I hear a Melody. [ Larme de Louve ]

Keep Holding On ~ Avril Lavigne.

Je voudrais ... Je voudrais voler. Oui, voler ... Comme un oiseau, comme un aigle. Comme un ange qui descend des cieux pour se poser au sol. Comme un messager du ciel envoyé par le Clan des Étoiles. Je veux arriver comme une apparition. Qu'on m'admire, qu'on me saute dessus. Les deux issues sont possibles, dans ce monde de fous. Dans ce monde blafarde et inondé de joie et d'horreur, tinté de merveilleux et de terrible réalisme. Comme si folie et réalité se côtoyaient, la chute s'écrase dans un fracas ahurissant. Ciel et Terre se rejoignent, vu d'en bas. Mais de là où Monstre était, c'est - à - dire en haut, il ne voyait que l'eau couler comme le long voile d'une mariée. Irréel, naïvement merveilleux. Comme un enfant s'émerveille de la neige, comme un chaton regarde, peureux, la rosée inonder l'herbe grasse. Comme un enfant qui a peur de l'orage, par le bruit qu'il fait, par la beauté effrayante que ses longues zébrures commettent dans le ciel pourpre ou indigo de la nuit noire.

Et Monstre regardait, comme si la chute allait soudain déverser tout son contenu sur le malheureux matou, il se tenait largement à l'écart. Il se tenait sous un arbre, comme à son habitude. Se tenir à découvert lui donnait une impression d'infériorité qui l'irritait et lui faisait peur. Être toujours le plus fort, être toujours au - dessus. Et Satan ... Satan sera fier de moi, de la créature que je suis devenu. Je suis sûr que Satan est déjà immensément heureux de mon pouvoir ... Je peux me transformer en ce que je veux ... Il doit m'avoir dans sa haute estime. Avec un pouvoir pareil, il devrait pouvoir mettre à peu près n'importe qui à ses pieds. Monstre releva la tête vers le ciel. Vers les nuages blanc qui entachaient le ciel. Heureusement, ce n'était ni des nuages de pluie, ni des nuages d'orage. Des nuages blancs.

La Mélodie ~

Monstre marchait tranquillement. Soudain, les oreilles de Monstre frémissent. J'entends une mélodie. Elle est belle. Elle est douce. Elle est triste et mélancolique à la fois. Elle est belle. Je vois. Je vois mon enfance. Flux et Reflux sont après de moi. Je voudrais plus que tout les revoir. Mais Flux plus que Reflux. Parce que j'aime beaucoup plus Flux. Beaucoup trop ? Tant pis. Je veux le revoir. Flux ... Monstre pensait à Flux en marchant aléatoirement près de la Chute d'eau. Sa peur de ce grondement qui pourrait le tuer s'en était allée. Il pensait à Flux et cela lui donnait des ailes. Satan n'était plus dans l'esprit de Monstre. Flux était encore plus important que Satan pour Monstre. Il entendit des pas. Il était toujours à l'affut du moindre bruit, et celui - ci ne lui échappa pas.

" Qui est là ?! Montre - toi ! Je sais que c'est toi qui a amené la Mélodie avec toi ! Part ! "

La Mélodie, c'était cette douce musique qui brûlait les ailes de Satan en ce moment - même. Cette Mélodie, elle se manifestait dès qu'un chat se rapprochait. C'était les fantômes de son passé. C'était la Mélodie qu'il avait entendu une fois près de la maison des Bipèdes. Et depuis, il l'avait associée à Flux. Flux ... Il le regrettait tant ... Il releva la tête, menaçant, prêt à se transformer à la moindre embrouille.

Près de la Chute d'Eau, dont le bruit berce mon corps, je revenait de mon entrainement intensif. La sueur sur tout mon corps, j'étaie fatiguer, aucun vent ici ne soufflait, je m'arrêta m'assis et regarda un arbre, étrangement l'image ma mère ce forma dessus, je griffa de toutes mes forces cet arbre au branches dépourvu de feuille ça aussi c'est étrange, car si je me rappelle bien nous sommes presque a l'été, je bouge une patte je pousse le végétal qui tombe au sol lourdement, mais des bruits de pas passant à la chute d'eau me rendirent plus calme voir même dans la peur qui était la qui m'a vu je ne sait pas je sort ma tête des buissons.

Ses paroles m'avait donner toutes peurs, je lui adressa des paroles douce et mélancoliques:

-S'il te plait ne fait aucun mal, je n'ai absolument rien fait, je ne voulais pas te déranger.

Et soudain rentre aussitôt ma tête dans le buisson, j'avais vu une bête de ma taille voir même un peu plus grande, avec de longs poils, vu ses paroles j'espère que les mienne retarderais son attaque, j'avais peur je savais que je ne ferait pas le poids, je renifla l'air, qui était d'une pureté du clan de la rivière *oufffff*, ce chat ressemblait plutôt a un monstre. Qui ne connu douleurs immenses, ce passé horrible entaille toutes mes pensées jour pour jour, si m'a dernière a sonner peut importe, je me lance je sort du buisson épineux, et je retire les épines de mon pelage soyeux, ma clochette bruite un tout petit gling gling. Toi Astre du jour roi du ciel et toi Astre de nuit reine ciel, dites moi pourquoi j'existe si je vit puis je meure aujourd'hui tuer par un des miens, esse vraiment ma mort ce jour-ci?

Cette question "vais-je mourir?" ce bouscule dans ma tête avec toutes mes pensées. Non, voyons pour quoi être tuer par un des siens sert a quelque chose? J'avais pas envie de combattre je regardais le moindre geste du chat. Tout serais parfait si le monde était un monde paix, mais il ne le sera jamais. Il aura toujours au moins une guerre, sans guerre que serais le monde? Une poussières parmi tant d'autres sans moindre animation possible. Le monde serait ennuyeux, à en mourir de désespoir. Un rocher planter là dans le décors au milieu de l'eau, je saute dessus pour pour me coucher et observer le chat, mon regard ne donnait aucune provocation mais j'étais très tendue.

(voilà un petit truc pourris, mais bon sa c'était que l'échauffement(j'ai très peu d'inspi mais sa viens.))

Un crissement de dents. Bruit caractéristique des dents qui s'entrechoque en rythme. Agacement croissant. Colère grandissante. Muscles tendus. Prêts à l'action. Se transformer. Lui faire peur. Oui ... Oui je veux lui faire peur. La terroriser. Je veux voir dans ses yeux l'horreur. Je veux voir dans ses yeux la terreur. Pas de compassion, pas de pitié. Je veux juste avoir un sentiment de supériorité. Je veux sentir que je la domine. Qu'elle ne peut s'en sortir que si moi je lui dessine une issue. Comme un héros de bande dessinée qui ne peut rien faire seul. Il avait le regard vague.

Monstre secoua doucement sa tête constellée de goutte d'eau. Elles s'infiltrèrent dans sa fourrure. Léger frisson. Il n'appréciait guère l'eau qui était si fraîche couler dans sa nuque. Fermer les yeux. Quelques instants. Se laisser emmener. Par une autre mélodie. Keep Holding on ... Monstre avait un grand registre de chansons. C'était normal, il avait habité auprès des Bipèdes. Il retenait facilement l'air d'une chanson. Mais la Mélodie revenait. A cause d'Elle. D'Eux.

" S'il te plait ne fait aucun mal, je n'ai absolument rien fait, je ne voulais pas te déranger. "

J'espère bien. Mais si moi je suis ici, alors toi tu n'as rien à faire là. Monstre tanguait toujours entre les deux propositions. Se transformer et la faire fuir ou lui offrir une chance de lui plaire. Il choisit les deux en même temps. Il allait se transformer et si elle restait elle aurait une chance de lui plaire, cette petite. Il entendit une clochette. Où est - elle ? Il la vit, pendue à son cou. Une clochette bleue. Il regardait l'objet avec convoitise. En voilà une bien jolie chose. Mais il détourna la tête de la clochette. Il n'avait pas besoin d'une chose aussi superficielle. Mais le léger " Gling gling " de la clochette le déconcentrait. Il décida de se transformer tout de même. Monstre prit soin de prévenir la femelle.

" Attention aux yeux, minette. "

Transformation. Concentration. Extermination. Son choix fut vite fait. Une sorte de loup gigantesque aux crocs de feu. Il était noir et il possédait une aura aussi noire que sa fourrure. Il hurla, l'air menaçant, les yeux clos, la tête tournée vers le ciel. Sa gueule baveuse se baissa de nouveau vers la siamoise. Sourire satisfait. Air menaçant. Arrogant. Il la voyait de haut. Mais à peine sa satisfaction faite, il se sentit diminué. Il rétrécissait et bientôt reprenait sa forme féline. Il haletait, épuisé. Il restait debout, un sourire satisfait et arrogant aux lèvres. Il fermait les yeux. Il voulait voir la minette trembler comme une feuille. Mais plus tard. Il devait se reposer, pour l'instant.

[ Bon, un peu minable, je préférais mon début è__è ]

[color=darkblue]Toujours en phase défense prête a se défendre à la moindre attaque, je restait pétrifier, le chat aux poils longs devînt soudin un horrible loup baveux, je me mettais baisser, les oreilles en arrières bien plaquer contre ma nuque,crocs en vue, avec courage je restais là.Mes membres tremblèrent tout seules si bien que ma clochette bruita, posant ma patte dessus j'arrête se sataner bruit. L'horrible bête rapetisse doucement, et reviens le chat, je passe ma pattes sur la nuque:

[color=green][b][i]-Ouawww, sa c'est sûre sa fait mal aux yeux.[/i][/b][/color]

La poussière vole et s'engouffre dans mon pelage fin si bien que je saute dans l'eau, car la poussière me gratte. Je me lèche, pour que mes poils soit en place, mon pelage soeyux, brille sous la lumière, alors pour que le chat sache que moi aussi j'ai un talent, je lui dit en grondant quelques peu:

[color=green][i][b]-A mon tour![/b][/i][/color]

Je saute sur un cailloux m'assoie secoue mes pattes et une fine couche tournoie autour de moi, puis je colorie se vent en doré et en bleu, et je me déplace, avec se vent, je me pose en bas et le vent disparais, alors un peu éssouflé:
[b][i]
[color=green]-Bon ce pas aussi impressionnant que toi mais bon chacun son pouvoir après tout.[/color][/i][/b]

Un sourire de satisfaction et très joyeux se dessine quelques peu sur mon visage doux et délicat. Mes yeux d'un bleu profond, en disent peu sur moi, un peu curieuse, j'avance vers le chat restant quand même a une distance limite mais en m'approchant mon corps se met a trembler curieusement ma clochette bruite a nouveau je la chope dans ma patte marron et la sert avec mes coussinets noirs. Mes rêves se fanent, je n'ose plus avançer je recule et mon joli sourire s'efface pour laisser place a une mine triste, la tête et j'ai honte de mon pouvoir miteux comparer au sien:
[color=green][b][i]
-Je suis ... désolée...j'ai honte...[/i][/b][/color]

Le chat ce demande peut-être de quoi, mais je resterais mystérieuse. Je tourne le dos et retourne me poser , une larme cristalline coule de mon visage fin et délicat, ce chat si beau si fier, je ne mérite pas même si, je suis tombée sous le charme. Percher assez haut et je me laisse tomber, du rocher, sans me préparer a me relever. Ma blessure sera grave je m'en fiche plutôt agoniser là, ou mourir tuer par ce chat, je m'en fiche, mais distincte mes pattes se mettent contre la paroi, je glisse doucement vers le sol une petite mare d'eau douce et chaude, se dresse un peu plus loin, près du chat, je le contourne et le m'allonge dans l'eau qui ressemble plus a une pataugeoire pour chaton. J'ai peur qu'il ne m'attaque, mais après ce chat est libre de ces actes.
[/color]

Elle s'exclame. Elle a l'air d'avoir apprécié. Tu te déçois. Tu ne sais pas si elle a eu peur. Tu renifles l'air. Oui, elle a eu peur, tu le sens. Il reste l'odeur de sa peur dans l'air. Pourquoi alors ? Pourquoi n'a - t - elle pas fuit comme tous ces trouillards de chats de Clan ? Tu ne peux pas répondre à cette question. Et ça t'énerve. Tu es frustré de ne rien comprendre. Tu grimaces; les yeux toujours clos. Tu entend sa voix. Elle est cristalline. Tu as oublié de lui demander son prénom. Pourquoi cette constatation ? En temps normal, tu t'en contre fous. Rien à faire des autres. Ton seul objectif : leur faire peur. T'amuser à leurs dépends. Mais là tu ressens une pointe d'amertume. Un goût âcre qui habite ta gorge. Elle est émerveillée par ton pouvoir.

Lorsque tu as repris forme initiale, la poussière s'envole et virevolte au - dessus du sol. Il faut avouer que cette poussière te met fortement en valeur. Elle vole autour de toi, comme une petite tornade. Elle décide aussi de partir s'infiltrer dans le pelage de la féline. Tu as toujours les yeux fermés. Quelque chose tombe dans l'eau. Mais tu n'ouvres pas les yeux. Tu as deviné que c'était la chatte qui avait sauté. Pour chasser la poussière qui s'était accrochée à sa fourrure. Tu voudrais plonger aussi. Sentir le courant emporter avec lui tes pensées et la poussière. Mais tu ne sais pas nager. Elle, elle sait nager. Elle, elle peut te foutre à l'eau quand elle veut. Elle peut te noyer. Léger frisson.

Tu ouvres enfin les yeux. La minette est dans l'eau. Elle lèche frénétiquement sa fourrure. Ses poils blancs scintillent à la lumière qui s'y reflète. Comme un miroir. Rêve. Tu la regardes d'un air rêveur. Tu secoues légèrement la tête et te remet les idées en place. Es - tu fou ? Non. Tu grince des dents. Fichue chatte. Elle te fout en l'air.

Elle sort de l'eau. Tout son corps est exposé au soleil. Joyaux des eaux. Elle veut aussi te montrer son pouvoir. Tu te couches. Confortablement. Et tu regardes. Elle saute sur un petit rocher. Secoue ses pattes. Quelque chose tournoie autour d'elle. Déstabilisé, tu cherches à savoir quoi. Du vent. Elle joue avec le vent. Le vent est doré. Comme le soleil. Puis il vire au bleu. Beau bleu. Elle se déplace, le vent artificiel l'accompagne dans ses mouvements. Danseuse étoile. Elle se pose au bas du petit rocher. Le vent s'évapore. Le souffle coloré vient te chatouiller le visage.

Elle recommence à parler. Elle est un peu essoufflée. Tu le devine à sa respiration accélérée. Elle annonce que chacun a son pouvoir et elle admet que le sien n'est pas aussi impressionnant que celui de Monstre. Mais il faut dire qu'il est bien plus gracieux. Monstre, il fait peur. Elle, elle inspire la beauté, la grâce. Sur ses babines se dessine un sourire de satisfaction joyeux. Très joyeux. Elle se déplace encore. Elle n'arrive pas à rester en place quelques instants ? Il n'avait pas envie de lui poser la question. Elle avance. Vers Monstre. Le colosse aux muscles démesurés. Ses yeux brillent de curiosité. Tu veux savoir ce que j'en ai pensé, c'est ça ? Pas mal. Sans plus. Elle s'avance toujours. Son corps tremble. Sourire curieux. Sourire sadique. Tu le savais. Elle a peur. Mais pas peur comme tu crois.

Sa clochette produit encore ce son entêtant. Gling gling. Un son qui résonne dans ta tête D'un patte marron aux coussinets noirs comme le jais, elle attrape vivement la clochette. Regard intrigué. Pourquoi arrête - t - elle le son de sa clochette ? Tout à l'heure elle vibrait, et elle l'avait laissé sonner. Elle a peur. Elle n'ose plus avancer. Elle est immobile. Elle recule. Son sourire s'efface. Visage soudain morne et triste. Elle murmure quelques mots. Elle est désolée. Elle a honte. Pourquoi ? Il n'y avait pas à avoir honte. Enfin si. Peut - être honte d'avoir honte. Monstre ne comprenait plus comment fonctionnait la jeune chatte. Tu croyais avoir cerné son caractère. Tu croyais déjà tout savoir sur elle, ses mimiques, ses actions, ses gestes. Mais tu es de retour au point zéro. Cette attitude de tristesse n'était pas dans le portrait que tu t'étais fait de la chatte. Dans son profil, tu avais mis qu'elle était joyeuse, insouciante. Mais cette attitude fausse toutes tes notes. Tendance dépressive ? Simulation ? Tu ne sais plus rien sur elle.

Le mystère l'englobe soudain. Elle tourne le dos au matou déconcerté. Elle retourne se poser quelque part. Un rocher. Elle s'y pose comme on pose une plume sur un meuble. Pour ne pas qu'elle s'envole. Une larme aussi cristalline que ses paroles roule lentement sur son visage aux traits fins et délicats. Petite fée des eaux. Elle est perchée haut. Tu l'observes. Tu n'as toujours pas bougé. Air totalement indifférent de ta part. Elle se laisse tomber. Ton cœur fait un bond. Attend ... Tu as un cœur ? Elle s'écrase. Tu ne sais pas ce qu'il t'arrive. Tu aurais pu la laisse crever. Ou l'achever. Mais elle t'intrigue. Ses pattes reposent contre la paroi. Elle glisse doucement vers le sol. Vers une petit mare d'eau. Près de toi. Tu ne bouges pas. Elle passe près de toi. Te frôle, te contourne. Elle s'allonge alors dans l'eau. Elle ne bouge plus. Tu t'approches d'elle. Ta fourrure brille au soleil. Ta tête énorme est juste au - dessus d'elle, frêle chatte comparée à toi.

" Pourquoi cherches - tu la mort ? Tu ne mourras pas. Pas avant que je ne comprenne. Et d'abord, dis - moi ton nom. "

Visage ni joyeux, ni inquiet ni malveillant. Sans aucune émotion, tu lui poses ta question. Sans aucune émotion, ou presque. Tu ne veux pas qu'elle meure. Comme tu l'as dit. Comme tu l'as dis, tu ne veux pas avant qu'elle ne puisse te faire comprendre pourquoi elle avait ainsi agit. Parce que tu n'aimes pas ne pas comprendre. Tu n'aimes pas qu'elle restes dans le mystère. Tu veux comprendre. Même si pour ça, il faut la sauver. Tu t'affaires, et tu commences, avec un dégoût pour tes actes, à lécher la plaie béante. Colmater. Tu te déplaces rapidement vers le rocher. Toile d'araignée. Parfait. Tu la prend. La pose sur sa plaie. Heureusement qu'on t'as appris les bases de la guérison. Tu appuies. Et voilà. Elle n'a plus qu'à répondre.

Le grand et sordide chat-monstre, viens vers moi a pas lents, délicatement il nettoie ma plaie et me soigne avec la plus grande délicatesse, il m'a demander mon nom sans aucune expression, il me fait très froid dans le dos, mais comme je n'ai pas vraiment peur, il ne sait pas mon comportement, je change d'humeur très souvent, je lui fait un sourire, et je lui répond gentiment, tendrement, heureuse et glamour:

-Je ne cherche point la mort j'ai roulée sur le rocher et je suis tombée, je m'appelle Mot d'Amour, clan de la rivière, et toi?

Je sorti de l'eau tiède maintenant assez froide, et j'étais heureuse de savoir qu'il ne m'en voulais pas d'avoir un pouvoir aussi faible, je voulais un fruit pour me désaltéré, j'essaye de grimper à un arbre, mais je sens un vent dans mon dos, j'ai froid, le soleil a disparu, les nuages ont apparus, et ils m'ont démoraliser, ce soleil me rendait joyeuse, j'étais heureuse, ce soleil intense disparu me donne,une mine basse et pleine de mélancolie, ayant grimper à l'arbre, je me pose sur une des branches qui me camoufles, car mon pelage y est semblable, je mange, une jolie pomme rouge écarlate. Puis je descend de l'arbre en sautant, je tombe nez à nez avec l'autre chat ou plutôt truffe contre truffe, gênée je retire ma truffe et rougis, je me sens un peu gênée, je m'assoie doucement sur mon postérieur gauche, et j'attends les paroles glaciales de l'autre chat qui ressemble a une belle et grosse peluche toute douce. Mon reflète un trésor incomparable, quelque chose d'irréel, d'inimaginable, un nom qui dit si peu de chose, mais en même temps beaucoup, mon est Mot d'Amour, je n'ai point peur, mais j'ai un cœur de sang et de chair, pas de pierre, je suis parfois embêtante et un vrai moulin a paroles parfois, une tendresse incomparable. Mot d'amour un mot que l'on crois irréel incroyable et imaginaire.
Marrante
Optimiste
Torrentielle

Douce
'
Amoureuse
Malicieuse
Occasionnelle
Unique en mon genre
Râleuse

Voilà ce qui me qualifie, mon nom est, tout simplement énigmatique, tout comme mon comportement, j'aimerais être libre ressembler a un oiseau monter dans les cieux avec des ailes et pas avec un vent, ni un autre élément. Je voudrais flotter sous le soleil et ses rayons lumineux, résister aux blessures, aussi bien mentalement que physiquement, mentalement pour mes amours physiquement pour les blessures. Car certaines font mal sur le coup mais sicatrise d'autres vous font souffrir a petit feu, et ne cicatrisent que très rarement. Mes yeux mes deux perles qui sachent tout, mes deux prunelles qui voient tout, mes oreilles, mes petits triangle sur ma tête, qui entende tout, ma bouche, ma gueule qui ressent le goût qui ressent tout même le dégoût, ma truffe ma joli petite chose rose qui culmine au centre de mon visage, truffe qui sent tout est reconnaît tout. Ses cinq sens me permettent de sentir la vie, mais moi je croit j'en ai un sixième, oui je croit que plein d'autre personne l'ont se n'ai pas vraiment un sens ce sont les sentiments, ses peurs, ses rires, sa rage, son sourire, tout sa ce sont des choses que l'on exprime à chaque évènement, tous différents. Oui, je voudrais être invincible, je voudrais que rien ne me perce mais tout le monde a un sentiments qui le perce au moins une fois au court de sa vie, même si cette personne essaye de le cacher.

(Voilà;) j 'ai ajouterj'ai rajouter quelques lignes.)

With Me.

Cette chatte te trouble parce que tu n'arrives pas à la cerner. Elle a une nouvelle saute d'humeur. Elle sourit. Monstre ne la comprenait pas. Comment pouvait - on tenter de se suicider et sourire après ? Elle était impossible à cerner et ça, ça énervait Monstre au plus haut point. De ne pas pouvoir comprendre. La chatte se présenta alors en tentant d'expliquer son geste. Camoufler sa tentative de suicide pour ne pas paraître faible devant Monstre, peut - être. Car les chats qui voulaient se suicider étaient faibles pour Monstre. Ils fuyaient la vie. Des lâches, en somme. Elle déclara qu'elle n'avait pas cherché la mort. Qu'elle avait purement et simplement glissé du rocher. Monstre lui répondit amèrement une phrase qui voulait tout et rien dire à la fois. Elle parlait aux plus futés, elle paraissait incohérente aux plus idiots. Et elle lui avait dit son nom. Elle se nommait Mot d'Amour.

" Quand on joue à cache - cache avec la mort, on accepte de perdre. "

Il dit cela d'un ton froid et distant. Le vent souffle. Il t'emporte loin. Dans un monde où seul toi vit. Où seul toi existe. Ce monde, il n'appartient qu'à toi. With me. Avec moi. Suivez - moi, dans mon monde, mon univers. Monstre rêvait. Encore une autre chanson. La musique était devenu son moteur. Son moteur à rêve, à évasions. Loin de ce monde de fous, d'inconscient, d'idiots, d'intelligents. Loin de tout ce monde. Il plongeait dans le sien, pour s'évader. Quelques instants. Pour être ensuite ramené à la réalité. Il sentit entendit un léger frottement tout près de lui. La chatte se remettait debout. Elle sortit de l'eau tiède dans laquelle elle s'était allongée. Il s'écarta pour la laisse passer.

Il la vit grimper à un arbre. Pour se prélasser là - haut, peut - être ? Sans soleil, c'était tout de suite moins chouette. Le vent se lève. Il amène l'odeur de la chatte à Monstre, prit d'un curieux sentiment. Il secoue légèrement la tête, comme il le fait toujours pour chasser une pensée désagréable ou qui ne lui plaît guère. La chatte grimpe lentement à l'arbre. A croire qu'elle n'a jamais fait ça de sa vie. Il remarque alors que le soleil avait disparu. Elle avait la mine basse, soudain. Le soleil altérait sur son humeur ? Étrange ... Il vit les nuages s'amonceler dans le ciel. La pluie n'était pas loin. Tu entends un petit bruit de craquement. Des dents s'enfoncent. Mot d'Amour a mordu dans une pomme rouge sanguine. Tu préfères largement la chair aux fruits.

Tu l'entends mais ne la vois pas. Elle est trop bien camouflée dans les branches de cet arbre. Tu détournes les yeux. Tu l'entends sauter au bas de l'arbre. Tu te décides à tourner la tête pour voir si elle n'est pas tombée ... Et tu constates que si, vu que sa truffe est collée à la tienne. Tu feules. Feulement de honte et de rage. De gêne aussi. Tu t'écartes autant que tu peux de la jolie chatte siamoise. Qui a dit jolie ? Toi ou moi ? Je crois que c'est un peu nous deux. Elle s'écarte aussi vivement. Tu as sentit sa peau brûler sous sa fourrure. Tu enfouit ton visage dans les longs poils de ton visage. Autant gêne qu'elle. Mais en colère, aussi. Elle, elle s'assied non loin de toi, l'air imperturbable. Elle attend. Elle t'attend. Tu arrives. Monstre. Pourquoi Monstre d'ailleurs. Tu fermes les yeux. Encore.

Monstre. Parce que Œil du Condor t'avait ainsi nommé. Et il avait bien choisit. Monstre parce que tu n'es pas comme les autres, les autres te prennent donc pour un monstre. Tu dodelines la tête de gauche à droite. Parce que tu fais peur, Monstre. Ton caractère est à part. Uni - type. Inhabituel. Et aussi à cause de ton pouvoir que tu utilisais déjà quelques rares fois, étant petit. Œil du Condor t'y avait une fois pris. Pris sur le fait, Monstre. Et il t'avait interdit d'utiliser à nouveau ce pouvoir. De peur. Mais bref. Passons.

Monstre se retourna vers la chatte, à laquelle il ne montrait que le profil jusqu'à présent. Il l'observa avant de répondre d'une façon calme et indifférente. Fidèle à son habitude, en somme. Mais la réponse, elle, n'était pas du tout habituelle venant de toi. Exceptionnelle. Étrange.

" Je suis Monstre, libre solitaire. "

Il enfouissait toujours son visage dans sa fourrure. Ne plus rien laisser paraître. Il rentrait le cou, tel une tortue effrayée. Il effaça alors lentement de son visage toute trace de gêne, jusqu'à redevenir indifférent. Comme si il n'avait pas sentit le contact de leurs deux truffes collées l'une à l'autre. Si elle voulait le séduire, elle allait devoir faire bien plus. Car Monstre n'était pas idiot non plus. Il avait comprit. Et ça ne l'incommodait pas, étrangement. Mais il n'irait pas jusqu'à se jeter dans ses pattes, loin, très loin de là ! Monstre n'était pas du genre à se socialiser facilement, alors succomber à l'amour ... Pour finir ta tirade, petite révérence. Plissement de pattes, air d'aristocrate. Tu as tout pour plaire, et pourtant tu ne veux pas. Tu es étrange, Monstre.

Le temps grisonnant, n'ai pas dans mes pensées, dans mon humeur, l'autre chat semble aussi gêné que moi, il est rigolo, bizarre, effrayant et doux a la fois il a tout pour plaire, je décide d'aller boire, je titube je bascule plouf, à l'eau je reste longtemps en dessous, sa ne paraissait pas mais c'était prévu. Le chat doit s'être pris de frayeur, je nage en dessous on ne me voit pas de la surface, j'embroche quelques poissons avec mes griffes et mes crocs, je les balance au dessus, je ressort la tête de l'eau, ce chat s'appelait Monstre il s'était nommé, il était l'heure de grignoter alors pour ne pas faire ma radine contraire a mon caractère je saute sur un rocher, et lui d'une voix et tendre:

-C'est l'heure de manger si tu as faim viens te servir!

Puis je me relaisse tomber dans l'eau, je chope plein de poisson car cette pomme ne ma pas vraiment plus, je range les poissons du plus petit au plus grand et redescend, en chercher d'autre, car j'en ai ramasser que des tout petit et j'en ait qu'une dizaine: un brochet, deux, trois saumon, un thon, et pleins d'autre tout petit poissons mais vraiment petit des amuse gueule. Faisant des aller-retour je remplis les deux assiettes faites en feuilles, pour pas que le poisson soit sale. Je fait une dernière plonger mais ma queue reste coincer près de la surface, je laisse échaper un cri de détresse me voilà coincée, je suis tout près de la surface et utilise mon énergie pour tenir la tête hors de l'eau, puis je replonge une sorte algue bizarre est enrouler autour de ma patte arrière droite, elle me sert de plus en plus, elle me fait horriblement mal, je plonge vers le dessous, fait un demi tour fin j'essaye ma patte se tort, avec ma pattes arrière gauche, crac l'algue suspecte cède, cette chose était en faite une sorte de petite pieuvre d'eau douce qui voulait choper une proie, mais je ne savait pas que sa mangeait les chats. Son tentacule était accrocher a ma patte arrière droite, je la met dans l'eau et secoue, voilà sa se détache enfin libre ma patte me fait mal, je lui dit:

-Ne tin-quiète pas c'est rien!

Ma patte enfle un peu mais aucune douleur, je mange et je croque les poissons de mon assiette a pleines dents, je préfère la chaire du poisson au fruit du pommier.

Monstre grogna. Il ne prêtait plus attention à la chatte. Il laissa voguer son regard sur le paysage alentours. De nombreux papillons flottaient dans les airs. Il vit néanmoins les nuages gris d'orage s'amonceler et se diriger vers eux. Voilà qui ne présageait rien de bon pour le solitaire à l'épaisse fourrure. Il n'appréciait guère la pluie. Ce n'était pas une question de moral ni rien, juste une question pratique. Parce qu'à cause de sa fourrure épaisse, il emmagasinait l'eau de pluie et avait l'impression de peser des tonnes. Il lança un regard agacé et furieux vers les nuages. Comme si les nuages, sous ce regard courroucé, allaient s'écarter et faire une place grandiose au soleil. Mais ils ne bougèrent pas. Monstre reporta alors son attention sur la chatte siamoise. Il la regarda en biais. Juste à temps pour la voir tituber puis glisser dans l'eau. Ah non ! Pas encore ! Monstre croyait à une nouvelle tentative de suicide. Mais ça ressemblait plus à un acte de maladresse qu'à un geste volontaire.

Monstre se précipita au bord, à l'endroit où était Mot d'Amour quelques instants plus tôt. Il était inquiet. Il ne voyait pas le corps de Mot d'Amour se mouver dans l'eau. Attend ... Qu'ais - je dis ? Tu es inquiet pour cette chatte ? Arrête de dire n'importe quoi, je ne m'inquiète pas. Il faut que je sache, c'est tout. Alors il faut bien que je l'empêche de mourir. Si si, je te jure Monstre, tu es fou d'inquiétude pour cette minette ! Mais ta gueule à la fin !

Fin du dialogue narrateur et Monstre. Donc, Monstre scrutait toujours la rivière à la recherche du corps de la siamoise. Il était inquiet, très inquiet. Ta gueule j'ai dis ! Bah je raconte alors hein ! Donc je continue, et toi, cherche ta minette au lieu d'engueuler ta pauvre narratrice de conscience. Y'a des jours comme ça ... Bref. Passons, passons.

Monstre vit surgir avec frayeur quelques poissons de l'eau. Il recula, effrayé. Il regarda les poissons avec étonnement et frayeur, puis son expression se fit perplexe. Il se remit au bord. Il vit la tête de la siamoise sortir de l'eau. Il était en colère et soulagé. Comment ais - je pu me faire avoir aussi facilement ? Au pire elle serait morte et voilà ... Il secoua la tête. Non, il ne voulait toujours qu'elle meure. Étrange ... Mot d'Amour sauta sur un rocher et invita le matou à se servir. Il regardait les poissons avec envie mais il n'y toucha même pas. Il n'allait pas accepter cela. Déjà, il était sur les territoires du Clan de la Rivière, et donc il n'avait pas le droit de leur prendre du gibier. Il ne voulait pas courir le risque. Et puis, il n'allait pas accepter tout simplement par fierté. Il savait chasser. Mot d'Amour classa les poissons du plus petit au plus grand. Manie, peut - être. Les poissons s'étalaient dans un étalage d'écailles de différentes formes, de différents tailles et de différentes couleurs.

Elle fit deux sortes de récipients pour déposer les poissons. Monstre regarda les deux feuilles. Cela faisait trop " humanisé " à son goût. Il repoussa doucement la feuille et ne prit pas de poisson. Il y avait vraiment de quoi être offensé, mais Monstre s'en foutait. Monstre regardait encore les poissons, nageait presque en faisant voyager ses yeux sur les écailles colorées de ceux - ci. Il entendit soudain un cri de détresse. Il couru. C'était Mot d'Amour. Mais elle était dans l'eau, et le molosse ne savait guère nager. Il avait peur de l'eau, en fait. Monstre tourne autour d'elle, l'air effaré. Elle était trop loin de la berge pour qu'il aille à sa rescousse. Tout ce qu'il pouvait se dire, c'est qu'elle réussirait à s'en sortir seule. Puis finalement, il commença à avancer dans l'eau jusqu'à mis - ventre. Il entendit soudain que les battements furieux cessaient. Était - elle morte ? Non, tout simplement libérée. Il poussa un nouveau soupir de soulagement. Cette fois, elle avait vraiment faillit y passer, et sans faire exprès. Elle te dit de ne pas t'inquiète. Tu hoches la tête à droite. Tu ne souris pas.

Mot d'Amour décida d'aller manger un peu. Elle devait être épuisée, en effet. Monstre s'assit face à elle et la regarda sans toucher à rien. Par fierté et par prudence, comme dit tout à l'heure. Elle était penchée sur les animaux d'eau douce comme si elle était encore à l'affût de l'un d'entre eux. Monstre fut sortit de sa contemplation par une goutte qui vient s'écraser juste sur son nez. Et elle fut bien vite suivie de milliers d'autres et une pluie diluvienne commença. Il observa Mot d'Amour. Elle allait vite être trempée, tout comme lui. La pluie donnait une ambiance magique au lieu. Monstre ne pu s'empêcher d'admirer la siamoise. Mais il s'arracha à sa contemplation. Il se colla à Mot d'Amour et lui parla doucement.

" Vient, suis - moi ... "

La pluie fut forte mais courte. Monstre avait emmené Mot d'Amour sous une niche dans la berge, probablement un vieux terrier de renard ou de blaireau bien protégé. En effet, on ne risquait pas beaucoup de venir l'embêter, au bord de l'eau. Ils avaient peu de place, mais quand même assez pour qu'ils s'étendent tous les deux sans se faire mal, mais il fallait avouer que c'était exigüe.

La Mélodie ~ [ A absolument écouter : 3 ]

Monstre n'entendait plus la pluie s'abattre et s'acharner sur la rivière. La pluie avait cessé. Monstre fut le premier à sortir. Le soleil était apparu. Un arc - en - ciel. Les papillons revinrent tournoyer autour de Monstre. Ils offraient un paysage merveilleux. Des feuilles et des pétales de fleurs volaient. Et tout ce petit monde tournoyait autour de Monstre, émerveillé. Il regarda le paysage avec un regard incrédule. Sourire. Oui, Monstre souriait. Il s'arrêta. Un papillon plus coloré que les autres tournoyait autour de lui. Il le suivit des yeux lorsqu'il partit dans les airs. C'était ... magique. Monstre ne pu que rester muet de tant de beauté. Ses yeux scrutaient le moindre détail du paysage. Il manquait quelque chose. Alors il tourna les yeux vers la niche d'où devait sortit Mot d'Amour. Il se posa et l'attendit.

C'était la Mélodie. C'était la Mélodie, dès l'instant où la pluie s'abattit sur eux qui guida le moindre de ses faits et gestes. Il n'était pas amer d'avoir fait tout cela. Presque heureux. Il fit légèrement papillonner ses yeux et l'attendit encore. Il tourna le dos à la niche et leva sa tête massive vers les cieux, pour observer l'arc - en - ciel qui se dressait devant lui.

La pluie s'écrasa sur mon museau que je secoua aussitôt gros chat, ce colla a moi, et mle dit de venir avec lui, je le suivit, dans ce terrier j'étais coller a lui et je m'étais endormi paisiblement, j'étais épuiser m'a patte arrière droite me fit alors affreuse douleur et je ne bougeais plus, je ne pouvais sortir du terrier, alors d'une voix pure et très apaeurer un bruit avais retentit derrière moi:

-Cher monstre, près de l'eau pousse une Algue rouge, oranger pourrais-tu aller m'en chercher 2 et avec une bleu, j'en ait rudement besoin. aïe!!

Ma phrase se finissant par ce cris de douleur atroce, j'avais mal, ma patte arrière droite à enflé, mon os était comme broyer, je ne bougeait plus d'un poils seul ma tête bougeait je fis émettre un son très doux de ma clochette bleu ciel. Alors pour lui dire où les algues bizarres pousse je le presse un peu:

-S'il te plait va-sy vite elle sont surement près de la où tombe la chute d'eau, vite!!!

Puis je sentit quelque chose me mordre la patte, je sortis du terrier a la vitesse de l'éclair avec un cri de douleur atroce un serpent a mordu ma patte ce n'est pas possible, je suis mademoiselle mal chance, je grogne sur la bête, qui produit se son intriguant "SSSSSSSSSSSSSTsssssss" J'essaye de m'en débarasser, mais je suis a bout de force la pieuvre, la chute la chasse et par dessus tout ce serpent j'en peut plus, je me couche sur le flanc, je fait la morte, je reste raide:

-Monstre je suis désolée je ne peux plus me battre se n'ai pas mon jour de chance...

Mon souffle ralentit, mon coeur bas a la chamade je ne peux plus vivre, je sombre de le noir le serpent m'a endormi avec un venin très puissant, mais ce serpent est bizarre normalement c'est du venin peu puissant mais là non, il avait une blouse blanche, qu'il avait surement piquer aux humains. Mais il faut se méfier des apparences, le serpent se lécha la bouche, il était affamer, il faisait sont rituel de repas sa danse bizarre m'énervait avec ma patte arrière gauche *plaffff* une grande claque en pleine figure. J'étais très énervée et très affaiblit:

-Pars truc assoiffé de sang!

Ce serpent tourner a nouveau autour de moi et m'assénait des coup de crochets.

(Le truc de serpent c'était nul j'ai retirer.)

[ Mmmh j'avoue que le truc du serpent ne me plaisait pas trop x 3 ]

Monstre observait le ciel, guettant patiemment l'apparition miraculeuse de l'arc - en - ciel. Œil du Condor lui avait raconté quand les arcs - en - ciel apparaissaient. Ils apparaissaient lorsque pluie et soleil apparaissaient simultanément dans le ciel gris. Comme un pont entre deux mondes, on pouvait atteindre leur base sans jamais pouvoir les effleurer. Est - ce rêve est - ce réalité, ou serait - ce de ces illusions qui se jouent de moi ? Jamais je ne le saurais car jamais je ne pourrais atteindre l'endroit exact de leurs piliers. Comme la lune, si proche à l'œil et pourtant si lointaine si on la regarde de façon plus réaliste.

Tu ne crois plus aux contes, Monstre. Tu ne crois plus aux histoires que te racontait Œil du Condor avec un ton doux. Tu n'y crois plus car au fond, il faut avouer que tu as un petit peu mûrit. Mais les chimères que tu interprète grâce à ton pouvoir sont la preuve de ton esprit instable et tordu, de ton âme encore trop englobée dans l'enfance. Tu es encore un enfant, Monstre, un grand enfant. Ton imagination débordes, tu n'es pas un adulte comme les autres. Tu es encore un gosse, Monstre. Ton esprit est une preuve de ton trop - plein de liberté, de trop peu de restrictions, d'obligations, de valeurs. Tu n'es pas encore assez grand intérieurement pour te proclamer adulte. Lorsque tu auras grandit, je serais la première à te le dire, crois - moi bien, Monstre. Mais je crois pouvoir encore attendre ...

Une voix plus pure que du cristal tinta dans ton dos. Tu te retournas lentement. Et tu vis Mot d'Amour, allongée. Visage crispé qu'est celui des blessés. Elle commençait bien sa phrase. De façon diplomate. " Cher Monstre ". Tu apprécias ce terme, mais le reste de la phrase te plut moins. Elle t'annonça que dans l'eau, poussait une algue de couleur rouge, un peu orangée. Une Algue Rouge. Bravo, tu as trouvé ça tout seul ? Hum bref. Elle te demandait très poliment de lui en prélever deux. Tu étais réticent, grimaçant de recevoir un ordre, qui plus est, de devoir rendre service à une chatte ! Rendre service, l'aider ... Non mais qu'est - ce que je fous moi ? Je suis pas une bonne à tout faire ! Et pourtant ... Je veux bien l'aider. Mais qu'on ne m'y reprenne pas deux fois. Et elle t'en demande une bleue, aussi. Tu grognes. Et elle crie à la fin de sa phrase. Cri de douleur.

Monstre la regardait, impassible. Il ne voulait pas poser de questions. Il fallait qu'elle lui dise. Où trouver ces algues ? Il ne le savait pas. A quoi bon aller chercher quelque chose qu'il mettrait un temps trop long à trouver ? La blessure que l'infâme chose du fond de la rivière lui avait faite avait laissé bien plus qu'une petite marque, ils auraient mieux fait de s'en inquiéter avant. Tintement de clochette. Monstre dirige sa tête massive vers la source du bruit. Son cou. Orné de la clochette bleue. Elle secouait légèrement la tête, et la clochette trahissait son geste. La féline parla alors. Elle lui dit enfin où trouver ces fameuses algues. Là où s'écroulaient la chute d'eau. Enregistré.

Le matou imposant s'apprêtait à détaler vitesse maximale lorsqu'il entendit un cri. Il venait de la tanière où ils avaient élu domicile le temps que la pluie passe. La chatte se précipite hors du terrier. Efficace comme moyen de déloger quelqu'un de chez soi. Sauf que celui qui avait chassé était un serpent et celle qui avait été chassée était Mot d'Amour, et ça c'était impardonnable. La féline siamoise grognait sur un être que Monstre ne distinguait pas bien. Il s'approcha et vit avec un grognement de fureur un serpent siffler d'une manière hargneuse. Lequel des trois était le plus en colère ? Qui était le plus dangereux ? Monstre savait que la plus vulnérable était Mot d'Amour, ayant été mordue par le serpent et ayant vécu pas mal de choses avant cela.

Mot d'Amour s'écrase sur un de ses flancs. Elle fait la morte. Le serpent n'a pas l'air dupe. Elle est raide comme un bout de bois, mais on peut facilement deviner qu'elle est encore vivante bien que mal en point. Le serpent n'attendra pas qu'elle soit en forme pour l'attaquer, Monstre était sûr que la bête allait profiter de cette opportunité. Et elle te parle. Elle gaspille sa salive à te parler alors qu'elle ferait mieux de ce défendre. Elle dit qu'elle ne peut plus se battre. On peut toujours se battre. Se battre pour la vie. Mais il faut seulement le vouloir. Tu la regardes, le visage dur. Tu ne supportes pas qu'on baisse les bras aussi facilement. Ce n'était certes pas son jour de chance, comme elle le disait, mais si elle coupait court à sa vie maintenant, elle ne l'aurait jamais, ce jour de chance.

Tu entends son souffle ralentir. Son cœur bat vite et coupe court à sa respiration. Tu vois le noir, des choses sombres envahir ses yeux. Tu regardes alors le serpent. Il porte une blouse blanche. Tu le dévisages. Quel drôle d'animal. Enfin plus tordu que drôle, pour faire un truc pareil. Ce serpent était totalement fou. Dérangé. Il devait avoir piqué ce manteau de fortune à un Bipède, pas d'autre moyen possible. Il était vraiment étrange, ce reptile rampant. Sa langue fourchue passa sur ses lèvres, à la manière d'un chat ou d'un loup affamé. Il semblait affamé. Il devait l'être. Il se mouvait d'une manière des plus étranges. Sa petite danse commençait à énerver sérieusement Monstre. Il commençait à fulminer de rage, ne bougeant pas encore. Mot d'Amour en colla une au serpent.En pleine face. Mange - toi ça, serpent de malheur !

Elle crie au serpent de partir. Monstre se détend soudain, tous ses muscles relâchent leur énergie. Son cerveau fonctionne à cent à l'heure, il est temps pour le matou de remettre cette chose immonde à sa place. Le serpent tournait autour de la siamoise en lui assénant de vilains coups de crochet. Monstre surgit devant le serpent qui stoppa net sa danse furieuse.

" Vient par là, guerrier du Diable ! "

Feulement furieux. Oreilles rabattues en arrière. Toutes griffes sorties, Monstre se rue vers l'infâme animal rampant. Il l'attrape par le milieu. Mauvaise tactique, car le serpent peut encore le mordre en se tordant correctement, et Dieu sait comme cet animal est fourbe et agile ! Le serpent lui mordit l'arcade sourcilière. Surprit, Monstre le lâcha. Le serpent repartit à l'assaut et lui mordit une patte. Monstre l'envoya voler. Montre, soudain submergé par la rage, se transforma en un cobra haut de trois mètres et s'abattit violemment et sans laisser le temps de réfléchir sur le vilain serpent. L'animal fut brisé de toutes part et mourut sur le coup. Nuque brisée, crâne mis en morceaux. Monstre le torturait de mille coups de dents aiguisées comme des sabres, malgré que l'animal soit bien mort. Il se sentit diminué et reprit forme initiale.

Monstre lança un regard mécontent à la féline. Il ne lui en voulait pas pour être blessée, loin de là. Il lui en voulait pour ne pas s'être battue. Pour ne pas avoir tenté de sauver sa vie sous prétexte d'une immense fatigue. Mais même lorsqu'on est affamé, hors d'état de nuire, on se bat. Et encore plus si sa vie est menacée. Le monde n'est pas une idylle. Il s'approcha de la féline, grimaçant par la fatigue qui le mordait. Il suffisait de conviction, de volonté pour éradiquer la fatigue. Ou du moins, la faire paraître moins intense. Il haletait lorsqu'il arriva auprès de Mot d'Amour. Il ne se laissa pas le temps de se reposer, il prit la parole.

" Pourquoi as - tu laissé ce serpent t'attaquer ? La fatigue n'est pas un prétexte. Si je n'avais pas été là, il t'aurait tuée. Je vais chercher ces algues, et je reviens. "

Le matou multicolore galopa vers l'endroit qu'elle lui avait plus tôt indiqué. La chute d'eau. Il observa le fond de l'eau. Il n'allait tout de même pas devoir plonger ! ... Si ? Le matou observa l'eau avec effrois. Si elle voulait le tuer, elle n'avait pas trouvé mieux ! Monstre était terrorisé par l'eau, alors une chute d'eau ! Le matou s'apprêtait à repartir lorsqu'il se souvint de la douleur de la siamoise. Il grimaça, fermant les yeux très fort. Dilemme. Sauver sa vie ou la sienne ? Monstre grogna, laboura le sol. Je ne saurais dire pourquoi, mais je préfère risquer la mienne.

Il s'approcha du bord de l'eau. Les chats savaient maladroitement nager de nature. Des grands coups circulaires, comme lui avait dit Œil du Condor. Il plongea. Premiers mètres difficiles, puis la nage fut plus aisée pour le matou aux muscles endurants. Il mit sa tête sous l'eau. Il voyait les algues. C'était risqué. Il plongea tout de même. A part la vie, je n'ai rien à perdre. Monstre réussit à plonger et attraper les algues sans problème. Il fallait remonter rapidement, ou il manquerait d'oxygène. Il sectionna les algues et remonta ... Derrière la chute. Comment j'ai fais ça ?! C'est bien beau ici mais j'aurais préféré revenir de l'autre côté ! Le matou replongea. Il réussit à grands renforts de battements de patte furieux à regagner l'autre côté. A peine eut - il touché le sol qu'il commença à courir. Il fut en un rien de temps auprès de Mot d'Amour. Une demi - heure devait s'être écoulée depuis.

" Tient. J'ai été chercher tes algues. "

Il ne lui dit rien de son périple, même pas qu'il avait risqué sa vie pour ces stupides plantes d'eau. Parce qu'il ne supportait pas l'idée qu'il ait risqué sa vie pour elle. Mais dans ses yeux brillait tout son récit, et en premier ce fait. Le fait que pour elle, il serait mort.

Chère mort donne moi une chance, une chance de me relever, et de combattre comme un guerrier, me battre pour la vie, mais le venin du serpent coulant dans mes veines me faisait atrocement mal, cette douleur parcourais mon corps, mettant presque relever, le chat avait battu le serpent et avait détaler avec furie, pour aller chercher les algues, il revînt tout tremper, les algues dans la gueule, pour répondre a son mécontentement assez démoralisant:

-Je ne pouvais faire mieux j'étais trop mon pouvoir, n'aurais rien pu faire, car le vent était là, sinon ne je ne serais pas rester raide comme un petit bout de bois tout dur, cr je n'avais pas assez de force.

Oui, raide j'étais rester là raide comme un ridicule bout de bois que le vent emporterais, je m'assoie prends les algues, je coupe les tours des algues, alternées je les pose sur ma patte blesser et remplie de venin, je fais un nœud, sa tiens, je boite, mais sa fait effet, je mange , les tours qui me donnent de l'énergie, c'est ma mère qui m'a appris sa. je marche vers l'eau pour boire, me redonner un peu de vie, tout ce que je voulais, soudain feulement menaçant, sortent des fourrés, des jaguars viennent ils nous encerclent, moi Mot d'Amour et monstre, le vent est là, je ne peux pas utiliser mon pouvoir...

Que faire, abandonner? Non, sa jamais je ne veux pas paraître une vrai chochote à ces yeux, dans un feulement de rage toutes griffes sorti, je saute en miaulant sauvagement, j'atterris sur dos d'un jaguars qui se débat, je fais du rodéo, mais je me bat petit a petit son rythme ralentit, le sang coule le long de son pelage jaunâtre, mais les autres viennent a sa rescousse, il me sautent tous dessus, je m'énerve le vent, lui, a disparu, le moment crucial je meurt ou je vis:

-Attention sent mauvais du bec sa va faire mal!!

Watta!!! Les pattes entourer de vent je leurs donnes des coups puissant, cela les envoient balader , ces gros chats mais je pers le contrôle et il devient un élément naturel, les sales gros matou reviennent, à la charge, alors toujours aussi énerver, un filet de sang dégoulinant de ma gueule fine, je leurs entonne le son de ma voix pure:

-Sachez sales chats poilus tout moche, qui me prennent pour un steak, je me battrais jusqu'au bout! Même a en mourir, je ne ferait pas comme avec se serpent, lui il a pu m'immobiliser, mais pas vous en garde!!

Haya!!! Saut périlleux avant, la gymnaste n'est autre que mot d'amour, revigorer par les algues, elles ont enfin donner tout leur effet. Je les attaquent, je m'acharne, je tiens a la vie, mais je n'y arrive pas, ils m'envoient valdinguer au près des pattes de Monstre, je me relève, reste près de lui a reprendre mon souffle, je suis fatiguée, serait-ce mon dernier combat? Non, jamais cette fois, je le peux alors je me bat pour la vie, vivre la plus belles des choses.

(Aller un combat de plus, oui je truc du serpent était vraiment a mourir d'ennuis. XD )

On peut exister sans vivre.
Sur un arbre perché.

Vivre est certes plus compliqué de mourir, mais la vie a largement plus à offrir que la mort. Et puis, mourir, c'est égoïste, en soi. C'est faire souffrir ceux que l'on aime. C'est pour cela que Monstre se bat sans cesse pour conserver sa vie, si minable soit - elle. Parce qu'il sait qu'il a été aimé et que sur cette terre, encore quelques êtres l'aimaient. Et c'était avec ça que naissait sa hargne de vaincre. De vaincre par seulement pour gagner, remporter, mais vaincre pour eux. Monstre ne se sous - estime pas, ne se sent pas mal - aimé. Il sait que Flux l'attend quelque part. Il sait qu'il le rencontrera à nouveau un jour. Et c'est dans cet état d'esprit que le guerrier multicolore parade, esquive, se défend et attaque. Pour lui. Pour eux.

Flux ... Un sujet sensible pour le jeune matou. Les larmes lui montaient aux yeux. Flux ... Mot d'Amour ... Je ressens pour eux deux ces sentiments incontrôlables. Ces sentiments qui me poussent à faire des choses que jamais je n'aurais fais auparavant. Flux ... Mot d'Amour ... Les deux noms tournoient dans la tête du matou multicolore. Il grimace. Ses yeux se ferment. Fort. Et ses griffes rentrent dans la terre. Très profondément. Il entendit sa voix. Celle de Mot d'Amour. Il eut soudain mal. Mal de l'entendre, de la voir.

Elle disait qu'elle n'avait pas pu faire mieux. Le colosse aux pieds d'argile secoua violemment sa tête massive. Des larmes cristallines perlèrent et s'écrasèrent au sol. Avait - elle vu ? Il l'espérait. Qu'elle comprenne son dilemme. Ce déchirement au fond de lui. Elle disait qu'elle n'avait rien pu faire. Et Monstre grogna. Grognement de douleur et de mécontentement. Le vent était là. Il s'en foutait, que le vent soit là. Elle avait dit ne rien avoir pu faire, sinon rester raide comme un bout de bois. Qu'elle n'avait pas assez de force. Monstre ne la croyait pas. Il suffit d'aller chercher cette force. D'aller la chercher chez ce qui nous tient tant à cœur. Ce pour quoi l'on mourrait. Monstre baissa la tête. Des scènes heureuses de Flux et Monstre, encore enfants. Le colosse secoua de nouveau sa tête. Assez ! J'en ai assez ! Qu'on arrête de me torturer ...

Monstre était plus adulte depuis quelques temps. Depuis qu'il avait rencontré la chatte, il avait agit en adulte. Enfin, pas dès le début. Monstre l'observait d'un œil vide. Mot d'Amour s'assit aux côtés des algues de couleur. Elle coupait patiemment les tour des algues. Alternativement, elle les pose avec extrême douceur sur sa patte blessée, envahie par le venin que le serpent mauvais avait injecté dans son membre. Elle fait un nœud de ses deux pattes avants, habile et consciencieuse. Le nœud paraît très solide. Elle boîte. Rien d'étonnant pour quelqu'un qui s'est blessé tout récemment. Elle avale les tours qu'elle avait patiemment préparés. Monstre ne dit rien. Il lui fait confiance. Il espère juste qu'elle sait ce qu'elle fait. Sinon elle est foutue. Elle s'approche, titubante, du point d'eau. Tu la suis, trottinant très lentement pour ne pas la dépasser. Tu ne dis rien.

Et soudain un feulement brise l'harmonie qui régnait. Qu'est - ce que c'est, encore ?! Les cris proviennent des buissons. Super ! Des ennemis camouflés qui n'allaient pas tarder à leur sauter au visage, ils avaient encore besoin de cela, évidemment ! Les félins gigantesques surgissent des buissons. Des ... Jaguars ! Même Monstre paraît bien petit, frêle et insignifiant mis à côté de ces grands félins. Ils encerclent les deux chats sauvages. Ils ont l'air menaçant, leurs crocs mordant l'air, leurs yeux vicieux perçant l'air.

Un autre feulement de rage, tout près de toi. Sur tes gardes, tu saute comme un chat enragé. Ce n'était que Mot d' Amour qui passait à l'attaque. Dans ce feulement, elle avait montré au colosse multicolore qu'elle avait reprit du poil de la bête. Ses griffes de nacre étincelaient au soleil. Aiguisées et menaçantes, elles se dirigeaient vers les félins couleur jaunâtre. Elle atterrit lourdement sur le dos d'un des jaguars.

Évidemment, ses petits copains n'apprécient pas son geste, et se précipitent à la rescousse de leur ami. Monstre s'attaque avec rage à un des jaguars qui était prêt d'atteindre la féline. Le jaguar le voit, et lui assène un violent coup de patte. Le chat se fait dégager et se heurte à rocher, non loin de la rivière. Alors, Monstre attend que le jaguar le rejoigne. Il est seul. Tant mieux. Mais ça signifie tout de même que les autres sont sur Mot d'Amour. S'occuper de celui - là, puis faire la fête aux autres. Le chat fait le mourant, et le jaguar arrive tranquillement. Éclair de satisfaction dans le regard du matou lorsque le jaguar arrive près de lui. L'animal énorme n'a pas le temps de comprendre que Monstre fonce sur ses pattes et le fait tomber à l'eau. Il plonge à son tour, se doutant que la bête savait un peu nager. Il arrive sur sa tête et la plonge dans l'eau, de toutes ses forces. Le jaguar tente de reprendre de l'oxygène, mais Monstre le retient, bien qu'il eut beaucoup de mal. Le jaguar suffoque. Il est mort. Lorsque Monstre sent le corps s'enfoncer dans l'eau, il rejoint la berge. L'énorme félin l'avait sacrément amoché. Il l'avait déchiré de partout avec ses griffes, et l'avait brisé sur le rocher. Mais Monstre n'eut pas le temps de se plaindre, il retournait déjà sur le champs de bataille.

Monstre revenait à temps pour voir Mot d'Amour effectuer quelques acrobaties dans les airs. Monstre s'attaque à un jaguar resté à l'écart, l'air satisfait. Le chef de bande, je suppose. Il regarde les autres se battre à sa place, je suppose aussi. Monstre arrive en courant. Le jaguar le regarde du coin de l'œil. La patte énorme de l'animal atterrit en plein dans la tête du colosse multicolore. Il revient à la charge, tandis que Mot d'Amour enchaîne les acrobaties. J'arrive bientôt. Monstre monte à un arbre, et tombe violemment sur le dos du jaguar. Il a attrapé au passage une pierre tranchante et l'enfonce de toutes ses forces avec sa gueule baignant dans le sang composé d'un mélange de sang du chef de bande et celui de Monstre, car la pierre n'avait pas qu'un côté tranchant. Enfin, il parvient au bout de l'animal, la gorge perforée par la pierre qui tombe, imbibée de sang.

Alors, Monstre observe Mot d'Amour. Elle se bat comme une diablesse. Il la voit se faire démonter par un jaguar. Il l'envoie dans ses pattes. Elle se relève, et reste auprès du colosse multicolore, le temps de reprendre son souffle. Elle semble épuisée. Tu as déjà tué deux jaguars, mais tu tueras le reste de la bande s'il le faut. Il semble que la perte de leur chef de bande ne soit pas si terrible, car ils avaient vu et n'avaient pas réagit. Insensibles. Alors, avant de passer à l'attaque, Monstre murmure quelques mots entre ses lèvres. Il les adresse au monde entier. A Mot d'Amour, à lui - même, à eux, au monde entier.

" Ne jamais tomber pour ne plus me relever. Jamais. "

Sur ce, il fonça sans bruit sur les jaguars. Il n'avait de la force que pour se battre, par pour hurler à crever les tympans des assaillants. Se battre pour sa vie et pour celle de Mot d'Amour. Parce qu'elle devait avoir la force de se battre. La force de ne pas se faire tuer. Il savait bien qu'elle verrait les deux jaguars qu'il avait tués. Mais Monstre ne fait pas les choses qu'à moitié. Il ne laisse pas de bénignes blessures. Il tue. Ceux qui attentent à sa vie en payent de la leur.

Monstre donnait coups de crocs, de griffes, de pattes. Il laissa s'enfuir un des jaguars. Il était trop occupé pour l'achever dignement. Il restait deux animaux. C'était les plus vifs de la petite troupe. Monstre avait du mal à suivre leurs mouvements. Il ne pouvait plus s'empêcher de grimacer de douleur. Du sang, il en avait presque dans les yeux. De ses côtes, de ses pattes, de sa queue, de son visage, de sa gueule, le sang du colosse multicolore s'échappait de partout. Il haletait, les jaguars aussi. Il prit un des jaguars à part, l'autre fut heureux de pouvoir s'accorder un peu de repos, en restant pourtant sur ses gardes. Monstre observa la bête. Il rit. Mais il n'avait plus la force de se transformer. Il était très mal en point. Un de ses yeux était obstinément fermé. L'autre lui offrait une vue troublée et incomplète. Monstre attrapa une autre pierre, et reproduit le même processus que pour le chef de bande. Trois morts par mes pattes. Un noyé, deux tués, la gorge perforée par une pierre. La noyade dû être bien plus douce. Monstre avait les yeux baissés sur la bête. Il s'en retourna et arrivait à peu près à l'endroit où il avait laissé Mot d'Amour pour se battre à sa place.

Sa vue était trop trouble pour qu'il distingue correctement les formes. Il n'y avait plus de traits précis. Tout était mou, tout était trop trouble. Il fit encore deux pas, et s'écroula. Serais - je mort ? Non, mais tu en es tout près, Monstre ... Il en faut vraiment beaucoup pour t'achever, tu sais. Tu vas jusqu'à la presque mort d'épuisement pour tuer un dernier jaguar. Il en reste un. Je sais que tu aimerais aussi le tuer. Mais tu ne peux pas. Tu es toi - même entre vie et mort. Je ne peux pas mourir ... Pas maintenant ... Je dois tuer le dernier jaguar ... Pour sauver Mot d'Amour ... Tu n'as pas d'autre choix. C'est elle qui devra te sauver. Sinon, tu te videras de ton sang, et tu mourras.

Mais Monstre eut un sourire. Un sourire victorieux. Parce l'avait presque sauvée. Parce qu'il savait qu'elle anéantirait le dernier jaguar. Parce qu'il tenait à elle. Qu'il lui avait sauvé la vie en donnant la sienne. Le colosse sourit. Son sourire parvint même jusqu'au monde réel. Le sourire béat de celui qui a fait quelque chose de bien.

Ne meurt pas
Suis mes pas
Je t'aiderais
Tu m'aideras
Quoi qu'il arrive
Mais mon amour
Ne gâche pas ta vie
Pour moi!

Reprennant mon souffle assez rapidement, j'observais, la scène avec attention, et grande angoisse *Monstre ne meurt pas!!!*,* Monstre il ne fallais pas*, ses deux pensées me prenait de peur, d'angoisse, de panique, d'horreur. Je vis peu de temps après que mon sauveur qui n'est autre que monstre a tuer trois jaguars, et en a fait fuir un mais il y en a un qui reste, un seul et unique mais Monstre fais quelques pas et s'écroule, cette peur s'évade de ma gorge:

-Non!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tu va me le payer sale bête, tu va souffrir pour se que tu as fait, ce que tu m'a fait dans le plus profond de mes sentiments, qui n'est autre que l'amour!!!!!!!!!!!!

Mon cœur s'arrête ma vitesse et incomparable, je retiens mon souffle pendant je ne sais combien de temps, je l'assène de violents coup et soudain une idée lumineuse parvînt, à mon esprit, la poussière, je tombe dans le poussière, je me relève et gratte sauvagement la poussière la poussant vers les yeux de l'énorme félidé. Jamais tu ne tuera mon amour, jamais, jamais, tu arrêtera pas son cœur doux! Je saute sur la bête et lui perce les yeux, puis, je plante mes longue griffes, dans sa cage thoracique, je prends une pierre imbibée déjà de sang et je la plante sauvagement. Je retourne au près du chat, vite un autre remède de maman, pour les blessures et un pour la fatigue, je saute dans l'eau, je plonge je vais chercher des algues à très bon goût, prend un poisson au vertus apaisantes, et je prend une algue de roche douce et elle à un goût de viande avec un peux de roche nettoyante. Je mélange poisson et algues à très bon goût, je donne se délicieux mélange au chat:

-Tiens mange s'en rien qu'une bouchée, pour te faire un peu de bien je vais soigner tes blessures.

Je mélange l'autre algue et réduit en poussière la roche nettoyante, je prend de la fleur de coton, je prends de la de poudre et en passe avec délicatesse sur les plus profondes blessures et aussi les plus bénignes, je prends une très longue feuille et je prends sa patte avant, je mets de la poudre et enroule la feuille comme une bande. Comme sa il devrait pouvoir s'accrocher fermement, à la vie, tendrement je lui dit:

-N'ai pas peur, je ne risque pas de t'empoisonner ma mère me faisait sa quand je m'entrainais, que j'étais fatiguer et j'avais des blessures, j'espère que sa va mieux, tu as gouter au mélange?

Music ~ Clic here.

Alors ... Je vais peut - être mourir ? Je saurais ce que ça ferait ... Dommage que je ne puisse pas le communiquer aux vivants de là - haut. J'ai mal ... Tellement mal ... Je croyais qu'on n'avait pas mal lorsque l'on mourrait. Alors je ne suis pas encore mort ? Il me tarde que ça arrive. Parce que cette douleur ... Cette douleur est atroce. Elle me transperce, de partout. Impossible à localiser. Enfin peut - être que si. Je peux dire que la douleur est partout sur mon corps. Je sens encore mes membres. Mes pattes brûlent. Elles sont recouvertes d'un liquide qui refroidit vite. Je sais ce que c'est. Du sang. Je sens ce liquide suinter sur tout mon corps. Alors c'est ça, une lente agonie ? J'aurais préféré ne jamais savoir à quoi ressemblait une mort aussi horrible. De lointains bruits. Mot d'Amour doit abattre le dernier jaguar. Alors elle est sauvée. Tant mieux pour elle. Tant pis pour moi. J'aurais tué quiconque aurait prédit cet évènement. Maintenant que j'y suis, je n'y crois pourtant toujours pas. Je gâche ma vie pour la sauver. Elle. Une chatte de Clan. Une chatte du Clan de la Rivière, et elle est maladroite et infiniment douce. Je ne comprends pas pourquoi j'ai autant d'affection pour elle. Franchement, je ne me comprends plus. Plus du tout.

Moi non plus, je ne te comprends plus, Monstre. Dès que tu t'es écroulé au sol, ce sourire satisfait aux lèvres, elle a crié. Elle a crié sa peur, son angoisse de te perdre. Elle était inquiète pour toi, et tu n'as rien fait pour apaiser sa peur. Tu as suivi ce que l'on te dictait. On te disait simplement de sauver. De la sauver. De tuer ces jaguars pour parvenir à tes fins. Et tu l'as fait. Tu aurais voulu achever ton travail, mes tes pattes ont cédé. Elle ont refusé de souffrir plus longtemps, peut - être pour échapper un minimum à ta tyrannie. Tu voulais continuer. Achever ta mission. Mais ton corps n'obéissait plus. Tes yeux s'imbibaient de larmes de douleur, de rage de ne pas pouvoir finir ta tâche. Mais de joie d'y être presque arrivé. Au travers de ton inconscience, tu ne peux pas saisir les mots exacts que prononce Mot d'Amour. Tu ne peux qu'entendre la fureur et le désespoir dans sa voix de cristal. Tu n'aurais jamais cru que rage et colère pouvaient se mêler au caractère si doux de cette chatte. Comme toi tu as mêlé bonté, patience et serviabilité à ton caractère qui est totalement opposé à ces sentiments qui te paraissent absurdes.

Tu l'entends s'affairer. Elle a dû mettre le jaguar en fuite, ou bien elle l'a tué. Mais vu que l'animal était obstiné et coriace, Monstre penchait plutôt pour l'idée qu'elle l'ai tué. Mais l'animal ne lui avait pas laissé le choix. Monstre voyait mal la siamoise tuer, mais si sa propre vie avait été en péril, il savait qu'elle n'avait eut d'autre choix que de tuer l'immense félin jaune. Peut - être aussi avait - elle voulu protéger le corps presque immobile de Monstre. Il avait eut une démonstration de la pureté d'âme de la siamoise. Elle avait aussi pu faire ça. Tu entends faiblement sa voix. Tout ce que tu comprends de ce mâché de mots, c'est que tu dois manger ce qu'elle t'offre. Tu n'as plus rien à perdre, mais encore fallait - il que tu réussisses à ingérer cela. C'était plutôt bon. Mais assez difficile à mâcher. Tu sais que c'est ta seule chance de survie. Alors tu fais tout ce que tu peux.

Tu avale enfin le mélange. Tu n'as aucune idée de ce que c'était, mais c'était bon et agréable. Elle s'active de nouveau. Pour panser les blessures, certainement. Tu serais aussi passé par cette étape ensuite. Sauf que c'est toi le grand blessé. C'est toi qui t'es mis la gueule en miettes, qui t'es laissé lacéré juste pour sauver une minette que tu regrettes d'apprécier tant. Parce qu'elle est un ange, toi un démon. Et anges et démons ne se confondent jamais. Tu sens ses pattes glisser sur ta fourrure, aux endroits où tu sens que les blessures s'enfoncent loin dans ton corps. Tu frissonnes au contact de ses pattes recouvertes d'une fourrure douce.

Elle cesse de passer ses pattes, qu'elle a laissé glisser sur à peu près toutes les parties de ton corps meurtris, et elle attrape quelque chose. Tu entends un petit bruit sec. Elle prend doucement une de tes pattes avants. Tu ne sais pas laquelle c'est, tu ne contrôle plus ton corps qui se repose. Elle l'enroule autour de ta patte, comme un pansement. Le sang devrait cesser de couler abondamment de ta patte. Tu l'entends alors très bien. Tes paupières s'enfoncent, tes sourcils se froncent, mais tu n'arrives toujours pas à les ouvrir. Elle te dit de ne pas avoir peur. Qu'elle n'essaye aucunement de t'empoisonner et que sa mère utilisait le même processus lors de ses entraînements, lorsqu'elle était fatiguée et qu'elle avait des blessures. Elle te demande si tu vas mieux et si tu as avalé comme un enfant sage le mélange qu'elle t'a offert. Le mâle sourit faiblement alors à ses mots.

" Me tuer ? C'est bien la dernière chose dont je te soupçonnerais. Tu es trop pure pour assassiner un être sans raisons. Et je vais beaucoup mieux grâce à tes soins. Merci. "

Monstre baissa alors la tête. Ses yeux, qu'il venait d'ouvrir en papillonnant tout d'abord, puis en ouvrant grands les yeux sur le visage de Mot d'Amour, vagabondèrent sur le paysage. La rivière, celle dans laquelle il avait intentionnellement noyé le jaguar. La pierre dont il s'était servi était encore à terre. Mais elle avait changé de place. Peut - être Mot d'Amour et le jaguar l'avaient déplacée durant leur bataille, ou peut - être Mot d'Amour l'avait utilisée de la même façon que Monstre. L'outil était tranchant, et fort utile pour lacérer les chairs des félins gigantesques. Monstre cligne fort des yeux. Il a encore mal, malgré le remède fort efficace de la femelle. Il a toujours les yeux baissés obstinément vers le sol. Il a un tic de douleur. Il ferme brutalement l'œil droit et hoche faiblement la tête vers le sol. Puis, d'une voix encore diminuée, il parle à Mot d'Amour.

" Mot d'Amour, j'ai une question. T'es - tu déjà rendu compte que nous étions opposés comme la nuit et le jour ? Si oui, pourquoi t'accroches - tu à moi ? Qu'est - ce que je vaux à tes yeux ? Je tue sans raisons, je ressens ce besoin continuel d'effrayer, de jouer aux dépends des autres, leur douleur ne me fait rien. Alors pourquoi t'accroches - tu ? "

Ses mots tremblaient, hésitants. Il avait butté sur plusieurs mots, il avait du mal à poser de telles questions. Si personnelles, si bourrées de sentiments ... Il détourna la tête, ses yeux se fixèrent sur arbre tandis qu'il reposait sa tête au sol dans un soupir. Il ferma à nouveau les yeux, respirant plus facilement. Il grimaça de douleur encore une fois et puis il se coucha plus confortablement, les yeux toujours fermés. Il attendait la réponse de Mot d'Amour à cette question hautement pertinente, les yeux à l'affût de sa réponse.

Un simple sourire de satisfaction, qu'il un peu manger du mélange
apparais sur mon visage, je retirais les algues de ma patte, qui allait
rudement mieux. Mais les paroles du chat me blessèrent au plus profonds
de mon petit cœur d'or:

" Mot d'Amour, j'ai
une question. T'es - tu déjà rendu compte que nous étions opposés comme
la nuit et le jour ? Si oui, pourquoi t'accroches - tu à moi ? Qu'est -
ce que je vaux à tes yeux ? Je tue sans raisons, je ressens ce besoin
continuel d'effrayer, de jouer aux dépends des autres, leur douleur ne
me fait rien. Alors pourquoi t'accroches - tu ? "

Pour
quoi? Pour quoi dit-il sa? Pourquoi veux-t-il me blesser encore plus,
veut-il refermer mon cœur comme une porte celée a jamais? Non, il est
trop gentil a mes yeux pour sa! Jamais je ne lui fermerais les porte de
mon petit cœur rouge doré. Pour essayer de cacher le coup de poignard
qu'il m'a infliger, seule dans le désespoir des ténèbres, une larme
pure et cristalline s'écrase au sol:

"Comment? Pourquoi? Mais... parce que... je..."

Je
ne fini pas phrase je n'y arrive pas puis je la reprends, avec grande
peine, car il m'a blesser alors que moi je l'aimais. Ces deux petits
mots "je t'aime" n'arrive pas à sortir de ma gueule, après un long
moment de silence, de douleurs atroces et insoutable. Les larmes
fusèrent sur mon visage pure:

"Parce que... je................... parceque je t'aime!!!!! I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 7290

I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 7290

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Je
suis sûre que tu as une puretée , je ne voit pas, je pensais... je
pensais... je pensais, je n'aurais peut-être pas du penser, pourtant je
le pense encore et je le penserais pour toujours!"

Comment')" class="postlink" target="_blank" rel="nofollow"> I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 921465

I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 921465

? Comment a-t-il pu me donner une si mauvaise vision de lui, je lui adresse à nouveau la paroles:

"J'y
ait cru car je savais, et je sais encore, tu as une part puretée en
toi, et j'y crois, je le croirais, encore et encore, à jamais je
saurais que tu est un chat bien. Ton cœur c'est ouvert, tu ne t'en
peut-être pas rendu compte, mais c'est ce qui sais passer..."

Je
le savais qu'il m'aidait quoi qu'il arrive, mais énerver et triste,
j'utilise mon vent, et je me projette en l'air me laisse tomber, je
reprends mon vent, et je redescend. Puis, m'allonge à quelques pas de
lui, et verse de divines larmes,pleine de tristesse. Je ne voulais pas
qu'il le dise, c'est questions ne sont pas normales:

"De plus je
ne voit pas pourquoi tes questions si blessante, viennent le jour et la
nuit se complètent, je ne pensais pas sa de toi, toi qui est si doux."

(Voilà un petit truc pourris mais bon, y'a plus de paroles que de texte XD)

[ Ne t'inquiètes pas, ça me convient parfaitement ^^
Et si ce qu'il dit te parait dur, désolée mais je dois bien jouer mon personnage comme il est et comme il pense ; S ]

Click ~ Save Tonight.

Well we know I'm going away
And how I wish, I wish it weren't so
So take this wine and drink with me
Let's delay our misery

Tes yeux sont toujours dirigés vers le sol. Ta tête est toujours baissée. Tes mots te blessent, son regard t'assassine. Tu sais qu'elle n'a pas aimé ce que tu as dit. Qu'elle croyait que tout irait bien, que tout était sur la bonne voie. Elle se trompe. Tu détournes de nouveau la tête, les traits tirés par la douleur mentale que tout cela t'inflige. Tes deux mâchoires sont serrées l'une contre l'autre, aucun son ne franchit tes lèvres. Tu fronces les sourcils. Tu sais que tu lui as fait mal. Très mal. Mais sait - elle qu'elle te fait encore plus mal ? Ou peut - être souffrez - vous au même degré l'un comme l'autre ...

Elle bredouille quelques mots que tu ne comprends pas. Elle t'interroge sans attendre la réponse, elle construit une phrase entrecoupée de courts silences. Elle tente de s'expliquer très vaguement, mais elle n'y arrive pas. Tu jettes un bref coup d'œil à Mot d'Amour. Une larme roule le long de son visage puis s'écrase au sol. Tu baisses la tête, encore plus déchiré qu'avant. Elle ne finit pas sa phrase, elle semble hésiter. Elle semble vouloir continuer ce qu'elle n'a pas réussi à finir.

Un long moment de silence. Aucun bruit, à part ceux de la nature ne viennent troubler le silence des deux chats. Vous souffrez tous les deux en silence. L'un déchiré par l'amour trop fort qu'il ressent pour l'être les plus cher à ses yeux et une chatte dotée d'un caractère opposé au sien, et il y a Mot d'Amour, qui l'aime et qui ne comprend pas son rejet. Les larmes roulaient sans discontinuer sur le visage de la féline. Monstre mordit ses lèvres. Ses crocs aiguisés s'enfoncèrent dans sa chair.

Mot d'Amour bredouilla à nouveau, puis elle hurla des mots. Des mots que Monstre avait déjà entendus. Des mots qui signifiaient beaucoup plus qu'un long discours. « Parce que je t'aime ! » Ta tête commença à bourdonner, ton crâne te faire souffrir. La douleur mentale devenait insupportable. Le déchirement, ce déchirement qui détruisait ton cœur, qui te faisait hésiter, douter, souffrir, devint immense. Un immense trou béant. Plus elle voulait se rapprocher de toi, plus elle creusait le gouffre entre toi et Flux.

Tes traits se crispent. Tu l'entends sans l'écouter. Elle dit qu'elle est sûre qu'en lui il y a une part de pureté. Cette pureté, seul Flux me l'apporte, pas toi ... Seul lui a su ... En soi, toi aussi, en fait. Mais je ne veux pas y penser ... Je ne veux pas croire que tu as réussi à me faire faire attention à quelque chose d'autre que moi ... toi aussi. Elle continue. Elle dit qu'elle ne voit pas, qu'elle pensait. Elle bredouille de nouveau. Ses mots s'emmêlent dans sa bouche. Elle n'aurait pas dû penser. Elle a raison. Pourtant elle dit qu'elle le pense et qu'elle le pensera toujours.

Et elle ne s'arrête pas là. N'as - tu donc pas encore dit tout ce que tu avais à dire ? Moi j'ai aussi quelque chose à te répondre ... Quelque chose qui ne te plaira pas. Que te déchirera. Qui te détruiras comme je suis anéantis en ce moment. Elle insistait sur le fait qu'elle croyait qu'en Monstre il y avait une petite part de pureté. Je le sais. Je le sais bien. Mais ce qui me dérange, c'est que toi aussi, tu le saches. Elle saura à jamais que Monstre est un chat bien. Que son cœur s'est ouvert. Monstre sentit naître en lui le regret. Le regret d'avoir laissé cette porte ouverte. Car à présent, elle est entrée. Je ne voulais pas ... Je n'aurais pas dû ... Pourquoi tant de souffrance ?

Mot d'Amour utilise son pouvoir pour se projeter dans les airs. Elle semblait énervée et triste. Elle se laisse doucement retomber, puis elle utilise une fois de plus son pouvoir pour redescendre. Elle s'allonge à quelques pas du matou. Elle pleure. Elle verse des larmes transparentes qui coulent le long de son visage avant d'atterrir sur le sol. Elle dit encore quelques mots que tu n'écoutes pas cette fois - ci, car tu descends à ton tour. Tes pattes martèlent le sol. Tu t'arrêtes près d'elle. Ta queue descend sur ton visage et la relève fermement. Elle passe sur son visage pour effacer quelques larmes.

« Arrête de pleurer. On dirait des nuages. Tu es la deuxième à avoir su me faire penser au bien - être d'un être autre que moi. Le premier est Flux. Je suis déchiré. Lorsque tu t'approches de moi, mon amour pour Flux vacille. Et pourtant ... Est - ce que j'aime plus Flux, ou toi ? »

Monstre avait laissé sortir des mots doux et agréables à l'écoute. Il avait laissé parler la partie de son cœur que Flux avait entretenue, et que Mot d'Amour avait trouvée. Sa queue ondulait à présent derrière lui. Il s'assit face à elle. Et s'approcha d'elle. Il s'allongea et posa sa tête sur ses pattes. En se collant à elle. Pour oublier. Oublier la douleur.

(Nan je le trouve pas dure je joue ma minette moi aussi, et c'est quand même une sensible au fond, et elle pense que sa va marcher vec Monstre.)
Entamons un dialogue avec la conscience:

-Des raisons, d'y croire, tu ne sais plus, des raisons, de laisser ton cœur déchirer à jamais, Mot d'amour tu ne pourras refermer cette brèche. Ton cœur commence à ce déchirer, arrête de t'y attacher.

-Mais toi stupide conscience tu ne comprend rien à l'amour, je l'aime point à la ligne, alors laisse moi... tranquille, rien ni personne pourras m'empêcher, de m'attacher à lui!

-Je voulais t'ouvrir, les yeux mais puisque tu insiste, je te laisse voguer dans tes lourde pensées.

Les pas de Monstre martelèrent le sol,herbeux, non, pas sa, je ne voulais pas te mettre en colère, pensais-je aussi tôt.Je retourna doucement, mon visage couvert de larmes chaudes, ma vision brouiller, prenait son apparence, un chat magnifique et beau, sa queue essuya mes larmes. Ses paroles réchauffe quelques peu mon petit cœur déchirer:

« Arrête de pleurer.
On dirait des nuages. Tu es la deuxième à avoir su me faire penser au
bien - être d'un être autre que moi. Le premier est Flux. Je suis
déchiré. Lorsque tu t'approches de moi, mon amour pour Flux vacille. Et
pourtant ... Est - ce que j'aime plus Flux, ou toi ? »

Ses paroles, les paroles, ces paroles, je les repassais au peigne fin, Flux, mais qui est Flux, un autre chat? Son cœur est déjà pris? Je ne le comprend pas pour quoi c'est-il rapprocher si près de moi, pour me déchirer? La, si c'était pour me voir pleurer c'est gagner, je ne voulais pas être blessée, cette question enrageais mon cœur, mais je reste muette sur ce passage, je voulais savoir qui c'était, mais je restait à pleurer, sur mon triste sors, je calma mes larmes, et m'endormis, exténuer, mais je sentais la chaleur du corps de monstre près de moi, contre moi. Mais malgré sa, le vent soufflait fort sur mon pelage, j'avais froid. Cette brise froide et glaciale me réveilla. Je me retourne vers Monstre, et me retrouve face à son visage, mon visage est tendre, et plein de beauté, mais les larmes, coulent, je lui dit la voix égosiller par les larmes:

"-Je ne voulais pas te faire, mal, je ne voulais pas..., mais qui est ce chat, tu aime quelqu'un, d'autre, dans ce cas, pour quoi tu t'es rapprocher de moi? Flux, ce nom ne me dit rien, un autre chat peu être?... Ne me dit rien si ces question te gênent, je veux juste savoir. Si tu m'aime, autant que je t'aime."

Je mets ma tête contre son poitrail dans ses poils longs et chauds. La douceur de son poil était plaisant, je me retire de peur de le gêner et rougis quelques peu.

FINI, j'ai trouver ton texte poétique et magnifique la, chapeau.

DP: FINI, la réponse,n'est pas génial.

[ Merci

Mais je ne l'ai pas trouvé meilleur que les autres, pourtant ^^. ]

Save tonight,
Fight the break of down
Come tomorrow,
Tomorrow I'll be gone

Les larmes de la chatte continuaient inlassablement de couleur sur son visage si fin et harmonieux. Ses traits finement dessinés étaient déformés par la douleur mentale et les larmes cristallines qui ne cessaient toujours pas. La féline pleurait toujours. Le cœur du colosse se serra. Elle refermait un peu plus l'étreinte sur son cœur de pierre. Elle l'écartait un peu plus de Flux. Pour oublier encore, tu inspiras son odeur à fond.

Bientôt, le débit de larmes se réduit. Elle arrêtait de pleurer. L'étreinte, la pression qu'elle maintenait sur ton cœur si tendre à présent se desserra un peu. Tu soupiras de soulagement. Son souffle à elle se faisait plus calme. Elle arrêtait de renifler désespérément. Les larmes sur son visage avaient séché. Son souffle ralentit encore. Elle s'était paisiblement endormie. Elle avait le visage serein. Les perles de larmes qui coulaient auparavant sur son visage s'étaient éteintes comme les étoiles lorsque vient l'aube. Tu passas à nouveau ta queue sur son visage si doux et merveilleux. Tu passas ta tête par - dessus la sienne. Tu restas quelques instants ainsi avant de retirer ta tête massive, de peur qu'elle ne te voie en se réveillant.

La bise chaude refroidissait vite. Tu ne frémissais pas. Ta fourrure te tenait chaud. Par contre, Mot d'Amour, elle, n'avait pas une fourrure très garnie. Tu te blottis encore plus contre elle. Sa respiration se fait plus sèche et rapide. Elle s'est réveillée. Sa petite tête triangulaire se tourne vers ton visage massif de chat des forêts norvégiennes. Son visage empli de beauté, comme la douce colombe. Comme la douce colombe qui tombe amoureuse de l'affreux corbeau. Les perles d'eau coulent à nouveau. Les serres étreignent à nouveau ton cœur.

Et elle parle. Sa voix est tendue, elle a du mal à parler, tant les larmes modifient le son de sa voix pourtant si pure. Elle s'égosille. Tu veux lui dire d'arrêter de parler, de se taire, et de juste, juste rester près de toi. Dans le silence. Dans le silence de la nuit qui tombe. Le crépuscule pointait. Les couleurs violettes, rouges et oranges se mélangeaient dans le ciel bleu quelques heures auparavant.

Elle dit qu'elle ne voulait pas lui faire mal. Je n'en doute pas ... Je n'en ai jamais douté. Elle te demande qui est ce chat, elle te demande si tu aimes quelqu'un d'autre. Tu déglutis à cette question fatidique. Mais elle enchaîne. Elle te laisse un peu de répit. Elle te demande pourquoi tu t'es rapproché d'elle. Je ne me suis jamais rapproché de toi. J'ai simplement été entraîné. Je n'ai jamais voulu ça, je ne l'ai jamais souhaité. Le destin s'est joué de moi. Je suis tombé dans ses filets, il faut maintenant que j'assume mes fautes. Mes erreurs. Elle te dit de ne rien dire si ces questions te gêne, qu'elle veut juste savoir. Si tu l'aimes autant qu'elle t'aime.

Tu sens une pression contre ton poitrail. Serait - ce ton cœur qui te lâche ? Serait - ce ton cœur qui vient d'exploser ? Non, c'est simplement sa petite tête triangulaire qui parait si fine, si frêle et si gracieuse à côté de ton immense crâne. Elle ne reste pas longtemps. C'était pourtant si agréable ... Sans pouvoir te contrôler, ta patte va rechercher sa tête et la repose sur ton poitrail.

« Reste là ... »

Tu restes un moment silencieux, étonné de ton propre geste. Mais tu as appris à ne plus chercher à te comprendre, après tout ce qu'il s'est passé. Tes yeux observent l'horizon baigné de couleurs sanguinaires qui pâlissent bientôt. Ta tête imposante se baisse alors pour observer la sienne. Tu déglutis à nouveau, et décide de lui révéler qui est Flux. Ta voix est douce, légère et agréable.

« Flux est ... Mon frère adoptif. Ma mère est morte pour me donner naissance. Ma fratrie est morte elle aussi. Une fausse couche. Mon père, je ne le connais pas. Je ne sais même pas le nom de ma mère. Elle a juste été ma génitrice. Ma vraie mère s'appelle Appel du Loup. Bien qu'elle ne soit pas ma mère biologique, c'est avec elle que j'ai tout appris. C'est elle qui m'a grondé, c'est elle qui m'a guidé. C'est elle qui m'a aimé. Il y avait aussi mon père adoptif, Océan sans Fin. Mes deux parents adoptifs étaient les parents biologiques de Flux et Reflux, deux jumeaux. Et il y avait l'ami de la famille, Condor. C'est lui qui m'a donné mon nom. Flux a toujours été mon meilleur ami. Mais les choses se sont encore compliquées entre nous. Un soir, on s'est révélé ces sentiments forts. On s'est rendu compte de ces sentiments. On s'est rendu compte qu'on s'aimait. »

Le félin fit une courte pause, le temps de reprendre son souffle et de laisser la féline assimiler tout ce qu'il venait de lui dire. Il venait de lui raconter sa vie en un court résumé. Elle savait tout de son passé, et de qui était Flux à présent. Il était temps de conclure. Monstre déglutis encore et repris la parole.

« Mais voilà que tu arrives. Voilà que tu me troubles, voilà que tu m'écartes de Flux. Je n'arrive pas trop à y croire ... Je ne te connais que depuis quelques heures, alors que j'ai vécu toute ma vie avec Flux, et pourtant ... Je crois que je t'apprécie déjà plus que lui. »

Monstre serra un peu plus sa tête contre lui. Il n'avait pas utiliser le verbe " aimer " à la place de " apprécier " car pour lui, ce terme ne peut être utilisé à tort et à travers. Ce verbe n'est pas un verbe bénin que l'on peut introduire toutes les deux phrases. C'est un mot sacré, un mot qui veut dire beaucoup. Tout ce qu'on ne sait pas dire est résumé dans ce petit verbe. Il l'avait utilisé pour Appel du Loup, car oui, elle lui avait donné tout l'amour dont une mère devait faire preuve pour ses enfants. Tu te raclas la gorge. Tes oreilles n'arrêtèrent pas de tourner en tous sens. Tes mots étaient murmures. Pour que personne ne surprenne le grand Monstre en pleine déclaration.

« Je crois que je t'aime plus que lui. »

(Depuis le recommencement, que de la grande poésie, j'adore! I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 7290

I hear a Melody. [ Larme de Louve ] 481702

)

Après avoir retirer ma petite tête triangulaire, du poitrail de l'imposant chat, sa patte chaude vînt me rechercher délicatement, et me reposa sur son doux poitrail chaud:

« Reste là ... »

La douceur de ses mots, réchauffe encore un peu mon coeur. Je l'aime et je sais, qu'il m'aime, j'en suis sûre, mais aurait-il peur de me le dire, non je ne pense pas. Monstre me laisseras-tu une raison d'y croire? J'espère, doit-je espérer vraiment? Oui, car je sais que tu as un bon fond, une par de pureté en toi, je le sais, je le pense, et je le saurais et le penserais toujours. C'est alors qu'il me conta le récit de son histoire:

« Flux est ... Mon
frère adoptif. Ma mère est morte pour me donner naissance. Ma fratrie
est morte elle aussi. Une fausse couche. Mon père, je ne le connais
pas. Je ne sais même pas le nom de ma mère. Elle a juste été ma
génitrice. Ma vraie mère s'appelle Appel du Loup. Bien qu'elle ne soit
pas ma mère biologique, c'est avec elle que j'ai tout appris. C'est
elle qui m'a grondé, c'est elle qui m'a guidé. C'est elle qui m'a aimé.
Il y avait aussi mon père adoptif, Océan sans Fin. Mes deux parents
adoptifs étaient les parents biologiques de Flux et Reflux, deux
jumeaux. Et il y avait l'ami de la famille, Condor. C'est lui qui m'a
donné mon nom. Flux a toujours été mon meilleur ami. Mais les choses se
sont encore compliquées entre nous. Un soir, on s'est révélé ces
sentiments forts. On s'est rendu compte de ces sentiments. On s'est
rendu compte qu'on s'aimait. »

Je n'avais jamais entendu une histoire aussi triste, que celle de Monstre. Je comptais lui raconter la mienne après la fin de ces paroles tendres et poétiques, mais il continua a me parler, cette fois ce que je voulais savoir, me fut révéler, mais ce n'était que le commencement, mais j'y croyais encore plus:

« Mais voilà que tu
arrives. Voilà que tu me troubles, voilà que tu m'écartes de Flux. Je
n'arrive pas trop à y croire ... Je ne te connais que depuis quelques
heures, alors que j'ai vécu toute ma vie avec Flux, et pourtant ... Je
crois que je t'apprécie déjà plus que lui. »

Ces magnifiques paroles me réchauffèrent encore plus mon coeur d'or, il était tendre, aimant, et j'étais heureuse oui heureuse, j'avais un visage, ensoleiller en cette journée qui commençais, puis c'est paroles, me réchauffèrent, le coeur, tellement que je cru que celui-ci allait exploser:

«- Je crois que je t'aime plus que lui.
-Je t'aime aussi, je t'aime...»

Je me leva retira matête de son poitrail, me leva, et exténuer, je lui dit:

"Je sais le soleil ce lève, mais bon, je suis un peu fatiguer tu viens dormir, un peu?"

Je le câlinais, encore et sans fin; puis je mis ma truffe contre la sienne, et ferma les yeux mon souffle, chaud, léger, souffla quelques murmures:

"-Je t'aime et je t'aimerais toujours quoi qu'il arrive..."

(Bon voilà un petit texte, assez agréable à lire.)

[ Oh il ne faut pas exagérer >w<. Je n'ai pas encore atteint un niveau qui me satisfait x 3. Ma plus belle réussite fut certainement la présentation d'Utopie Idyllique <3. ]

Rose's Theme.

Son visage auparavant baigné de cruelles larmes laissa place à un visage ensoleillé. Comme neige fondait au soleil. Elle avait l'air tellement heureuse ... Tellement radieuse ... Tes yeux se fermèrent dans un riposte de sérénité. Ne pas se départir de son calme, toujours rester près d'elle, à l'observer sans bouger. Le soleil montait. Il commençait son ascension, qui continuerait jusqu'à ce qu'il atteigne son zénith, en début d'après - midi. Mais ce soleil - là, celui que tu avais devant ton visage massif, lui, ne cesserait de s'illuminer, pour ne jamais plus s'assombrir.

Tu n'avais plus l'impression d'avoir un poids sur ton cœur, soudain. Car tu lui avais délivré tout ce que tu lui cachais, tu lui avais dis tout ce que tu pensais. Tu te sentais libéré ... Ton sang ne fit qu'un tour, ton cœur rata un battement. Libre ... Elle est une chatte de Clan. Or toi tu es un solitaire. Le poids revint sur ton cœur. Tu eus soudain peur qu'il lui arrive malheur. Par la seule faute de votre amour. Tu ne laissas rien transparaître de ton angoisse, pour ne pas gâcher son bonheur.

Mot d'Amour avait répondu aux dernières paroles de Monstre. Elle l'aimait aussi. Tu en étais sûr, mais pourtant tu te sentis si soulagé de l'entendre que tu lâchas un léger soupir d'aise. L'entendre te le dire était une confirmation de tes intuitions. Ton cœur gonfla un peu plus. Le bonheur. Ce n'était pas la première fois que tu le ressentais. Mais tu le ressentais rarement. Tu souris. Tu souriais rarement. Pour ainsi dire jamais. Tu ne souriais pas. Enfin si, mais c'était souvent un sourire sadique et machiavélique.

Elle ôta sa tête de ton poitrail. Tu ne l'obligeas plus à y rester, car tu avais compris que ce n'était plus par gêne, son visage triangulaire n'était plus aussi chaud que s'il était resté trois heures d'affilée en plein soleil. Elle ouvrit les babines et des sons harmonieux les franchirent. La voix tremblante déformée par les larmes avait laissé place à sa voix cristalline normale. Elle dit que le soleil se lève. Ton museau se tourne vers l'horizon. Oui, c'est vrai, il se lève doucement. Mais elle te dit qu'elle est un peu fatiguée. Sourire attendrit de ta part. Elle te demande de dormir avec elle. Tu hoches la tête de haut en bas, mais tu sais que tu ne sauras pas dormir.

Elle te câlinait, sa douce fourrure beige s'infiltrant dans ton épais pelage à toi. Le temps semblait s'arrêter, tu n'en avais plus la notion. Le monde devrait s'arrêter, dans ces moments - là. Qu'on puisse en profiter, au maximum. Mais jamais un tel miracle ne s'est produit, bien que tu en aies pourtant l'impression, à chaque fois qu'un si merveilleux événement se produisait dans ta vie. Sa truffe se colla à la tienne. Ce fut à toi de rougir quelque peu. Puis tu te calmas. Dans un souffle, elle t'offris quelques paroles.

Elle te dit qu'elle t'aime, et qu'elle t'aimera toujours, quoi qu'il arrive. Monstre la regarda un peu de travers. Quoi qu'il arrive ? En était - elle sûre ? Même si on découvrait son amour pour lui, elle s'accrocherait ? Elle mettrait en doute sa loyauté, elle mettrait de côté son Clan pour lui ? Monstre dévia les yeux. Il n'y croyait pas. Cependant, il décida que l'heure n'était ni aux questions ni aux réticences. Il fallait en profiter. Monstre savait bien que les membres de son Clan s'inquiéterait de son absence à un moment ou à un autre. Alors il lui parla doucement.

« Dors bien, lorsque tu seras réveillée, il sera temps de se quitter. Tu ne peux pas laisser ton Clan s'inquiéter plus longtemps de ton absence, n'est - ce pas ? Alors dors pour l'instant ... Je t'accompagnerais aussi loin que possible. Mais là je vais juste te suivre au Pays des Rêves. »

Il ferma doucement les yeux, donnant l'impression de sombrer dans le sommeil, mais simulant simplement la fatigue pour qu'elle s'endorme et qu'il puisse veiller sur elle lorsqu'elle sombrera dans le Pays des Rêves.

(moi je trouve sa poétique voilà.)

Monstre, n'avait pas l'air si confiant à ce que je lui ait dit, je pense qu'il avais peur pour mon clan, alors, j'écoutais ses paroles tendrement, mais j'allais lui répondre aussi-tôt:

« Dors bien, lorsque
tu seras réveillée, il sera temps de se quitter. Tu ne peux pas laisser
ton Clan s'inquiéter plus longtemps de ton absence, n'est - ce pas ?
Alors dors pour l'instant ... Je t'accompagnerais aussi loin que
possible. Mais là je vais juste te suivre au Pays des Rêves.

-Monstre, ne dit pas sa te quitter trop longtemps serais une déchirure, mon clan, si il le faut je le quitterais rien que pour toi. Pour t'aimer, car je te sent un p eu tendu envers cela, aurais-tu peur que je te quitte pour mon clan?Sa jamais...»

Moi, je ne ferais, jamais sa la trahison n'est pas mon truc, envers ceux que j'aime mais, je devais choisir. Mon clan ou lui? Ma réponse sera lui! Et cela à jamais, car c'est lui que j'aime, je plonge, dans un petit sommeil très léger, et je me réveille, une heure après à peine, je ne pouvais plus, dormir, je ne voulais point le quitter, je pose, ma petite tête sur ses pattes, une pluie torrentiel tombe. Nous voilà tour tremper. Un orage éclate, il ne manquait plus que ça, j'en ais ma claque de la pluie. Cette pluie, m'avais trempée, jusqu'au os, je m'écarte pour m'ébrouer, et éviter de mouiller encore plus qu'il ne l'ait Monstre, je me rapproche de lui pose ma petite patte sur sa grosse papattounette, et les oreilles baisser, lui dit:

-C'est à regrets que je te quitte, sous la pluie, pour retourner à mon clan même si je voudrais près de toi, je le quitterais bientôt.

Un dernier câlin, et je pars, en me retournant tout le temps, avec ma frêle petite tête, je le regarde tout le temps. Jusqu'à que je ne plus le voir, c'est avec une mine triste que je rentre au campement de la rivière.

[ Hé ben merci alors ^___^. Moi j'ai adoré tes idées, qui m'ont beaucoup inspirée : 3 ]

Mot d'Amour riposta une fois de plus sans laisser Monstre reprendre son souffle. Elle disait que le quitter trop longtemps serait une déchirure, et il en serait de même pour le molosse multicolore. Il sourit faiblement. Elle disait qu'elle quitterait son Clan pour lui. Il soupira. Il ne voulait pas qu'elle sacrifie ça juste pour lui. Elle disait qu'elle quitterait son Clan pour l'aimer, parce qu'elle sentait sa réticence quant à ce sujet. Elle lui demandait si il avait peur qu'elle le quitte pour son Clan. Monstre n'osa pas répondre. Oui, cette crainte l'habitait. Il avait peur que Mot d'Amour ne sache quitter son Clan pour lui. Mais elle dit qu'elle ne l'abandonnerait pas pour son Clan. Alors Monstre préféra la croire. Parce qu'il avait confiance en elle.

Elle tombe alors quelques instants plus tard dans un sommeil léger. Tu ne bouges pas, de peur de la réveiller. Alors tu la regardes. Tu souffles dans son cou. Elle se réveille à peine une heure plus tard. Tu as eu peur, tu as cru l'avoir réveillée en soufflant trop fort. Mais non, elle n'arrivait juste plus à dormir. Elle pose doucement sa tête sur tes pattes énormes. Une pluie diluvienne vous tombe alors dessus. Tu souris. Pas de chance ! Le molosse doit sembler bien frêle, trempé comme il doit être ! Il voit les gouttes de pluie glisser sur la fourrure de la féline. Monstre sentit la pluie s'infiltrer dans sa fourrure. Il frémit très légèrement.

Et soudain, un orage éclate. Elle s'écarte. Elle s'ébroue pour chasser toute la pluie qui glisse doucement sur sa fourrure beige. Elle évite de mouiller Monstre, qui ne peut déjà pas l'être plus, en fait. La pluie s'abattait sur eux comme le Diable sur sa victime. Elle se rapproche alors du molosse et pose sa patte minuscule et pourtant si mignonne sur l'énorme patte du gros nounours trempé. Elle a les oreilles baissée, et elle parle à Monstre.

Elle dit que c'est à regrets qu'elle le quitte. Et sous la pluie. La pluie n'incommodait pas trop le molosse. Cela donnait une ambiance très agréable pour des ... Des quoi ? Des adieux ? Des au revoir ? Des à bientôt ? Tu n'as pas le temps de réfléchir à la formulation, car elle continue. Elle retourne dans son Clan. Même si elle voudrait être auprès de toi. Je ne te quitterais jamais, tu ne me quitteras jamais. Car tous deux nous avons à présent la douceur de l'autre dans le cœur. Elle dit qu'elle le quittera bientôt. Tu lui lances un regard insistant. Était - ce le bon choix qu'elle faisait là ?

Elle te fit un dernier câlin. Tu inspiras son odeur tant que tu pus. jusqu'à ce qu'elle se détache et qu'elle parte. Elle partait très lentement. Sous la pluie. Elle transperçait ce rideau de pluie. Elle n'arrêtait pas de se retourner vers Monstre. A chaque fois, tu lui lançais un regard rassurant. Il disait : « Nous nous reverrons bientôt, ne t'inquiètes pas. ». Puis tu ne la vis plus. Le rideau de pluie s'était refermé sur l'artiste magnifique. Alors tu susurres quelques mots. Juste pour toi. Et peut - être un peu pour elle.

« Il n'est pas facile de dire au revoir, mais Chérie s'il - te - plaît, ne commence pas à pleurer ... »

Et sur ce, le molosse commença à courir sous la pluie pour trouver un endroit où pouvoir penser. Penser en paix. A elle. A tout ce qui s'était passé. A toute cette merveille qui paraissait irréelle.
Peut - être étais - je dans un conte de fées ? ... Je le saurais en me réveillant demain ...

F I N __ D U __ R P.

» Larme de louve[Prête]