir mais on ne peut pas. C'était vrai. Et faux.

Un ami très cher, que l'on aime plus que tout, c'est comme un frère. Un être avec qui on a tout partagé. Des joies, des pleures, des peurs, des problèmes. Tout. La séparation d'un ami si cher, et celle de son amour, n'est - ce pas le même déchirement que l'on ressent ? Monstre ne sait pas. Il connaît la douleur que ce temps loin de son aimée lui a causée, mais il n'a jamais perdu contact avec Flux, par exemple. Qu'était Flux pour lui ? Il ne savait plus. Il était ... perdu.

Il sortit de ses pensées, trop douloureuses pour qu'il s'acharne encore à les remuer. Mot d'Amour s'assied face à Monstre. Il ne la regarde pas dans les yeux, laissant ses yeux minuscules proportionnellement à son corps parcourir le paysage. Elle n'a pas finit de parler. Elle aime bien parler, je crois que tu l'as compris, Monstre. Alors tu l'écoutes. Parce qu'il faut bien quelqu'un qui écoute, et qulqu'un qui parle. Car sans cet équilibre, ou c'est la cacophonie ou c'est le silence sans fin.

Elle aimerait que tu lui dises ton rêve le plus cher. Tu es surpris par sa question. Tu n'as pas de réponse directement. Et tu réfléchis. Elle dit que son rêve le plus cher serait de prédie l'avenir. Tu trouves cela très superficiel. Mais ton rêve à toi, nest - il pas tout autant superficiel ? Si. Il l'est. Tu te souviens en avoir toujours rêvé. Depuis que tu es tout petit jusqu'à aujourd'hui. Tu avais même partagé ton rêve avec Flux, qui était tout aussi passioné de ce rêve qui paraissait impossible que toi.

Les yeux ronds, Monstre l'observa papilloner des ailes. Il n'avait jamais vu ces petites choses bleues s'ébattre dans son dos. C'était beau, léger, translucide. Des ... ailes ? Des ailes de papillon, même ! Elle fait légèrement bouger ses ailes bleues, puis celle - ci font des mouvements plus larges. Elle ... s'envole ! Tu l'observes, ébahit. Elle s'élève vers les points les plus hauts d'un arbre, puis redescent avec un fruit entre les crocs.

Elle te dit que la Rivière est trop peuplée. Tu ne comprends pas tout de suite, et tu lui lance un regard intrigué. Tu comprends alors qu'elle parle du Clan de la Rivière, et tu te sens un peu idiot. Elle disait vouloir quitter son Clan. Tu la regardes intensément. Tu avais un peu peur qu'elle ait prit son choix sur un coup de tête. Mais tu sais que Mot d'Amour est une chatte réfléchie, elle ne prendrait pas une déicision sans bien y réfléchir.

Elle disait vouloir rencontrer sa chef. Tu te souviens qu'il y a une hiérarchie dans les Clans, ce dont tu as profondément horreur. Tu n'aimerais pas te faire guider sans cesse par tes supérieurs. Elle annoncera son départ à sa supérieure, et tout sera réglé. Elle quittera ce Clan. Elle disait aussi que le Clan de la Rivière comptait trop de chats, et il était temps pour elle de errer en solitaire. Tu la regardes avec un léger étonnement. Pour toi, être solitaire, ce n'est pas simplement errer. C'est découvrir, se débrouiller, se sentir libre.

Au fond, tu comprenais un peu. C'est comme si on obligeait Monstre à intégrer un Clan, un peu contre son gré, un peu de son plein gré. Et puis, il avait vécu en solitaire depuis le début de sa vie, et on obligeait à quitter ce mode de vie. Elle, elle quitterait carrément des chats qu'elle apprécie certainement. Tu étais un peu peiné pour ce déchirement qui serait certainement le sien.

Elle offre le fruit qu'elle avait entre les crocs à Monstre. Il serre le fruit entre ses propres crocs et le retire tendrement d'entre les crocs de Mot d'Amour. Elle se soulève de nouveau en hauteur. Tu enfonce tes crocs dans le fruit, et l'observe s'élever dans les airs. Tu t'apprêtais à baisser les yeux vers ce que t'avais offert Mot d'Amour pour commencer à le manger, mais tu la vois du coin de l'œil faire une mauvaise manœuvre. Tu relèves brutalement la tête et l'observe s'écraser dans un ruisseau.

Tu te précipites alors brutalement vers le lieu où tu l'as vue atterrir. Tu la vois alors simplement debout, le poitrail gonflé. Tu t'arrêtes, puis tu soupires de soulagement. Tu t'approches de Mot d'Amour et sourit faiblement, rassuré.

« Tu m'as fais peur ... Tu n'as rien ? »

Tu l'inspecte soigneusement, du regard. Puis tu passes doucement une patte sur son pelage, pour vérifier qu'elle n'avait rien. Il jugea cela inutile, mais y tint tout de même. La question de Mot d'Amour lui revint alors en tête. Tu cesse de passer tes pattes sur sa fourrure douce, et entreprend alors de répondre à sa question.

« J'ai deux rêves, en fait ... Le plus cher, depuis mon enfance, c'est de voler. Le deuxième, celui qui est apparut il y a peu, de pouvoir vivre avec toi. Mais il vient de se réaliser, comme tu quittes ton Clan ... Mais tu en es vraiment sûre ? »

-Ce que je t'ai dit est mon rêve secondaire, celui qui à surgit depuis peu et de se poser avec toi sur un nuages crémeux. Oui je quitte mon clan il n'y à plus de tente disponible. Et si je réalisais nos rêve?

Ni une, ni deux je repense à son rêve. Il voudrait voler? Très bien, je vais le soulever avec moi dans les airs, je me prépare. Une espèce de corde laisser par les humanoïdes, devrait m'aider, je la passe sous le ventre de Monstre, je papillonne, et hop on commence à soulever patte de terre, on redescend...Non, je papillonne plus fort, plus vite... On s'envole, on vole. Pour une fois, je ne perds pas le contrôle, je monte jusqu'à un nuage blanc flottant, assez dure et doucement je nous pose. Et la je mets ma truffe contre la sienne et d'un souffle chaud, je lui souffle:

-N'orrais-je pas réaliser nos rêves les plus chers?

Je venais de nous faire voler, moi même je n'en revenais pas, avoir soulever le grand Monstre. Je pensais nous faire seulement voler à la cime d'un arbre.

Un silence pure règne, je découpe un morceaux de nuages, je pense fort au goût du poisson, on ne sait pourquoi, quand je croque le nuage, il prends le goût, j'étais stupéfaite et je faisait des gros yeux stupide vers le nuages. Puis fatiguer je commence à somnoler. Floup, je tombe en arrière et fait voler des petites particules de nuages crémeux.

-*bâillement*Ce n'est pas grave si je me repose? Je viens quand même de soulever dans les airs...

Music ~ Glorious.
[ Non ne pensez pas à un truc religieux x D. C'est la chanson de la pub de Nutella <333 ]

Monstre repensait aux moments qu'ils avaient passés ensembles, il y avait à peine quelques jours. Un enchaînement d'épreuves extraordinaires sur la même journée, ça les avait rapprochés. Au début, Monstre n'était pas du tout décidé à se laisser amadouer par la femelle siamoise. Il avait refusé plusieurs fois de céder à ses avances, restant de glace à ses effusions d'affection pourtant évidentes. Monstre avait connaissance de l'amour, mais à cette époque, il croyait seul Flux digne de recevoir ces effusions d'amour naïf. Et puis il n'avait pas pu résister. Il avait vécu en une journée une évolution conséquente en matière de sentiments. Une évolution qu'il avait fait durant toute sa vie avec Flux, et qui se révélait être bien plus forte alors qu'il n'avait eut besoin que d'une journée pour tout cela. Il trouvait ça fou, improbable. Et pourtant, c'était vrai.

Monstre secoua sa grosse tête, et observa la frêle créature de ses rêves. La Belle et la Bête. Et elle parlait, de sa douce voix cristalline, qui paraissait si légère, aigüe et aérienne comparée au ton grave de Monstre. Elle disait qu'elle venait de lui conter son rêve secondaire. Son rêve survenu il y a peu est de se poser avec lui sur un nuage. Un demi - sourire s'étala sur ses lèvres. Il serait fou de joie de pouvoir voler, mais il doutait que la chatte sache soulever une masse telle que lui. Elle lui répéta qu'elle quittait son Clan, qu'il n'y avait plus de tente disponible. Plus de place, quoi. Elle lui demanda alors de réaliser leurs rêves. Le demi - sourire de Monstre était toujours là. Il avait un peu peur de voir le visage déçu lorsque certainement, Mot d'Amour tenterait tant bien que mal à élever Monstre et elle - même dans les airs.

Mot d'Amour allait alors chercher une sorte de long serpent effiloché. Monstre observait l'objet avec crainte mais intérêt. En fait, ce n'était qu'une vulgaire liane. Mais elle était fort rêche pour une liane ... La chatte siamoise passait la liane rêche sous le ventre de Monstre. Il la regardait faire sans rien dire. Il ne l'embêtait pas dans ses mouvements et ne la déconcentrait pas avec des mots. Il la laissait faire, tout simplement. Mot d'Amour papillonnait alors des ailes. Les petites choses bleues s'ébattaient, tentant tant bien que mal de soulever le poids de Mot d'Amour et de Monstre additionnés. Monstre sentait ses pattes ... Enfin, sentait le vide sous ses pattes. Il avait décollé du sol, et il se sentait déjà comme un oiseau. Il lançait un regard en biais à Mot d'Amour, la voyant peiner pour les soulever encore plus haut. Ils redescendaient doucement vers le sol, mais il sentait Mot d'Amour donner encore plus qu'elle ne s'efforçait déjà de mettre comme énergie dans leur vol.

Mais ils s'élevaient de plus en plus haut dans les airs, sans jamais plus redescendre. Monstre observait ce qu'il y avait en bas, ébahit. Il y avait en lui un sentiment de supériorité, d'émerveillement et de respect. Il regardait avec des yeux de merlan frit le paysage en contre - bas. Il trouvait cela magnifique, glorieux et imposant. Et lui qui se croyait grand ! ... En fait, le monde était gigantesque. Ils montèrent si haut que Monstre pu voir la totalité de la forêt des Quatre Clans. Le vol est paisible, ils ne tanguent presque jamais. Et Monstre observait toujours le paysage, savourant cette impression d'avoir des ailes, comme elle ... Il l'enviait tant, elle qui avait le pouvoir de s'envoler dès qu'elle le souhaitait. Mais il trouvait ça bien pour elle. Parce qu'il voulait le meilleur pour elle. Même si elle pouvait réaliser son propre rêve mille fois, il ne serait plus jaloux.

Doucement, le grand mâle pu voir avec extase qu'ils s'étaient miraculeusement posés sur un nuage. Il observa la chose avec stupéfaction, ses yeux à présent revenus à une taille convenable mais ses pupilles étaient dilatées, encore habitées par l'extase du vol. Il voit la siamoise coller sa truffe contre la sienne. Il ne rougit pas, il n'est pas gêné. Pas le moins du monde. C'est étonnant, mais c'est vrai. Ça lui semble normal. Ça lui semble légitime, qu'ils partagent un peu de tendresse. Elle lui souffle alors une question. Elle lui demande si elle n'avait pas réalisé leurs rêves les plus chers. Monstre ne réagit pas. La réponse était évidente, et elle connaissait la réponse à sa propre interrogation. En fait, elle n'avait pas réalisé son propre rêve, mais plutôt celui de Monstre. Il regrettait de ne pouvoir lui rendre la pareille. Il ne pouvait pas prédire l'avenir, et pas lui attribuer ce don. Il en était un peu peiné.

Monstre observait ce qu'il y avait en contre - bas, sans plus faire tellement attention à Mot d'Amour. Lorsqu'il se retourna, elle avait des yeux ébahis tournés vers le nuage. Le matou imposant riait très doucement. Tellement bas que Mot d'Amour n'aurait pas pu l'entendre de là où elle était. Mais il avait rit. Il se calma bien vite, incapable de maintenir une telle effusion de joie constante. C'était dans sa nature. Elle semblait fatiguée, et semblait même somnoler debout. Monstre afficha un mi - sourire. A moitié amusé, à moitié attendrit par cette petite musculature qui ne tenait plus debout, comme un chaton après ses premiers pas.

Mot d'Amour tomba alors en arrière brutalement. Monstre se précipita à côté d'elle, craignant que le nuage ne soit pas de nature à supporter de tels chocs. Mais il fut bien vite rassuré en voyant qu'elle n'était pas tombée dans le vide, sous son regard désespéré et inquiet. De nouveau, il afficha un mi - sourire. Elle parlait de nouveau. Elle parlait beaucoup plus que Monstre. Elle bâilla à s'en dMais non ... Fait mon papillon, fait ... J'attendrais ton réveil.écrocher la mâchoire, puis elle lui demanda si ce n'était pas incommodant qu'elle pique un petit somme. Elle se défendit en disant qu'elles les avait tout de même soulevés tous les deux dans les airs ... Monstre n'aurait de toutes façons pas prétexté. Ça ne l'embêtait absolument pas de la voir dormir, bien au contraire ... Elle semblait mise sur pause, enfin elle lui semblait accessible.

« Ça ne me dérange pas du tout. Dort mon papillon. J'attendrais ton réveil. »

Il approcha doucement une de ses grosses pattes et déposa sa petite tête sur son poitrail. Comme l'autre fois. Sauf qu'il espérait qu'elle ne serait pas gênée. Lui ne l'était pas. Ça lui semblait légitime. Il lui semblait qu'il était en droit de lui offrir de bonnes conditions de sommeil. C'était un peu par intérêt, parce qu'il devait bien avouer apprécier son souffle dans son cou ...

UP.
Mot d'Amour ? Tu ne réponds pas : / ?

Oh désoler si ta remarquer chui plus trop active encore désolée bon j'me rattrape avec le début de son rêve

Elle se chouche Monstre colle sa petite tête sur son potrail comme la derniuère fois Mot s'enfouit un peu dans son pelage.

Le cauchemar, monstre ne fait pas ses action et puis le power-gaming est interdit, la elle rêve.de "*" à "*"

*Monstre, oh Monstre, héhéhéhé(court en rigolant de joie)
Monstre la griffe sauvagement et l'envoie rouler à terre.(dans le réel ses yeux se plissent)
Elle se relève, toujours dans son rêve son amoureux est devenu dangereux fonce sur elle elle saigne(dans le réel, la sueur coule sur son visage et une larme coule.)
Monstre n'arrête pas de l'attaquer elle n'arrive pas a se réveiller car elle pense que c'est réel, Monstre arrive sauvagement la couche à terre et plante ses crocs dans sa nuque. Puis noir...*

(Mot d'amour se réveille en sursaut et retombe brusquement, elle se relève, le nuage en perds quelques peu sa solidité.)

Elle engage un dialogue tremblotant:

-Monstre, il serais peut-être temps de redescendre tu ne crois pas?

Ni une ni deux elle prend la cordelette et la mets sous le corps de Monstre elle Papillonne, "flalflalflaflafla....flafla...", Sa y'est sa commence le nuage se déforme devient long et peu solide, le nuage fait une ouverture, les deux chats sont en chute libre, mais tel un parachute, les ailes se mettent droite, et se courbe, elle repousse le vent en battant fortement vers le bas, les deux chats pose patte à terre in dème. Mot d'amour, court presséement vers le petit ruisseau, et elle y plonge la tête dedans elle ressort prestement la tête, elle avait chaud, très chaud. Puis elle se couche et plonge son corps dans l'eau.

Voilà.

Up!désoler de l'inactivité, la Rep et finit à toi. santa

[ Très bien, je suis là (: ]

Monstre regardait le paysage en clignant des yeux, tenté de plonger dans le sommeil avec la demoiselle. Les sensations fortes, il en avait eut son quota pour aujourd'hui ! Mais c'était tout de même elle qui avait volé, pas lui. Il se contenta de secouer légèrement la tête pour essayer de se débarrasser de ce sommeil pesant. Il abaissa ses yeux vers Mot d'Amour. Elle fronçait un peu les sourcils et ses paupières se crispaient. Elle cauchemardait, Monstre l'avait deviné. Mais il avait assez peur de la réveiller, et se contenta de la regarder cauchemarder, un tout petit pincement au cœur. Monstre avait toujours ce je ne sais quoi d'indifférence qui refaisait surface de temps en temps, la plupart du temps pour lui éviter la douleur. Il se contenta de fermer les yeux, pour échapper au triste spectacle de sa dulcinée qui se battait contre ses démons. C'était lâche, certes. Mais Monstre n'avait jamais été loyal. Il repensa à son passé, les yeux clos. Des images s'imposèrent à son esprit. Certaines douces. Les jeux avec Flux et Reflux. Il fait chaud, il fait doux. Les parties de chasse et les gamineries qui s'y associent, avec Flux. Il fait chaud, il fait doux. Tant de choses qu'il ne regrette même pas ... Des choses heureuses ne ramènent pas forcément le bonheur qu'elle lui avaient apporté, mais les choses blessantes qu'il a vécu lui insufflent à chaque fois cette même douleur au fond de lui.

Monstre fut extrêmement surpris lorsque Mot d'Amour bondit en se réveillant, d'une brutalité sans égales. Il l'observa avec des yeux aussi ronds que des assiettes, et le doux nuage sur lequel elle l'avait posé sembla s'effriter quelque peu. Elle lui proposa de redescendre d'une voix toute tremblotante. Elle ne devait pas encore être remise de ce vilain cauchemar. Il eut une nouvelle fois une pointe de remord. Il aurait dû la réveiller, finalement. Elle ne laissa même pas le temps à Monstre de répondre, déjà, elle s'envolait, ses ailles brassant l'air avec une rapidité inouïe. D'abord ils furent en chute libre. La peur prit Monstre au ventre, qui n'eut même pas le courage de lever la tête pour vois sa dulcinée se battre contre l'air. Mais il lui sembla qu'ils tombaient moins vite, et soupira de soulagement. Une fois les quatre pattes à terre, Mot d'Amour eut une réaction des plus étranges. Elle se précipita à toute allure vers un ruisseau et y plongea la tête. Monstre frémit. Elle s'avança dans l'eau, et y plongea son corps. Monstre se garda bien d'en faire de même, observant avec méfiance la surface lisse et limpide du ruisseau. Il se mit sur la berge, observant Mot d'Amour de haut, juste au - dessus d'elle. Sa tête formait une ombre sur la damoiselle.

« Tu avais l'air paniquée en te réveillant ... De quoi as - tu cauchemardé ? »

Il lança vers elle un regard mi - bienveillant mi - indifférent, incapable de retourner à un étalage complet de ses sentiments. Non, Monstre devait être très loin d'être le chat dont toutes les gamines rêvaient, non il n'était absolument pas leur " prince charmant ". Vous savez, ce félin qu'elles attendent toutes, elles le chantent même ...

Un jour mon prince viendra, un jour on s'aimera ...

Moarwww!

Je laisse échapper un cris de surprise car Monstre venait de me demander ce qui pourquoi je me suis lever en sursaut. Je n'eus que la réponse que l'on donne toujours, tout du moins souvent:

-Oh, rien de spécial, un simple cauchemar...

Ma voix serrer montrait la peur que j'éprouve après ce cauchemar pour monstre. Mais bien sûre, notre, je dit bien notre quota de sensation forte et de peurs bleus, n'était pas terminer. Je sors de l'eau et m'ébroue. Juste après sa je ne ressemble plus à un chat mais à une pelote de laine. Je me pose sur la berge et fait sécher mon poil. Après une heure au soleil, je peux enfin remettre mon poil dans son état normal, lustrer, brillant soyeux. J'observe le moindre geste de Monstre, et reste froide, les images du cauchemar me donne encore la peur au ventre envers lui. Un jaguar surgit, de mon côté de berge. Alors je plaque mes oreilles en arrière. Je feulent, et ronfle, mon poitrail est grossi. Le combat s'engage. Je sais que je n'ai aucune chance, mais je me bas quand même. Je veux montrer à Monstre que je ne suis pas une chochotte.